24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 11:10

chouette-neith.jpg 

Ce hibou orne un ouvrage du 16ème siècle, "l'Amphithéatre de la Sagesse Eternelle" d'Henri Khunrath.

 

Un rosicrucien ne manquera pas de remarquer les deux chandeliers de part et d'autre du hibou qui rappellent son sanctum où il atteint la Paix Profonde en apprenant à faire taire son mental et en entretenant les plus hautes vibrations.

 

Le hibou porte curieusement des lunettes sombres comme pour accentuer l'idée que son regard, comme son travail sont avant tout intérieurs.

 

Naturellement, nous sommes frappés par ces deux lances enflammées qui forment une croix exprimant naturellement la combinaison des deux énergies que l'adepte se doit d'apprendre à maîtriser.

 

Il est amusant de disposer ci-dessous pour ceux qui ont développé "les yeux pour le voir", le symbole égyptien qui exprime le bouclier de Neith (hiéroglyphe T62)...

 

bouclier-neith-T62.jpg

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Rappel:

- Penser à utiliser le "Moteur de recherche du Bistrot" (tout en haut à droite) 

- Penser à partager les commentaires en cliquant sur "commenter" ci-dessous.

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 11:55

ptahotep.jpg

 

Le vizir Ptah-Hotep ci-dessus est représenté symboliquement en buveur! Il est des nôtres!

 

Son recueil de maximes écrit il y a 4500 ans transmet un code de valeurs toujours valables derrière lesquelles se profile la sagesse d'un initié...

 

Voici un extrait instructif concertant la transmission d'un message, mais il peut s'adapter à toutes les transmissions...

  

""Homme de confiance qu'un grand envoie à un grand, sois intègre envers celui qui t'envoie, transmets pour lui le message tel qu'il fut dit, ne force pas les mots, redoute d'opposer un grand avec un grand!

 

Tiens fermement la vérité, ne la transgresse pas, ne lave pas ton cœur dans ton rapport!

 

Ne parle contre personne, grand ou petit; ton ka serait "Bwt"...""

 

"Bwt",  est un poisson puant à mauvaise réputation... comme quoi, dire du mal d'autrui est une abomination pour notre aura et notre corps psychique qui prendraient alors la mauvaise odeur du "bwt"!

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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 11:20

croix-ansee-tenture-louvre.jpg 

Voici un fragment d'une tenture du 8ème siècle après J-C, visible au Musée du Louvre...

 

Cette Crux Ansata (Croix Ansée) est bien sûr le vieux symbole égyptien, antérieur de 3 millénaires au christianisme...

 

Il représente l'éternité de la Vie et les rosicruciens précisent que son nombre est le "7".

 

Assez curieusement, l'anse de la croix de la photo contient le symbole de Saint Alban...

 

Serais-ce un signe discret de notre Tradition Silencieuse?

 

Saint Alban est lié à Francis Bacon. Souvenons nous des fameux petits pains, de la gravure de Valentin Andreae et pourquoi pas du rituel de Saint Martin...  

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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 14:05

herminette.jpg 

Voici une herminette!

 

C'est avant tout un outil destiné à fendre le bois.

 

"Fends le bois et tu me trouveras..." précise au passage l'Eternel dans l'Evangile de Thomas. C'est un évangile apocryphe, du grec ἀπόκρυφος  (apokryphos) = caché.

 

L'herminette semble justement un outil bien pratique pour révéler ce qui est caché!

 

Une herminette d'orfèvre pourrait permettre une petite griffure sur un bijou pour déterminer s'il s'agit d'un simple placage d'or ou au contraire d'un bijou en or massif.

 

L'herminette permet donc d'exprimer ce qu'il y a à l'intérieur, par exemple l'existence d'une shékinah conscientisée dans notre temple intérieur...

 

Une formulation traditionelle hébraïque semble particulièrement de circonstance, elle révèle que la Shekinah, la "Divine présence" n'existe dans un lieu de culte que si elle existe préalablement dans le cœur des participants...

 

L'herminette apparait donc comme un symbole d'ouverture et de révélation de ce qui est invisible.

  

Dans l'Ancienne Egypte, l'herminette avait un rôle symbolique important dans le rituel dit "d'Ouverture de la Bouche" (de nos jours, un profane pense généralement à l'ouverture de facultés du monde astral comme les yeux, les oreilles, mais un initié peut capter une autre interprétation...).

 

Ce rituel se produisait, dans un deuxième temps, après que le défunt soit en quelque sorte libéré de l'accumulation des charges terrestres dont il était imprégné, afin qu'il puisse exprimer son éventuelle réalisation intérieure en vue de la suite des évènements... Une idée simple à comprendre étant que le développement psychique des initiés leur garantit évidemment certains avantages après la mort! 

 

Comme tous les symboles traditionnels, l'herminette est un symbole qu'il convient naturellement de capter et dont il faut classer en triangle les 3 niveaux d'interprétation qui sont le sens apparent immédiat, le sens abstrait intellectuel et le sens ésotérique.

 

Voici justement 3 exemples égyptiens d'utilisation du symbole:

 

 1/Nout l'herminette en tant que griffe:

Interprétation au premier degré: on lit "Nou-T" et l'objet est lui même son déterminatif. L'idée que l'herminette permet d'ouvrir un pot est clairement suggérée...

 

herminette-griffe.jpg


 2/Setep, l'herminette comme une décision finale:

Après une longue réflexion et une méditation, on se force à ouvrir la bouche pour exprimer une décision finale, une synthèse, un "dictum", un édit... C'est ainsi! Le déterminatif est un papyrus roulé qui exprime une idée abstraite: notre intellect doit défaire le nœud!

 

herminette-stp.jpg 

3/Doua-our l'herminette rituélique d'ouverture de la bouche:

"Doua" l'étoile et "our" l'hirondelle.

herminette-ouverture-bouche.jpg

 

 

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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 12:00

kuan-yin-Vitthal-Das.jpg 

N'est-ce pas une magnifique représentation contemporaine de la déesse "Kuan Yin".

 

Elle est l'œuvre de l'artiste Vitthal Das.

 

"Yin" indique l'énergie terrestre (complément de l'énergie vitale "Yang") et "Kuan" qui véhicule une idée de contemplation bienveillante.

 

C'est la représentation chinoise de la déesse de la compassion.

 

Elle correspond au Japon à la Déesse "Kan'non", au Tibet à "Tchenrezy" en Inde à Tara ou à Avalokiteshvara et en Egypte ancienne à Hathor...

 

Contrairement à l'opinion commune, la "compassion" est une notion subtile, voire ésotérique qu'il est impossible de partager en l'expliquant!

 

Dans la tradition japonaise, il est dit allégoriquement que "Kan'non" possède pas moins de 33 représentations...

 

Certaines ont 11 têtes, d'autres 1000 bras...

 

C'est une manière raffinée d'exprimer qu'une compréhension "profane" (de "pro" = devant et "fanum" = le temple, c'est à dire "extérieure au temple") traduit et trahit inéluctablement la compassion par de la "pitié", de la "charité", de "l'amour"...

 

Seule une approche "sacrée", rendue possible par le "temple intérieur", appelé parfois le "sensorium intérieur" par certains mystiques, permet de "ressentir avec le cœur" cette "agapé" que l'intellect ne peut que déformer!

 

Comment ne pas y revenir bientôt! 

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 10:10

british-library-12e-siecle.jpg 

 

Voici une belle enluminure, issue d'un manuscrit du 11ème siècle de la Britisch Library qui représente une apothicairerie.

 

Les deux personnages exprimant des points de vues nuancés correspondent bien au sujet du jour: l'exotérisme et l'ésotérisme que l'on pourrait représenter par deux abbés... 

 

Dans le symbole des deux abbés, l'un des deux recherche toujours un aspect agréable, mais extérieur et parfois un peu superficiel des choses tandis que l'autre s'attache à un aspect profond et à une efficacité ineffable...

 

Le moyen âge nous a donné beaucoup de remèdes concoctés par deux abbés...

 

Nous pourrions évoquer les nom de l'Abbé Delarue (ça ne s'invente pas!!!) et de l'Abbé Soury à la base d'une célèbre potion, la "Tisane des deux Abbés" commercialisée depuis sous la "Jouvence de l'Abbé Soury".

 

Notre culture populaire ne manque pas d'exprimer parfois certains symboles sous la forme de blagues, comme l'histoire des deux abbés qui gravissent une montagne. L'un est costaud, l'autre est chétif, mais le costaud peine à gravir la montagne, tandis que le chétif y parvient sans peine... Pourquoi? Simplement parce que c'est l'abbé bête qui monte, qui monte...

 

La tradition orientale raconte autrement l'histoire...

 

Ce sont deux abbés qui parcourent le pays de monastère en monastère. Le premier porte beau et s'exprime remarquablement, le second, au contraire est plus effacé, et hésitant à s'exprimer, il bredouille à peine quelques mots, tandis que l'autre tient conférence.

 

Mais lorsque les deux sont partis, ce sont curieusement les messages du second que l'auditoire a retenu...

 

Le second devait être "juste de voix"!

 

Un Frater, faisait remarquer que "l'expression juste de voix fait certainement référence à la formation rigoureuse de prêtres qui devaient chanter juste".

 

Et oui! Notre Frater, a certainement raison en ce sens que "chanter juste" permet d'établir l'harmonie indispensable des participants. 

 

Mais le seul son juste est-il suffisant pour établir les conditions vibratoires souhaitées par un rituel? La question est posée...

 

Notre Frater poursuit en concluant que "cette justesse de voix peut, par extension devenir une gnose qui s'applique au "chemin 8 fois sain" des bouddhistes: pensée juste, parole juste, acte juste, etc."

 

Cette approche est parfaitement plausible, mais est-elle complète et satisfaisante?

 

N'avons nous pas tendance à oublier le rôle discret du deuxième abbé?...

 

Voir la suite... "le Forum des deux Abbés". 

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 11:10

 

kekrops.jpg 

"Les Rosicruciens n'amènent pas la porte..."

 

Comment le chercheur qui découvre quelques richesses échappées des temples rosicruciens doit il agir pour partager "ce qu'il est bon que les hommes connaissent"?

 

L'erreur classique du Néophyte enthousiaste consiste à montrer avec insistance et conviction la porte d'un temple détenteur de la grande lumière.

 

Cette tentative, pourtant légitime de transmission, le fait passer naturellement pour un illuminé dans le mauvais sens du terme car il est tenté non pas de se contenter de "montrer la porte du temple", mais d'"amener la porte" en fanatique obstiné qui veut obliger les autres à pénêtrer...

 

Traditionnellement, la démarche devrait consister en une recherche humble de la source de la connaissance et de la lumière, puis, une fois parvenu à un développement jugé suffisant par ses guides invisibles, il reçoit alors les signes indiquants qu'il doit s'attacher à témoigner à sa manière de ce qu'il a reçu en l'adaptant parfaitement aux us et coutumes de son époque, quitte à ne montrer la source qu'à ceux qui sont prêts...

 

Il ouvre alors une tombe!

 

C'est pour cela qu'on ne verra jamais les temples égyptiens essaimer mais plutôt des chercheurs aller en Egypte, poursuivre de longues études, et un jour retourner dans leur pays adapter ce qu'ils ont reçu.

 

Il en est ainsi du légendaire Kékrops (Κέκρωψ), appelé parfois "Cecrops" ou "Cécrops" ou encore "Cékrops", qui fonda la civilisation athénienne.

 

Les grecs le considèrent comme un enfant de l'Attique, la région d'Athènes, mais il se trouve être aussi un initié des prêtres de Saïs, la ville du delta égyptien, dont le temple de Neith constituera le centre initiatique privilégié des grands initiés du monde grec.

 

Kékrops, une fois initié redécouvre donc en Grèce un monde primitif voué au culte de Poséïdon, c'est à dire symboliquement de personnes à la recherche du pouvoir de la terre et de la mer... 

 

Kékrops va symboliquement prendre partie pour la déesse Athena (la forme grecque de Neith) en choisissant la branche d'olivier en forme d'arc de la déesse,  qui s'oppose au puit d'eau saumâtre de Poseïdon...

 

Grâce à Kékrops, Athéna vaincra et ce sera une dizaine de siècles avant JC le commencement timide de la civilisation athènienne.

 

Athéna chasseuse, guerrière et instructrice de son peuple, en sera également la fleur élevée (αθοζ, athos), et la nourrice (τιθηνη, tithéné)...

 

Kékrops, ci-dessus est représenté chez les grecs comme un roi "διφυές" (diphues) c'est-à-dire double...

 

En fait, Kékrops est trois fois double: double par sa forme, double par la jonction entre la Grèce et l'Egypte, double par les deux force de Neith, la déesse égyptienne du fameux "Noùs" des rosicruciens...

 

En effet, Kékrops possède en lui le serpent vivant sur le sol, la force d'en bas, qui peut aussi être vue comme une racine qui fait de lui un "autochtone", un homme de son pays...

 

Et Kékrops est également un homme, portant un bâton (héritier de l'Ouas égyptien qui maîtrise les serpents...) c'est à dire un civilisé fervent d'Athéna et non plus un supporter primitif de Poséïdon...

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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 13:25

karma3.jpg

 

Le karma est un mot sanskrit qui exprime une action, une œuvre, un rituel.

 

Le terme qui est répandu dans le langage populaire, est un héritage des religions orientales comme l'indouisme qui a incorporé des notions comme le karma de caste ou du bouddhisme du grand véhicule qui enseigne 14 dénigrements du bouddha.

 

Naturellement la démarche rosicrucienne invite à un retour aux fondamentaux: "toute action entraine une réaction".

 

La notion est assez claire si nous lançons une balle dans un mur: elle nous revient...

 

Mais les petits malins ne manquent pas de remarquer que s'il n'y a pas de mur c'est plus difficile de la faire revenir et qu'il faut trouver un exemple plus futé.

 

Les rosicruciens parlent plus généralement de "loi de compensation."

 

Le rosicrucianisme lewissien fait appel à notre ressenti d'une "justice divine universelle" par laquelle "nous recevons, comme conséquence de nos actions, des réactions de même nature, soit bonnes soit mauvaises, selon les actions elles-mêmes".

 

Il ne s'agit naturellement pas d'une croyance mais d'une hypothèse de travail à approfondir. 

 

Quel serait en particulier le processus qui serait mis en œuvre et son objectif?

 

En progressant sur le sentier le chercheur apprend à pardonner aux autres et à lui même.

 

Il imagine facilement que l'objectif du processus serait pédagogique et pas punitif comme le dieu vengeur de certains fanatiques...

  

Que la loi éventuelle n'a pas besoin de gros moyens pour parvenir à ses fins. Le battement d'aile d'un papillon moderne peut faire autant que le célèbre clou de Benjamin Franklin:

 

"À cause du clou, le fer fut perdu.

À cause du fer, le cheval fut perdu.

À cause du cheval, le cavalier fut perdu.

À cause du cavalier, le message fut perdu.

À cause du message, la bataille fut perdue.

À cause de la bataille, la guerre fut perdue.

À cause de la guerre, la liberté fut perdue.

Tout cela pour un simple clou."

 

Que le processus compensatoire susceptible de s'appliquer ne peut être déclanché que par nos pensées et en particulier par la culpabilisation.


 

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 06:32

sphinx-grec.jpg 

Il y a une centaine d'années nos grand-mères transmettaient encore des maximes du style "Baudet le matin, bossu le midi et en corbeau le soir". Il fallait alors un certain temps aux enfants pour comprendre le jeu de mot sur la parade superficielle de l'homme: "beau dès le matin, beau su(r) le midi et encore beau le soir" et encore plus de temps pour comprendre la caricature de l'homme qui chute:  "bête comme un âne, quand il est jeune, tordu comme un bossu, quand il est adulte et sombre comme un corbeau quand il est vieux"...

 

C'est naturellement le même procédé que l'on retrouve dans le questionnement du Sphinx à Œdipe dans le labyrinthe, représentant naturellement le "labeur intérieur".

 

- "Qui marche à quatre pattes le matin, sur deux à midi et sur trois le soir"?

 

Lorsque Œdipe répond "l'homme", le sphinx "disparait", Œdipe "tue ainsi son père et épouse sa mère"...

 

Naturellement le premier niveau de compréhension est popularisé: c'est l'enfant qui marche à quatre pattes, il est au matin de sa vie, l'adulte marche sur ses deux jambes et le vieillard s'aide d'un bâton.

 

Malheureusement l'humanité passe généralement toute sa vie sans décoder que marcher à quatre pattes, c'est aussi une allégorie: être prisonnier des 4 éléments de la matière, terre, eau, air et feu, dans lesquels erre le jeune Œdipe.

 

Il a les pieds bien chargés (Œdipe "eude-peos" de οίδημα =œdème, πούς = pied). Il se pose naturellement l'énigme du silencieux Sphinx égyptien qui est lui-même sur 4 pattes et pour regarder le "soleil levant".

 

Mais le sphinx grec est plus explicatif, il révèle une partie du secret: il porte deux ailes pour exprimer la dualité... C'est la prise de conscience du monde astral, la dualité entre le monde physique et le monde astral.

 

L'issue sera naturellement de ne pas rester prisonnier du monde astral mais finalement de réaliser l'action transcendante, (le triangle), la maîtrise véritable et dont le bâton exprime la sagesse que le vieillard peut canaliser grâce à son accés au troisième monde, celui de la spiritualité.

 

Le sphinx, en tant que "père" ou "dieu" extérieur a alors disparu, c'est Œdipe qui a trouvé le Sphinx en lui même. Il se consacre à son Être profond. Il réalise ainsi la "noce chymique" avec sa mère la terre à qui appartient le labyrinthe, et dont il a démontré sa maîtrise...

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6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 12:09

plutarque.jpg 

"Les philosophes pythagoriciens utilisent les symboles. C'est là une manière de parler, qui tient à la fois du silence et du discours... Ce qui est dit est très clair et très évident pour ceux qui sont accoutumés à ce langage; c'est pour les ignorants qu'il est obscur et inintelligible. Le sens apparent de ces symboles n'est pas le véritable, mais il faut y chercher celui qu'il semble recouvrir."

 

D'après Plutarque, (46-125). Le portrait est issu d'une gravure du 16ème siècle.

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 10:05

agneau.jpg 

Cette jolie sculpture d'un bloc de marbre représente un des symboles que les rosicruciens du premier degré néophyte se devaient de décoder.

 

Naturellement la tentation est grande de se plonger immédiatement dans la Bible... mais ce n'est pas fondamentalement l'esprit de l'exercice puisqu'il s'agit précisément du Temple Intérieur...

 

On cherchera donc à deviner ce que représente en nous le livre fermé que naturellement nous aimerions ouvrir. Mais pour cela, l'agneau représente une pureté indispensable pour avancer dans notre travail et libérer les 7sceaux que l'on peut voir comme des facultés ou des vertus (de "vir" = l'homme...).

 

Quelles sont réellement ces "vertus" si incomprises et si déformées? Suffit-il de paraître les détenir ou faut-il aller plus loin? De quel travail rosicrucien sont-elles ou seraient-elles les effets?

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 16:17
La Fleur de l'Hibiscus

 

L'ibis est avec le babouin, un des deux symboles du dieu Toth, le vecteur de la Connaissance... 

 

La fleur de l'Hibiscus (arbuste de l'ibis) proche de la rose trémière par ses 5 pétales n'est pas "la fleur rouge qui surgit du marais et rend la vue" qui fut utilisée par le Dieu Toth pour soigner l'œil d'Horus.

 

Il utilisa la fleur rouge d'une variété de laurier rose...

 

Mais dans le contexte de l'inondation du Nil, l'hibiscus est une plante qui pousse facilement et doit sembler surgir de nulle part. Un symbole rosicrucien? 

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L'Enseignement des 4 Lionnes


Il y a 4500 ans, en Égypte, les 4 lionnes (les divinités Chesmet, Ouadjet, Sekhmet et Bastet, la chatte, la petite lionne) transmet-taient un enseignement quasiment perdu au cours des âges et dont le Bistrot, dans plusieurs dizaines de messages, a reconstitué les fondamentaux.


Elles correspondent à ce que la Mater, la mère, des Temples Rosicruciens, placée à l'Ouest a mission de veiller à perpétuer par la purification de Maat.


Ce sont l'aspiration à accéder à la Conscience Cosmique, la nécessité d'éviter l'égocentrisme, la neutralisation des colères, et l'éloignement des jouissances profanes.


Ceci étant acquis, la démarche rosicrucienne proprement dite pourra commencer dans la vraie vie.    

Les Trésors De La Cave...

Hymne Rosicrucien 1916

Let There Be Light

 

Localisation des Buveurs

promotion et affiliation

Les Livres du Bistrot

Ces livres rassemblent, adaptent et complètent des Messages du Bistrot.

Initiation à la Géomancie Cosmique: une technique de consultation des Maîtres Cosmiques.

Une Histoire au Coin du Feu: Comment Lewis racontait la Rose+Croix.

Un Rosicrucien nommé Lebrun: l'Histoire de ce français devenu Grand Maître des USA.

La Transmission Rose+Croix du Cénacle de Tübingen: la Résurgence germanique du 17e siècle.

Les Chevaliers de l'Aigle Noir Rose+Croix: 3 rituels antérieurs à la récupération christianisante,

Une Monographie Rosicrucienne du 1er Degré du Temple: un degré revisité par le Bistrotier,

Le jeune Couple du Reiki: le Reiki est affirmé comme une forme de la R+C japonaise...

Le Village du Diable: après l'initiation de Toulouse, HSLewis entre Montpellier et Millau...

Le Mystérieux Coffret Brun: les questions éternelles concernant la Rose+Croix

Marie Louise Clemens, une enquête sur un maître caché: le Hiérophante d'Harvey Spencer Lewis

Le Père Gautier, l'identification d'un jésuite, Imperator méconnu de la Rose+Croix

Arnaud de France et la Rose+Croix: l'origine de l'Ordre au temps de Charlemagne 

Une Monographie Rosicrucienne du 2e Degré du Temple: un degré revisité par le Bistrotier

L'Égypte des Rosicruciens: pour comprendre la transmission héliopolitaine de la Rose+Croix

Mando: la mystérieuse demande osirienne pour devenir Rosicrucien!

Louis-Claude de Saint Martin au Bistrot de la Rose+Croix: comment devenir un Intime de Saint-Martin!

Une Quête Mystique: le Bistrotier confie ses expériences pour partager les découvertes qui ont jalonné son chemin.
 

(Cliquer pour commander)

Les Confidences Du Bistrotier

Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. 
Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. 
Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...