Cette reproduction d'un petit schéma explicatif de Spencer Lewis est instructive.

Le lac représente le Monde Cosmique et, sur leur barque, les deux personnes du dessin d'en haut ressentent la même influence de la houle.

Mais dans le dessin du dessous, nous constatons que le bateau de gauche est fermement accroché au fond par des ancres, ce qui le rend solidaire de la terre et il se heurte donc aux mouvements du lac.

Nous en déduisons facilement qu'une personne trop accrochée à la terre, c'est à dire trop liée au monde de l'Esprit (comme le nomment les rosicruciens), que ce soit une personne attachée au monde astral (par exemple un "médium") ou une personne pas assez "claire", avec un intellect trop chargé ou encore une personne matérialiste n'est pas en mesure de s'harmoniser aux vibrations du monde cosmique.

L'autre personne au contraire y parvient...

La problématique qui se pose consiste à permettre au chercheur de passer de la représentation de gauche à la représentation de droite et donc d'être en mesure de lever les ancres.

Mais une difficulté apparaît: le plus grand nombre ne parvient pas à s'impliquer suffisamment pour lever la totalité des ancres.

Et pour en revenir à la série des messages précédents, c'est lorsque l'on est parvenu à larguer les ancres que l'on peut envisager de saisir le "Grip d'Akhenaton" qui n'est pas représenté sur les dessins.

Cela permet d'envisager l'existence d'un mystérieux "double enseignement"...

En effet, simultanément, ceux qui ne parviennent pas à larguer complètement les ancres ne doivent pas être abandonnés à leur difficulté, de même que le petit nombre qui parvient à larguer les ancres doit continuer à être aidé à poursuivre avec le "Grip".

Ce "double enseignement" des Frères de la Rose+Croix est donc transmis à tous d'une manière discrète, bienveillante, harmonieuse et prudente.

(à suivre)

Certains habitués connaissent peut-être Kung-fu Panda?

C'est un dessin animé amusant qui entraîne son public dans une ambiance de moines guerriers shaolin parmi lesquels, "Kung-fu Panda" apparaît comme l'élève maladroit et simplet que le maître ne supporte pas mais qui parvient toujours miraculeusement à des résultats alors que les élèves les plus avancés échouent...

Tout ça pour dire que la vidéo qui suit, même si elle est impressionnante, n'a pas vocation à prouver quoi que ce soit sinon que la bougie utilisée est peut être d'une qualité discutable.

Mais avant de voir la vidéo, d'examiner l'étrange flamme de la bougie et d'essayer de repérer la présence d'Akhenaton, il est bon de se remémorer le curieux dessin ci-dessus de Spencer Lewis, dans le Manuel Rosicrucien, qui présente au dessus d'Akhenaton un étrange trait noir qui interroge les amorquiens depuis des lustres, lesquels se demandent si'il s'agit d'un règlement de compte du clergé d'Amon qui cherchait à utiliser de la magie noire à l'encontre du pharaon ou d'un message mystérieux de Spencer Lewis qui reste (ou restait...) à identifier.

Ajoutons quelques mots sur le contexte de la vidéo.

Notre "Kung-fu Panda" plein de sincérité tente l'expérience du grip.

il s'agit d'établir le fameux contact cosmique avec, pour commencer, le contact avec Akhenaton que le Bistrot évoque depuis quelques temps et notre héros établit les meilleurs conditions dans son sanctum, allume les bougies et lance l'opération en utilisant la puissance de son Verbe et faisant appel à Akhenaton réputé "disponible pour toujours et à jamais" comme l'affirmait le Bistrot...

C'est alors que la bougie (celle de droite, c'est généralement un bon signe!) commence à faire des siennes et la flamme prend de l'ampleur au point d'inciter notre Kung-fu Panda à filmer le phénomène avec son smartphone.

Et dans cette ambiance très particulière dans laquelle on se demande si Akhenaton est en train de se manifester dans la pièce, que la bougie se met curieusement à fumer en reproduisant le fameux trait noir dessiné par Lewis.

Serais-ce une signature du pharaon qui aurait acquis de son vivant la capacité psychique permettant d'agir sur les bougies?

Bref c'est aux Habitués de se faire leur opinion...

(à suivre...)

Si tout le monde connait plus ou moins ces stèles d'Amarna représentant Akhenaton, Nefertiti et leurs enfants sous la lumière bienveillante d'Aton (le disque) qui tend ses petites mains à qui veut bien les attraper, par contraste, la signification ésotérique du message passe fondamentalement inaperçue...

Ce qui tend les bras, c'est un enseignement plus ou moins secret que les Rosicruciens nomment le grip...

Ce terme de grip a été traduit en français vraisemblablement par Jeanne Guesdon dans les années 50 par "poignée de main secrète", ce qui a satisfait beaucoup de monde car chacun éprouve la sensation de bénéficier de la révélation d''un secret...

Chacun est tenté naturellement de penser qu'il s'agit d'une de ces mystérieuses poignées de main maçonniques destinées à identifier l'initiation d'un "frère" dans l'obscurité comme dans la lumière.

Et effectivement, il existe bien une rigolote poignée de main rosicrucienne qui consiste à serrer la main un peu plus longtemps que la normale et à faire avec le pouce 3 petites pressions pour commémorer entre ceux qui pensent être initiés ce qui se nomme parfois "l'élévation d'Akhenation".

Mais, dans le rosicrucianisme, un secret, qui normalement se défend tout seul, se trouve révélé (= revoilé) car il en cache toujours un autre.

C'est ce qui explique au passage que la tradition rosicrucienne se dissipe systématiquement dans le monde profane, obligeant le Cosmique a missionner régulièrement une personne pour effectuer une résurgence.

Par exemple, la révélation de "l'élévation d'Akhenaton" revoile, par une explication, un "secret" qui reste fondamentalement à découvrir.

Mais revenons à notre grip!

Si le grip signifiait simplement "une poignée de main", Spencer Lewis aurait utilisé le mot "shake hand", or il ne l'a pas fait!

Mettons que ce soit le début d'une piste!

Alors, que signifie ce "grip" en réalité?

(à suivre...)

Les vrais secrets, ne sont communicables qu'à ceux qui sont prêts et disposés à les entendre!

Naturellement comme rien n'est prouvable, notre Bistrot ne publiera que des éléments de recherche et il restera à chacun à ressentir ou à se faire sa propre opinion au delà du message...

D'ailleurs, pour certains l'opinion est déjà faite: ce qui suit est invraisemblable et sans intérêt hormis qu'il est historique que le pharaon Amenhotep IV a changé son nom en Akhenaton...

Mais les Habitués savent que le rosicrucianisme lewissien attribue une place importante à Akhenaton et c'est donc une invitation pour les Chercheurs à accorder leur crédit à la sincérité d'Akhenaton.

En effet la sincérité est de tout temps le point de départ du cheminement mystique de tous les premiers degrés des Néophytes rosicruciens au cours des âges.

Amenhotep IV était donc sincère...

Contrairement à ce que pourrait croire un profane, le pharaon, qui portait le nom de "Amon en paix" (dans Amenhotep, Amen c'est naturellement Amon et Hotep c'est la paix) a évidemment commencé à s'attacher à faire honneur à son nom et à utiliser ses forces pour la paix d'Amon.

Or il s'est heurté à un sombre clergé d'Amon déviant, corrompu et très puissant qui faisait obstacle à sa sincérité...

Était-il possible de collaborer avec le Clergé d'Amon sans assombrir son ka?...

Le Bistrot avait évoqué (relire éventuellement "Comment aimez-vous Maat?") l'idée que le Clergé d'Amon avait détourné le sens de la Déesse Maat.

Il existait en effet une secte cachée, un certain "Ordre de Maat" qui établissait son hégémonie sur l'Egypte.

Durant des millénaires, l'intégrité de la déesse Maat qui exprime la conscience dans sa pureté n'avait jamais été détournée...

Désormais, le clergé d'Amon reliait Maat à la déesse Tefnout (la paix et l'Amour maternel que les rosicruciens lewissiens découvrent à l'Ouest du Temple, à la station de la "Mater").

C'est comme si dans un temple rosicrucien, il était décrété un beau jour que la Mater serait en même temps la Colombe!

C'était naturellement une tromperie qui leur donnait crédibilité en plaçant de leur côté Maat devenue non plus la conscience, mais l'Ordre du Monde.

Leur prétention politique à assurer l'ordre du monde contre le chaos s'attribuait la bénédiction de la déesse Tefnout et sa bienveillance maternelle et protectrice.

Naturellement le peuple n'était pas en mesure de comprendre toute la portée de l'imposture.

Par ailleurs les chercheurs sincères ont légitimement besoin d'être aidés.

Or il ne pouvaient pas reprocher au clergé d'Amon leur manque d'amour puisque précisément ceux-ci récupéraient Tefnout...

Ils ne pouvaient pas non plus affirmer que la Maat du clergé d'Amon n'était qu'Isfet (le chaos) car précisément la Maat profane du pseudo Ordre de Maat était décrite comme s'opposant au chaos d'Isfet.

Pour les Habitués du Bistrot, Isfet, celle qui se prétend Maat est l'idée chaotique qu'un profane se fait de la vérité, de la justice, de la pureté psychique, ou de la Maat...

Akhenaton devait repartir à zéro.

Avec les temples d'Aton "à ciel ouvert" (les initiés lisent "non couverts", c'est à dire destinés aux profanes), il fit la promotion d'une nouvelle religion plus saine que ce que le clergé d'Amon cherchait à imposer à l'Egypte.

Les initiés devinent qu'en dehors des temples à ciel ouvert, Akhenaton poursuivait son activité secrète d'authentique "hennemet" (homme de lumière, frère d'Héliopolis) dans la lignée de son grand prédécesseur TothmesIII...

Tout cela peut nous sembler éloigné de notre vie quotidienne et sans grand intérêt, mais nous pouvons également y voir à la fois les clefs du Temple et celles plus honteuses du détournement éternel des consciences car détourner Maat c'est ni plus ni moins que détourner les consciences.

Dans le rosicrucianisme, l'étudiant axe d'abord sa recherche sur l'importance de Maat dans la recherche d'Horus (l'écoute de sa conscience dans la recherche de l'Être intérieur).

Shou en lui surgira bien plus tard, lorsque l'ego du Chercheur de Lumière aura cessé d'être alimenté et que son temple intérieur lui sera ouvert et qu'il recherchera le Maître du Temple...

En effet, Shou, le fils de Râ, est le Maître du Temple à l'Est des temples rosicruciens, mais cette idée du Maître intérieur à éveiller ne doit en aucun cas surgir avant l'accès au Temple...

L'alimentation de l'ego doit cesser, et le chercheur doit chercher la recherche de son Être intérieur (Horus) pour accéder à son temple intérieur.

Si le processus est perturbé par une recherche prématurée du "Maître du Temple" ou du "Maître intérieur", ou si Maat est elle même détournée en Isfet, le chercheur demeure sous l'influence de Seth, il reste un étranger, un Pedjet, un homme de Seth et ne peut absolument pas accéder à son temple intérieur: depuis le temple astral dans lequel il s'est enfermé, ou s'est laissé enfermé, le malheureux chercheur ne peut que fanfaronner sur son maître intérieur prétendu...

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L'inscription égyptienne se lit "sba-imen".

Sba, l'étoile signifie enseignement ou instruction et Imen signifie secret...