28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 12:00

kuan-yin-Vitthal-Das.jpg 

N'est-ce pas une magnifique représentation contemporaine de la déesse "Kuan Yin".

 

Elle est l'œuvre de l'artiste Vitthal Das.

 

"Yin" indique l'énergie terrestre (complément de l'énergie vitale "Yang") et "Kuan" qui véhicule une idée de contemplation bienveillante.

 

C'est la représentation chinoise de la déesse de la compassion.

 

Elle correspond au Japon à la Déesse "Kan'non", au Tibet à "Tchenrezy" en Inde à Tara ou à Avalokiteshvara et en Egypte ancienne à Hathor...

 

Contrairement à l'opinion commune, la "compassion" est une notion subtile, voire ésotérique qu'il est impossible de partager en l'expliquant!

 

Dans la tradition japonaise, il est dit allégoriquement que "Kan'non" possède pas moins de 33 représentations...

 

Certaines ont 11 têtes, d'autres 1000 bras...

 

C'est une manière raffinée d'exprimer qu'une compréhension "profane" (de "pro" = devant et "fanum" = le temple, c'est à dire "extérieure au temple") traduit et trahit inéluctablement la compassion par de la "pitié", de la "charité", de "l'amour"...

 

Seule une approche "sacrée", rendue possible par le "temple intérieur", appelé parfois le "sensorium intérieur" par certains mystiques, permet de "ressentir avec le cœur" cette "agapé" que l'intellect ne peut que déformer!

 

Comment ne pas y revenir bientôt! 

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commentaires

F
Petite précision/rectification yīn/yáng, non Guānyīn/Kannon n'est pas vraiment... yīn (principe réceptif) ! Et pour deux raisons :<br /> 1) En Inde, et dans presque toute l'Asie, cette entité est et a toujours été... masculine (yáng ou principe émissif) et ce n'est qu'en Chine (d'où elle passa au Japon) qu'elle est féminine (yīn).<br /> 2) Guānyīn s'écrit 觀音 (ce qui signifie observer/contempler les sons/bruits, sous entendu les lamentations/suppliques humaines), mais donc pas avec ce 陰 (yīn)-là (le son vs. le principe réceptif, même si dans l'attitude d'écouter, cette entité l'est fondamentalement).<br /> <br /> Avec tous mes vœux de Paix Profonde,<br /> <br /> Frater N.
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L
Bonjour Frater N<br /> Merci pour tous ces points intéressants permettant des échanges de qualité.<br /> Permettez que je revienne sur cinq d'entre eux.<br /> <br /> - Comme, à mon sens, les pensées sont des vibrations basses, leur rassemblement dans un égrégore, auquel nous pourrions nous attacher, au lieu de chercher plutôt à le dissiper, ne présente pas vraiment d'intérêt si nous cherchons à appréhender au delà du monde de l'Esprit (Esprit, toujours dans le sens lewissien!).<br /> Rappelons au passage que contrairement à ses successeurs, Lewis ne parlait jamais d'égrégore...<br /> Il attirait plutôt l'attention sur la différence entre l'adhésion et la cohésion...<br /> Mettons que le processus des croyances appartient à ce monde de la cohésion égrégorique...<br /> Passé un certain âge je dirais que c'est la Vie, et son monde Cosmique, qui pourraient nous intéresser davantage!<br /> <br /> - Concernant la fameuse "tolérance", gardons à l'esprit qu'il ne s'agit, comme vous le rappelez pertinemment, que d'une approche de RB destiné à maçonner l'égrégore d'un certain rosicrucianisme français, maintenant internationalisé.<br /> Mais les Rosicruciens ne devraient jamais "tolérer" les ténèbres de l'ignorance et des superstitions, ni redouter le "corroz de Charlemagne"... <br /> <br /> - Vous évoquez le concept du "centre vide"... Est-ce rosicrucien (au sens authentique du terme!)? Souvent sont attachés à ce "centre vide", ce que nous pourrions appeler des "égrégores asiatiques", qui au passage détournent par leur incompréhension le message que les Rosicruciens avaient donné lorsqu'ils évoquaient la fonction vacuitaire...<br /> <br /> - Savez vous que la référence à la Paix Profonde des rosicruciens actuels est tronquée... Autrefois elle était indissociée de la Joie Ineffable. (Voir peut-être la Jocunda ou la Perfeta Letizzia...) C'est une approche qui offre de riches perspectives! <br /> <br /> - Enfin, en évitant toutefois de dogmatiser, je m'efforce de dissuader d'enfermer la Rose+Croix dans ce que l'on nomme rapidement de nos jours un "symbole"...<br /> <br /> Avec toute mon amitié fraternelle!<br /> Francis
F
Cher Francis,<br /> <br /> La question du plus grand " respect des croyances " ou tolérance (dans la plus stricte indépendance, comme le disait Raymond) peut-être tout autant une marque d'ouverture d'esprit, quand elle est sincère, qu'une marque de mépris et donc de fermeture (ou, dit positivement : d'un affichage de la supériorité de notre propre Ego face à ces " croyances ", qu'elles soient justifiées ou non... et à laquelle notre Ego veut immédiatement substituer ses propres croyances, comme tu le sais) ; chacun saura pour soi et chacun est responsable du chemin qu'il prend, avec plus ou moins de Lumière ou d'Illusion. Ouvrir son cœur et essayer d'être sincère en toute chose me semble être un des fondements du rosicrucianisme ; je m'y efforce à ma modeste mesure. La recherche intérieure et extérieure (les deux sources indissociables de l'autorité) nous poussent à essayer de distinguer les croyances sans fondements, des croyances indécidables et des croyances justifiées et (sans doute) vraies ; décidément le nombre 3 revient souvent...<br /> Pour ce qui est des égrégores, à moins que tu n'en donnes une définition contraire, puisque nous participons tous les deux au Bistrot, cela signifie que nous sommes rattachés par un même égrégore : à cette conscience/entité collective crée naturellement par n'importe quel groupe. Au vu de cette définition, si on peut se couper de certains égrégores indésirables (ce qui est une bonne chose), on ne peut pas se couper de tout égrégore (et sans doute même en étant ermite), pas plus que l'on ne peut se passer de croyance pour penser (que nos propositions ou croyances soient vraies, indécidables ou fausses) ; d'où l'intérêt de savoir choisir les égrégores qui sont réellement bénéfiques pour notre être, à long terme (et pour les autres quand on en crée un, de fait). Seul notre discernement et notre capacité à sentir la Vie, l'Amour et la Lumière le permettront en nous amenant plus de certitudes. Notre manque de discernement n'est jamais sans conséquence et tu fais bien de rappeler les dangers souvent méconnus de l'appartenance à un quelconque égrégore.<br /> Pour le reste de ta réponse, il te suffira de relire la dernière ligne de mon message pour bien voir qu'il ne s'agit pas de mettre en avant la dualité, mais l'Unité (que ce soit ou non qqc récupéré, de façon plus ou moins heureuse, par le New Age n'y change rien), qui se manifeste de façon trine ; c'est d'ailleurs aussi ce que disent les concepts complémentaires yīn et yáng, qui ne sont pas explicatifs, mais seulement descriptifs et invitent à trouver le point neutre au centre (du cercle certes, pas du carré), le Tàijí pour ceux qui connaissent (il est vrai que Guānyīn est un peu éloignée de la tradition rosicrucienne occidentale). En termes de genre, les langues antiques ont pour les mots presque toutes trois genres (masculin, féminin et neutre), comme c'est le cas par exemple en allemand, latin, grec ou sanskrit (qui a d'ailleurs trois " nombres " : singulier, duel, pluriel)... ou un seul genre pour tout le monde (on ne différencie alors pas), comme c'est le cas en japonais et en chinois.<br /> Les Nombres ne sont que des symboles, mais qui nous permettent donc de nous " relier à " (même principe que l'égrégore), tout comme le symbole de la Rose+Croix. Il est vrai que l'idolâtrie est chose commune, tout comme l'iconoclasme. Entre les deux se trouvent sans doute un plus juste milieu.<br /> La traque et la non alimentation de notre Ego est effectivement fondamentale pour toute recherche spirituelle et je te remercie de le mettre à nouveau en lumière. Il est vrai que notre Ego a toujours... notre niveau et que, donc, nous n'avons aucun avantage particulier sur lui autre que notre capacité à soutenir une vigilance consciente, pour lui faire subir un régime et trouver ce centre vide, ce juste milieu, dont les traditions asiatiques parlent toutes, et qui est une façon orientale d'indiquer la Paix Profonde, là où plus rien n'obscurcit notre jugement et notre cœur, là où donc nous n'avons plus d'entrave et sommes intérieurement libres. Mais la libération ne vient que de nous-même, des chaînes et illusions que nous laissons réellement tomber. Tout chemin de croix n'est pas de tout repos, nulle rose sans quelque épines. À nous de continuer à jardiner : à enlever les mauvaises herbes pour faire de la place pour les bonnes (distinguer) et à semer les graines pour les faire pousser (entretenir).<br /> <br /> Avec tous mes vœux sincères de Paix Profonde,<br /> <br /> Frater N.
L
Merci pour votre intervention. Le rosicrucianisme se doit de respecter les croyances et en particulier celle concernant la dualité de la création, d'autant qu'elle est partagée non seulement au sein de l'égrégore taoïste, mais également par un courant d'amorquiens récents qui se sont crus autorisés et qualifiés pour créer des "plans" qu'ils relient au sumum bonum.<br /> Mais admettez que croyance ne signifie pas autorité!<br /> De la même manière, il existe une divinisation des nombres attribuée à des (pseudos!) récupérateurs de la pensée pythagoricienne qui constituent également un égrégore de croyance assez répandu dans le courant new-âge, où l'on parle facilement du "Un" ou de "l'unique" ou encore de "l'Unité" que l'on relie ou non au "grand tout". <br /> Mais il est important pour un chercheur rosicrucien sincère d'intégrer l'idée qu'il s'agit là aussi de croyance!<br /> Dans le rosicrucianisme, pour revenir à la démarche qui nous intéresse au premier chef, les premiers degrés Néophytes ont vocation à conduire le Chercheur à s'affranchir des croyances, des théories, des égrégores, des religions, bref de tout ce à quoi se rattache l'ego où derrière quoi il est susceptible de se cacher! <br /> N'est-ce pas indispensable lorsque l'on privilégie d'une manière responsable une démarche qui consiste à ne plus l'alimenter?<br /> N'est-cet pas la démarche la plus directe et la plus difficile qui soit?<br /> Bien fraternellement
F
Le yīn et le yáng désignent les polarités fondamentales de notre Création et les mouvements énergétiques qui leur sont associés, mais ils sont fondamentalement relatifs et non absolus. Ils ne désignent pas la nature physique femelle ou mâle, seulement le " genre " comme l'on dit maintenant : masculin ou féminin. Les femmes modernes sont souvent très actives et, de ce point de vue-là, sont très yáng ; l'homme qui prie beaucoup est ainsi très yīn, toujours par son activité (ce qui ne l'empêche pas éventuellement de pratiquer le karaté et donc d'être également très yáng à ses heures perdues, etc.).<br /> Le symbole relie deux parties qui ne forment qu'une seule et même chose. L'attribution du genre repose sur des considérations culturelles et donc locales qui ressortissent sûrement plus de l'anthropomorphisme. Un autre exemple en comparant le français et l'allemand : le soleil / die Sonne (genre féminin), la lune / der Mond (genre masculin). Le culturel a souvent qqc d'arbitraire, parce que socialement fabriqué.<br /> Si le Japon a toujours eu une capacité à s'approprier ce qui vient de l'étranger pour en faire sa chose à lui, en la " nipponisant ", la traversée de la mer de Chine est souvent moins signe de purification que de désastres et typhons (kamikaze). D'ailleurs, les japonais ont souvent essayé de garder les choses intactes ou presque, aussi proches que possibles de la forme dans laquelle elles avait été reçues (kata et yukata traditionnels, par exemple), figeant ainsi toute possibilité d'évolution... autre que celles déjà contenue dedans (108 ans, n'est-ce pas ?).<br /> La séparation du pur et de l'impur (souillure, etc.) est l'une des questions majeures à laquelle répond toujours une culture donnée, avec des biais ethnocentriques et clivants évidents. Mais il est vrai que l'Un n'est pas pensable de façon duale.<br /> Avec tous mes vœux de Paix Profonde,<br /> <br /> <br /> Frater N.
L
Oui c'est intéressant de relever ces nuances de masculinité/féminité pour exprimer des finesses d'un autre plan. Sont-ce vraiment des symboles absolus? (Pour ma part je ne pense pas. Les égyptiens ont bien Geb masculin pour la terre et Nout féminin pour LE cosmique) Par ailleurs, l'aspect insulaire joue beaucoup dans la pensée japonaise, l'idée de traverser la mer de Chine pour parvenir au Japon est nécessairement considéré comme une purification... c'est aussi ce que pensent les anglais pour ce qui vient d'Europe et qui devait traverser le "channel".
F
<br /> Hello Salam pourquoi ton message est-il revêtu d'une charge si méprisante?<br /> <br /> <br /> Quel est ton problème???<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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S
<br /> Le Noùs des monographies de base n'est qu'une pâle copie du Tao<br /> <br /> <br /> Le Noùs que nous montre le lien de ton post n'est qu'une pâle copie de la structure ADN<br /> <br /> <br /> Lewis n'est qu'un pâle copiste. Non seulement de la pâle copie mais aussi de l'appropriation, sous le masque d'une terminologie prétentieuse et mystifiante.<br /> <br /> <br />  <br />
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F
<br /> @ Salam,<br /> <br /> <br /> Je pense qu'il existe une multitude de représentation du noùs. J'en avais relevé quelques uns dans cet article: lien.<br /> <br /> <br /> Lorsque nous le représentons d'une manière circulaire, nous insistons sur son plan de manifestation stabilisé. C'est une approche qui conduit à une attitude contemplative comme l'adoration. <br /> <br /> <br /> Lorsque nous le représentons par un triangle, il y a quelque part une volonté interventioniste... Nous sommes dans le monde de l'action.<br /> <br /> <br /> Franchement, ces approches me semblent parfaitement compatible!<br /> <br /> <br /> C'est un sujet qui recouvre finalement toute l'étude rosicrucienne. Il n'est certainement pas possible intellectuellement de le boucler définitivement.<br /> <br /> <br /> Dans l'Amorc des débuts, Lewis en avait fait le fondamental du 4ème degré en introduisant une "approche du manuscit de Nodin" qui était une passerelle conduisant à divers développements<br /> passionants combinant la "loi du Triangle" et "l'Ideal du cercle"!<br /> <br /> <br /> Donc, à mon avis,  qu'il y ait un "problème" à concillier tout cela est certainement tout à fait naturel et légitime...<br /> <br /> <br /> Il existe d'ailleurs de nombreux travaux sur le Noùs, certains sont précis et techniques, d'autres sont "vaporeux"...<br /> <br /> <br /> Merci de partager ta sincérité.<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br />
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S
<br /> @ fm<br /> <br /> <br />  il y a quand même une différence flagrante dans la vision ( le ressenti si tu préfères) que j'ai de l'un et de l'autre<br /> <br /> <br /> Dans le symbole du Tao que tous les bistrotiers connaissent, j'imagine, nous pouvons voir que les deux principes non seulement cohabitent mais aussi s'interpénètrent dans l'ensemble.<br /> <br /> <br /> Dans l'image que j'ai gardé suite à la lecture de la monographie  appropriée je vois encore  l' esprit et la force vitale comme tributaire du noùs dans lequels ils cohabitent et<br /> s'interpénètrent, là seulement, avec la représentation mentale d'un Y inversé.<br /> <br /> <br /> On peut rapprocher cette image avec celle montrant le triangle debout propre au plan terrestre s'imbriquant avec la pointe de celui qui illustre le plan céleste.<br /> <br /> <br /> Il est facile de remarquer que ces deux images sont placées sous le signe du triangle alors que le tao ,lui, est placé sous le signe du cercle.<br /> <br /> <br /> La symbolique du Tao m'évoque l' unité, des principes et l'immanence; tandis que la symbolique du Noùs m'évoque la sèparation, des forces et la transcendance. Ce qui rend l'un moins substancié<br /> que l'autre.<br /> <br /> <br /> J'ai donc un problème à concilier les deux.<br />
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F
<br /> Hello Morgane!<br /> <br /> <br /> Merci d'intervenir pour la Grande Déesse!<br /> <br /> <br /> Ça me fait plaisir!<br /> <br /> <br /> Biz<br />
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M
<br /> Bonjour !<br /> <br /> <br /> J'ai travailler sur cette représentation, d'une manière un peu moins intélect, cet article est très bien ^^<br /> <br /> <br /> Biz, Morgane.<br />
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F
<br /> @Salam<br /> <br /> <br /> Tu pensais vraiment que tout changeait radicalement de l'autre côté des Hymalayas? Le Noùs, le Tao, même combat!<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> avec au milieu Hathor qui devient Tara... On se marre!<br />
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S
<br /> Rassurez moi!  Le Yang et le Yin  n'ont rien à voir avec l' Esprit et la Force vitale chers à Lewis?<br /> <br /> <br /> Par principe je n'arrive pas à concilier les deux (yang/yin, d'un côté, esprit/ force vitale de l'autre) ...j'devrais? Si oui, çà va être duraille car j'ai le sentiment qu'il y a un (bon) choix à<br /> faire pour que ce soit clair.<br /> <br /> <br />  <br />
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Hymne Rosicrucien 1916

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...