9 février 2017 4 09 /02 /février /2017 22:20
Sous la Supervision d'un Grand Maître...

Le Bistrot avait consacré quelques messages appréciés au français Clément Lebrun qui était allé aux USA prendre la fonction de Grand Maître des USA dans l'organisation de Spencer Lewis. 

Voici une petit extrait d'une lettre de Lebrun.

Nos Habitués qui se souviennent de l'histoire des "lettuces" apprécieront tout particulièrement le début du paragraphe qui commence par "So now let us"...

A présent, laissons nous traverser ensemble ce Deuxième Degré alors que j'aimerais avoir rappelé à chacun de vous que nous nous préparons pour un point culminant de nos études et de notre développement à la fin du troisième degré.

A ce moment là, chacun de vous viendra se placer sous la direction d'un Grand Maître, et vous arriverez à comprendre que chacune de ces monographies vaut davantage que son pesant d'or autant au service de votre Être intérieur que de votre être extérieur. 

Avec tous mes vœux pour la Paix Profonde, 

Fraternellement, 

CBL: ML GRAND MASTER.   (CBL pour Clément Benjamin Lebrun et ML pour la secrétaire, son épouse Marie Lebrun).

Naturellement ce fameux Grand Maître qui est évoqué ici par Lebrun est le Maître Cosmique qui s'attache à veiller à ce que l'étudiant réussisse ses "mises en pratique du 3e degré"...

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27 octobre 2014 1 27 /10 /octobre /2014 08:55

temple-echoes-2.jpg 

Les Habitués zélés du Bistrot n'ont pas manqué de chercher à identifier la tombe symbolique et en particulier le Sphinx dans lequel Lewis introduisait un document...

lewis avec le sphinxlebrun urc san jose 

 

Naturellement il s'agit du bâtiment dessiné par Lebrun pour l'Université rosicrucienne.

 

Mais si l'on compare le projet initial de Lebrun avec la représentation shématique de Lewis (en haut) qui illustre le message du jour, il y a une rectification importante.

 

En effet Lebrun imaginait les sphinx de part et d'autre d'un escalier de 3 marches pouvant correspondre aux 3 Degrès Néophytes ou plutôt aux 3 premiers Degrés du Temple, après quoi il y avait une esplanade précédant 3 ou 4 nouvelles marches donnant accès au "Temple".

 

C'était, semble t-il, une anomalie car le projet finalement retenu renonça à l'esplanade en considérant que le jardin permettait les déambulations au bas de 7 marches au niveau où le Postulant est à la recherche de sa "supplique".

 

Nous devinons une intéressante concertation au sujet de ces marches entre Lewis et Lebrun...

 

Et la question a naturellement tourné sur le nombre exact des degrés du temple, après quoi Lebrun rédigea une monographie de synthèse précisant certains détails.

 

Voici le passage concerné dans une traduction inédite du Bistrot:

 

"Tous les enseignements rosicruciens nous racontent sous une forme très précise qu'il y a un total de 12 plans d'une nature subtile entre la terre et le Cosmique, et que chacun de ces plans a une fonction bien définie, et 7 d'entre eux peuvent être contactés par nous depuis cette terre alors que nous sommes encore dans nos corps physiques.

 

"Maintenant, permettez-moi de répéter ceci d'une manière différente: il y a 12 plans ou stades de l'âme dans la Conscience Cosmique.

 

"Parmi ces 12 plans, 9 d'entre eux ont un fonctionnement précis et nous en comprenons beaucoup, mais 3 d'entre eux sont d'une telle nature spirituelle, haute et infinie, que nous ne savons sur eux que très peu de choses, et nous ne pourrons ressentir leur véritable nature qu'après la transition, et ne ramener d'eux au travers de chaque incarnation qu'un léger souvenir."

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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 08:57

campanile venise effondrement 1902

 

madison av1 metropolitan life building construction

Il y a des coïncidences qui dérangent...

 

Les Habitués du Bistrot qui suivent depuis quelques semaines certains moments forts de la vie de Clément Lebrun ont eu l'occasion de focaliser récemment leur attention sur le "Metropolitan Life Building" du 1 "Madison Avenue" dans lequel il avait installé sous le nom modeste de "Brun" son cabinet d'architecte.

 

A l'inverse des personnes égarées qui se distinguent, conformément au niveau vibratoire de leur corps psychique, en faisant ressortir un aspect sombre réel ou supposé dans chaque chose, les Rosicruciens s'efforcent au contraire de vivre au cœur d'un foyer de Lumière.

 

C'est ce qui nous conduit à nous efforcer de ressentir ce que représentait au début du 20e siècle ce curieux immeuble et son inspiration, le "Campanile" de Venise et de découvrir une curieuse magie à l'œuvre...

 

La photo du haut représente l'effondrement du Campanile de Venise en 1902.

 

Ce campanile était appelé le "Paron de Casa", c'est à dire le "patron de la maison", car c'était un centre de commandement.

 

Il fut à l'origine un phare construit au 12e siècle, il devint une tour de guet, et un clocher dont les 5 cloches avaient des fonctions bien précises.

 

Ainsi, la "Maleficio" annonçait une exécution capitale, la "Trottiera" convoquait les magistrats au palais ducal, la "Nona" sonnait la 9e heure, la "Pregadi" priait les sénateurs de se rendre au Sénat, et enfin la "Marangona", la chapentière, qui mettait tout le monde au travail.

 

Mais le 14 juillet 1902, comme montre la photo d'en haut, le Campanile s'est effondré, en ne faisant que 5 victimes: les 4 premières cloches et le chat du concierge.

 

Seule la "Marangona" a tenu bon et, de nos jours encore, dans le Campanile reconstruit à l'identique en 1912, mais en ajoutant un ascenseur,  elle sonne quotidiennement à minuit invitant les touristes vénétiens à réveiller leurs amis lointains pour leur partager au téléphone et en direct sa sonorité unique...
 

 

C'est naturellement l'effondrement du Campanile vénézien en 1902 qui incita les new-yorkais à réaliser le "Metropolitan Life Building" dont nous avons remarqué au dessus la dernière étape de sa construction: le pyramidion au sommet...

 

Et pour se mettre dans l'ambiance, voici, filmée à 200m du site du futur building, la vidéo d'une scène de la vie new-yorkaise de 1902.

 

De la même manière que Venise était au 15e le centre du monde marchand, New-York allait le devenir au 20e siècle. 

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 08:13

madison-av1-metropolitan-life-buiding.jpg

madison-av1-metropolitan-life-building-nuit.jpg 

Sur cette vieille carte postale de New-York, le parc est "Madison Square" et, nous voyons de haut en bas à gauche du parc, le début de "Madison Avenue" avec au numéro 1 le magnifique "Metropolitan Life Building" où se trouvait avant 1923 le bureau de l'architecte Clément Lebrun, le futur Grand-Maître américain.

 

Clément Benjamin Lebrun se faisait appeler "C.B.Brun", ceci afin d'éviter toute confusion avec l'architecte Napoleon Lebrun, et son fils qui précisément avaient construit le building, lequel était financé et exploité par une compagnie d'assurance, la Metropolitan Life Compagny dont la devise était "la lumière ne faiblit jamais"...

 

La forme de la tour, pourrait nous rappeller quelque chose, c'est normal, elle est directement inspirée du Campanile de la place Saint Marc à Venise que nous montre la célèbre "Plazza san Marco" de Canaletto...

 

campanile-venise-canaletto.jpg

 

Notons la magnifique horloge, la plus grande du monde, plus grande que Big-Ben à Londres, et la première à être éclairée la nuit et à utiliser aussi largement une électricité qui lui était indispensable pour faire tourner la grande aiguille d'une demi-tonne.

 

De nos jours encore, alors que les ailes du building ont été démolies, elle continue, de donner l'heure, nuit et jour, au quartier de Manhattan.

 

On disait au début du 20e siècle que "les hommes entraient à New-York comme les empereurs romains sur un char"... 

 

Cela expliquerait, au sommet, une immense statue de Diane avec son arc, œuvre de Saint-Gaudens (irlandais d'origine), qui a été retirée depuis, mais que l'on voit encore sur les vieilles photos comme ci-dessous.

 

Plus tard, des buildings géants ont remplacé un peu partout les anciens immeubles tandis que les new-yorkais, loins de se véhiculer sur des chars romains, se sont habitués à utiliser le métro et les critiques ne se sont pas privés d'affirmer que "les empereurs devenaient des rats courant dans les égouts"...

 

Jusqu'en 1913, cette tour était le plus haut gratte-ciel du monde et les Buveurs et les Buveuses du Bistrot auraient payé un demi dollar pour accéder au 50e étage sur la galerie surplombant New-York.

 

statue-de-diane-madison-saint-gaudens.jpg

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 14:57

tintin-echelle.jpg 

Il est d'usage, lorsque l'on demande à un vieil étudiant de la Rose+Croix, où il en est dans ses études, qu'il réponde avec une certaine autodérision:

 

-"Après le 9e degré"...

 

Clément Lebrun affirmait:

 

"Tous les enseignements rosicruciens nous précisent qu'il y a un total de douze plans d'une nature subtile entre la terre et le Cosmique, et que chacun de ces plans a une fonction bien définie.

 

"Sept d'entre eux peuvent être contactés par nous depuis cette terre alors que nous sommes encore dans nos corps physiques.

 

"Parmi ces douze plans, nous comprenons beaucoup de neuf d'entre eux , mais les trois suivants sont d'une telle nature spirituelle, haute et infinie, que nous ne savons sur eux que très peu de choses, et nous ne pourrons ressentir leur véritable nature qu'après la transition, et finalement nous ne ramenons à chaque incarnation qu'un léger souvenir d'eux.

 

"Les 9 autres, comme je l'ai dit, nous en savons quelque chose, et nous pouvons contacter sept d'entre eux de temps à autre par les plus hautes expériences ésotériques que nous pouvons mener ici, tout en vivant sur le plan terrestre."

 

Cela se trouve recoupé par Robert Wentworth Little, le fondateur en 1866 de la Societas Rosicrucianis In Anglia (ou "SRIA", la Société Rosicrucienne en Angleterre), qui, pourtant, ne disposait pas d'une patente rosicrucienne autorisant à fonder un ordre.

 

La SRIA proposait à des Maîtres de la Franc-Maçonnerie, quatre grades d'apprentissage: Zélator, Theoricus, Practicus  et Philosophus, puis trois niveaux d'enseignement: Adeptus Minor Adeptus Major et Adeptus Exemptus et enfin deux hauts grades, réputés supra-humains: Magister Templi et Magus, qui n'étaient attribués qu'aux "Chefs Secrets" ou décernés Honoris Causa, c'est à dire "pour l'honneur" à d'anciens membres ou à des administrateurs.

 

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23 septembre 2014 2 23 /09 /septembre /2014 08:28

lebrun-urc-san-jose.jpg
 

Lorsqu'un mystique progresse dans son cheminement rosicrucien, il est toujours partagé entre le désir de tirer un trait sur ses activités profanes et celui d'utiliser ses capacités acquises au service de la Rose+Croix.

 

Ainsi, lorsqu'un architecte se sent engagé dans le rosicrucianisme, il a donc forcément à cœur de réaliser un bâtiment pour un usage rosicrucien...

 

Et naturellement Clément Lebrun n'échappa pas à la règle...

 

Voici donc le bâtiment qu'il conçut à San José pour le lancement de la "Rosy Cross University" après son arrivée en décembre 1933.

 

urc-san-jose-copie-1.jpgLe bâtiment fut ensuite réalisé grâce à de nombreux dons.

 

Mais dans un soucis d'impersonnalité, le nom de Clément Lebrun, n'apparaît pas dans le descriptif du projet...

 

Comme c'est souvent le cas, le désir d'impersonnalité du donateur ne rend pas la tâche facile pour ceux qui cherchent à reconstituer les méandres de l'histoire!

 

Heureusement, tout demeure inscrit dans les "mémoires akashiques" et les mystiques avancés découvrent, lorsque l'occasion se présente, qu'ils disposent d'un accés privilégié qui s'ouvre parfois lorsque certaines conditions sont réunies...

 

Harvey Spencer Lewis respecta évidemment le désir d'impersonnalité de Clément Lebrun et se contenta de préciser officiellement:  

 

"Le désign architectural est égyptien afin de s'harmoniser avec les autres édifices du Rosicrucian Park. L'architecte est un officier et membre du staff de la Grande Loge."  

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 09:04

inari-bistrot.jpg 

Dans un récent message, il était affirmé que c'était Spencer Lewis qui avait introduit le conte du pain d'épice et l'allégorie des deux soleils, mais en fait, il n'avait fait que cautionner silencieusement une monographie qu'il n'avait pas rédigé...

 

Nous nous souvenons que dans la version rosicrucienne qui était dévelopée, le renard avait disparu...

 

C'était un détail frustrant évidemment pour les alchimistes qui ne voient leur grand œuvre qu'à la lumière de sa queue rousse...

 

A ce sujet, la Tradition renchérit, par une formule hermétique, en dénonçant parfois ceux qui s'évertuent à faire "le symbole de la croix avec la queue du renard".

 

Mais cette notion ésotérique fait, une fois de plus, référence à une expérience sur laquelle il est difficile de communiquer...

 

Oui, ça part mal!
 

Jean de La Fontaine avait partagé indirectement ce sujet en expliquant qu'un renard avait fait "l'expérience du piège" et s'en été finalement soustrait en y "abandonnant sa queue".

 

Et naturellement, il avait tenté de faire profiter les autres renards de son expérience, en leur suggérant de se faire eux aussi couper la queue, mais ceux-ci l'avaient rejeté lorsqu'il leur avait montré son arrière-train écourté...

 

Mais La Fontaine raconte cela très bien tout seul:

  

LE RENARD AYANT LA QUEUE COUPEE

Un vieux renard, mais des plus fins,

Grand croqueur de poulets,

Grand preneur de Lapins,

Sentant son renard d'une lieue,

Fut enfin au piège attrapé.

Par grand hasard en étant échappé,

Non pas franc, car pour gage il y laissa sa queue;

S'étant, dis-je, sauvé sans queue, et tout honteux,

Pour avoir des pareils (comme il était habile),

Un jour que les Renards tenaient conseil entre eux:

Que faisons-nous, dit-il, de ce poids inutile,

Et qui va balayant tous les sentiers fangeux?

Que nous sert cette queue ?

Il faut qu'on se la coupe:

Si l'on me croit, chacun s'y résoudra.

Votre avis est fort bon, dit quelqu'un de la troupe;

Mais tournez-vous, de grâce, et l'on vous répondra.

A ces mots il se fit une telle huée,

Que le pauvre Ecourté ne put être entendu.

Prétendre ôter la queue eût été temps perdu;

La mode en fut continuée.

 

Le sujet doit rester bien hermétique à certains Habitués du Bistrot qui doivent se demander à quoi correspond cette queue du renard où s'il s'agit, d'une référence sexuelle?

 

Il peut être utile de présenter l'histoire autrement et en variant le point de vue...

 

Un premier point consiste à dire que de la même manière que tout le monde ne met pas forcément la même idée derrière la Rose+Croix ou le rosicrucianisme, tout le monde ne met pas la même chose derrière l'alchimie...

 

Ainsi, les Rosicruciens font une distinction entre une alchimie qu'il pratiquent et celles des "souffleurs" qui utilisent un creuset extérieur et sur le feu duquel ils "soufflent" pour l'attiser.

 

Un autre aspect, que nous avons évoqué, est lié au renard et à sa couleur rousse qui fait de lui un symbole sethien (de Seth, la divinité des "étrangers"), qui exprime donc la ruse, et aussi la pseudo sagesse du monde "extérieur", quand bien même le renard serait très vieux et très expérimenté.

 

Dans les traditions orientales, le renard utilise même sa méthode (狐法, en japonais, on prononce "kituné-ho", littéralement: la "technique du renard") à base de magie afin que par ses ruses, Inari (稲荷) la déesse extérieure de la fertilité agricole puisse s'infiltrer dans nos vies parfois sous la forme d'une charmante succube asiatique nous ouvrant la porte de son égrégore ou nous offrant la clef de l'énigme...

 

Nous avons vu sur l'image d'en haut la déesse Inari sous la forme d'un renard tenant une clef dans sa gueule...

 

Mais pour comprendre tout cela, il convient de découvrir que les profanes et les initiés ne vivent pas tout à fait dans le même monde.

 

Pour donner un exemple concret, il peut arriver qu'un Rosicrucien avancé, qui a su s'affranchir des égrégores, réalise parfois en public une expérience alchimique toute simple mais avec des effets impressionnants sur la montée du taux vibratoire.

 

Naturellement une personne du public sera tenté de répéter cette expérience des dizaines de fois, sans obtenir le moindre résultat appréciable.

 

Pourquoi cette absence de résultat?

 

Simplement parce que le profane vit en quelque sorte dans un univers différent et ne se rend pas compte que seul un indispensable travail sur lui-même, lui aurait permi d'accéder, par exemple, à la fameuse humilité ésotérique garantissant la maîtrise du processus tant souhaité.

 

C'est finalement ce travail qui est évoqué dans l'idée de couper la queue du renard!

 

Pour en revenir à la monographie concernant le conte du pain d'épice et l'allégorie des deux soleils, votre bistrotier n'avait pas encore été en mesure de remarquer qu'il s'agissait d'une "lettuce", une monographie signée Clément Lebrun...

 

Rendons-donc fraternellement à Lebrun la disparition du renard!

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 06:10

lebrun-7-rue-de-la-Buffa.jpg 

Clément Lebrun, qui avait donc 60 ans en 1923 (il était né en 1863), envisageait-il une retraite tranquille en s'installant, au retour d'Amérique, avec son épouse dans ce petit immeuble cossu, situé à Nice, à 300m de la Promenade des Anglais, au 7 de la rue de la Buffa? 

 

Pas tout à fait...

 

Clément Lebrun avait suivi outre atlantique une technique de soin naissante: la "chiropractie", de "χείρ" (kheir, la main), et πρᾶξις (práxis, la mise en œuvre).

 

C'est un magnétiseur nommé Daniel David Palmer (1845-1913) qui avait découvert cette méthode de traitement, inspirée comme on le devine, du chamanisme amérindien, mais dont nous pouvons retrouver des traces à d'autres endroits du globe, puisque, selon la légende Galien (Galenos de Pergame) soignait d'une manière ressemblante les gladiateurs au 2e siècle après JC...

 
La technique consiste généralement à ébranler, dans certaines conditions, les vertèbres supérieures (atlas, axis) et parfois à les repositionner pour remettre l'homme dans le droit chemin en commençant par lui redresser la colonne vertébrale avec parfois certains résultats étonnants.

 

Naturellement Palmer s'était heurté au corps médical et il avait même fait de la prison...

 

Plus conciliant que son père, le fils de Palmer cherchait alors à contourner les difficultés en incorporant au mieux la technique manipulatoire et hypnotique initiale à la médecine classique et c'est ainsi que naquit la chiropractie moderne qui débarqua en Europe plus tard.

 

Les Buveurs du Bistrot se doutent que la démarche de Clément Lebrun consistait à retrouver et à maîtriser des techniques ressourcées par sa quête de la Connaissance et c'est dans cet esprit qu'il avait étudié consciencieusement les protocoles de manipulation du père Palmer...

 

Toutefois, il évitait une certaine brutalité inutile, et parfois irresponsable, présente dans certains ébranlements vertébraux, en lui préférant la douce efficacité de la Haute Magie pour dégager les charges psychiques...

 

Il répugnait aussi à la suggestion hypnotique laquelle met, généralement inconsciemment, un égrégore en action et il préférait élever subtilement le taux vibratoire ambiant en canalisant la Force Vitale du Noùs, comme savent le faire les Rosicruciens avancés, et il rendait ainsi la personne souffrante en mesure d'identifier par elle-même les causes de la problématique et Clément Lebrun était alors en mesure de transmettre la capacité ponctuelle d'y remédier psychiquement... 

 

Mais, au pays de Pasteur, ces choses n'étaient pas évidentes à partager et Clément Lebrun se contentait de présenter humblement son activité comme étant celle d'un "chiropracticien" formé en Amérique.
 

N'était-ce pas finalement la vérité?
 
---

(la photo est obtenue avec Google Street) 

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 08:17

bimbo-nothing-toulouse.jpg 

Parmi les informations les plus ambiguës que Spencer Lewis donne sur Clément Lebrun, il y a celle-ci:

 

"De retour dans son pays natal, il a passé un certain temps à Toulouse, l'ancien centre d'activité des Rosicruciens, et là-bas, il fit connaissance avec la pensée de certains maîtres de la sagesse philosophique et mystique.

 

"Finalement, dûment qualifiés et préparés pour leur travail plus élevé, en s'affiliant à l'Ordre Rosicrucien, sa femme et lui, furent unis dans leur dévotion à soutenir en France les activités des Rosicruciens, et, ensemble, ils ont accédé aux plus hauts degrés, maîtrisant chacune et l'ensemble des étapes et vouant avec altruisme leur vie  à l'aide des autres."

 

Texte original: Returning to his native country, he spent some time in Toulouse, the ancient center of Rosicrucian activities, and there became acquainted with some of the master minds of philosophal and mystical wisdom. Finally affiliating with the Rosicrucian Order, properly qualified and prepared for its higher work, he and his wife united in their devotion to support the Rosicrucian activités in France, and together they jave advanced to the highest grades, mastering each and every step and devoting their lives unselfishly to helping others.

 

Ce texte fut écrit en 1933, mais s'agit-il du retour en France de Lebrun en 1923 ou d'un retour précédent?

 

Naturellement l'ambigüité est volontaire dans le choix de la formulation "s'affiliant à l'Ordre Rosicrucien".

 

Le mot "s'affilier" peut être interprété d'une manière populaire comme l'adhésion à un groupe physique, mais aussi d'une manière subtile comme une connexion psychique (dans affiliation, il y a le mot "fil").

 

Et qu'exprime Lewis sous la formulation "Ordre Rosicrucien", s'agit-il de rosicrucianisme extérieur ou de rosicrucianisme ésotérique?

 

Dans un autre écrit, Lewis révèle que les résurgences françaises sont décalées de deux ans par rapport aux résurgences américaines. Par exemple, si l'on retenait 1908 pour le début de la résurgence américaine (la rencontre, à ce sujet, d'un Maître Cosmique par Spencer Lewis), il existe également en France une résurgence secrète qui aurait alors commencé en 1910 et qui, n'aurait sans doute rien à voir avec la création des deux premières loges AMORC à Nice et à Paris (en 1926-1927) et les nominations par Spencer Lewis d'André Mauprey (André Bloch), à Nice en 1926, de Charles Levy à Paris en 1927 ou de Hans Grüter (que connaissait très bien Clément Lebrun, qui lui avait fait découvrir l'AMORC de Lewis en 1930) à Nice en 1931.

 

Le fait de mentionner expressément "Toulouse" n'est-il pas un signe clair révèlant "autre chose"?

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14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 08:28

lebrun-batiment-dependant-de-l-eglise-de-la-trinite.jpg

 

Harvey Spencer Lewis nous transmet, à sa façon, un début de piste sur certaines activités de Clément Lebrun:

 

"Croyant que la connaissance variée des arts et des sciences lui serait utile dans la grande mission de sa vie, il mena a bien des études d'architecture et fit les plans d'un grand nombre d'immeubles qui furent construits en Amérique."

 

Naturellement nous sommes tentés de commencer immédiatement nos recherches en "googelisant" pour commencer: "Lebrun building".

 

Naturellement nous débouchons sur "Napoléon Lebrun"(1821, 1901) et Wikipedia précise: "architecte américain, essentiellement connu pour avoir conçu plusieurs églises de la ville de Philadelphie, en Pennsylvanie. Parmi ses ouvrages religieux les plus célèbres, on retrouve la St. Patrick's Catholic Church, (1841); la Seventh Presbyterian Church (1842), la Scot's Presbyterian Church (1843). LeBrun a également réalisé l'Academy of Music, elle aussi située à Philadelphie."

 

Même en imaginant une substitution de nom ou une vie caché de Clément Lebrun, cela ne cadre pas...

 

En effet le Lebrun de la photo est âgé d'environ 70 ans en 1933 et il est donc né une bonne quarantaine d'année après Napoléon Lebrun.

 

Pourtant, si ce que dit Lewis est vrai, le net doit mentionner son activité d'une manière ou d'une autre où alors Lewis aurait menti...

 

Nous imaginons un instant que Lewis aurait pu chercher à faire croire que Lebrun était ce Napoléon Lebrun...

 

Mais pourquoi raconter une telle salade?

 

Nous imaginons déjà les critiques, ceux qui, ne comprenant rien à la démarche mystique, s'acharneraient à critiquer une fois de plus Spencer Lewis pour l'accabler de tous les maux!

 

Mais nous recherchons la Rose+Croix authentique, pas les salades...

 

Imaginons Clément Lebrun commençant en Amérique, à l'âge de 40 ans, une activité d'architecte, précisément à la mort de Napoléon Lebrun.

 

Comment se positionne t-il par rapport à ce "Napoléon"?

 

Lui est-il apparenté?

 

Si c'était le cas, Lewis n'aurait pas manqué de le raconter quelque part, mais ce n'est pas le cas...

 

Seul un arriviste aurait cherché à utiliser le nom de Napoléon Lebrun dans l'architecture, mais nous avons affaire à un mystique rosicrucien et il est envisageable que Lebrun n'ait donc pas utilisé son nom pour son activité d'architecte...

 

Mais Lewis nous fournit quelque part une autre clef en précisant: "d'éminents individus portèrent le nom de Le Brun ou Lebrun"...

 

Cela nous met sur la piste d'un nommé Brun architecte et nous débouchons sur "Clement Benjamin Brun"...

 

La piste fournit en prime une cerise à mettre sur notre gâteau: lorsque Clement Benjamin Brun" cessa ses activités d'architecte, ce fut pour retourner à Nice en 1923...

 

(Nous savons déjà que Lebrun habitait à Nice et le SS Rex de Clément Lebrun venait de Nice.)

 

C'est déjà plus conforme au profil rosicrucien: Lebrun avait raccourci son nom en "Brun" afin de ne pas être confondu avec Napoléon Lebrun...

 

Il nous reste donc à apprécier les constructions de ce Clément Benjamin Brun...

 

D'abord ce petit immeuble encore très propre avec un garage au rez de chaussée au 214-216 de la 80th rue à New York.

 

lebrun immeuble surmontant garage


lebrun portail 

Nous notons son emploi affectionné de brique blanche qui contraste avec la brique rouge des immeubles voisins.

 

Il y a aussi cet immeuble au 207/211 de la 98th rue, toujours à New York.

 

lebrun immeuble

 

Et enfin ce joli petit bâtiment annexe de l'Eglise de la Trinité au 213 de la 82th rue qui est en tête du message.

 

Ces photos sont naturellement réalisées avec le concours apprécié de Google Street.

 

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13 septembre 2014 6 13 /09 /septembre /2014 10:31

enluminure-guillion-bigame-xve-siecle.jpg 

Encore un sujet plaisant qui naturellement fera dire à certains que les rosicruciens prônent la bigamie...

 

Nous avons constaté que le net est plutôt muet sur Clément Lebrun aussi le Bistrot propose une approche de cet authentique Grand-Maître méconnu par une série de petites touches originales et variées.

 

Encore une fois, c'est Spencer Lewis qui nous met sur la piste en affirmant que Clément Lebrun avait des origines familiales "actives dans les rangs de Chevaliers du Temple aux 14e, 15e siècle et plus tard."

 

Naturellement les Habitués ont remarqué que la période indiquée est postérieure à l'épopée des Chevaliers du Temple que Philippe le Bel avait tenté d'arrêter en 1307...

 

Lewis attire donc notre attention sur une tradition et une transmission familiale discrète et nous devinons la piste de "Guillion le Bigame, dit Lebrun"...

 

Le texte enluminé ci-dessus est extrait d'une copie manuscrite du XVe siècle des actes de bravoure de Sire Guillion dans lesquels l'histoire et la légende semblent s'interpénètrer dans une sorte de Légende Dorée, laquelle vise à transmettre aux initiés et aux initiables certains messages subtils.

 

blazon-gilles-de-trazegnies-lebrun.jpgPour l'histoire, il s'agit de Gilles de Trazégnies, d'Ittré  (blason ci-contre) qui fut un des compagnons de Saint Louis lors de la 7e croisade.

 

Trazégnies et Ittré sont en Belgique dans la province du Hainaut.

 

Quelques anecdotes semblent particulièrement marquantes:

 

La première se situe durant la 7e croisade lorsque les Croisés, qui étaient beaucoup plus forts que leurs adversaires musulmans dans le cas d'un affrontement direct, s'étaient mis en tête de conquérir l'Egypte (on peut se demander pourquoi...).

 

Version courte: ils se font piéger par une ruse de Baïbars l'Arbalétrier qui, en leur abandonnant Damiette, les laisse croire à une conquête facile, mais l'armée se disperse, l'avant garde conduite par le Comte d'Artois traverse rapidement le Nil à gué mais se fait piéger à Mansourah, (ce qui entrainera la mort du Connétable Humbert de Beaujeu et de Guillaume de Sonnac, le Grand Maître du Temple), tandis que l'arrière garde subit, tout comme les anciens envahisseurs des égyptiens des millénaires passés, des attaques par feu grégeois, après quoi Louis IX sera fait prisonnier et c'est Gilles de Trazégnies qui succèdera à Humbert de Beaujeu comme Connétable de France.
 

Le Connétable est le plus puissant du royaume après le roi. C'est lui qui dirige l'armée. Le mot connétable (=avec l'étable) montre qu'antérieurement c'était celui qui avait la responsabilité des chevaux.

 

Mais alors que Louis IX est fait prisonnier, vient se situer la légende de "Gillion le Bigame".

 

Celui-ci est marié et pense que son épouse restée au pays est décédée. C'est un homme très apprécié du sultan dont-il devient l'ami et il épouse sa fille dont il aura plusieurs enfants.

 

Quelques années plus tard, ayant appris que sa première épouse est encore vivante il rentre au pays avec sa nouvelle famille: la fille du sultan (elle est désormais convertie) et ses enfants, qui sont certainement un peu plus bruns que la norme de l'époque.

 

Le surnom de "Lebrun" lui est alors attribué.

 

La légende précise que ses deux épouses iront finalement vivre au couvent.
 

Et lorsque Louis IX, qui n'est pas très fier de la manière dont il a conduit la croisade est de retour au pays après la mort de sa mère, il est à la recherche d'un prestige perdu et c'est son Connétable qui lui en fournit l'occasion en lui suggérant de se faire une réputation basée sur une haute moralité en promouvant une justice plus juste pour le peuple qui était encore à la merci de ses seigneurs.

 

C'est là que se place l'histoire de deux enfants qui poursuivaient un lapin dans le bois d'une abbaye et qui capturèrent l'animal, en dehors de celle-ci, sur les terres du Baron de Coucy lequel les fit mettre à mort.

 

Et le Connétable Guillion demanda au roi de sanctionner le Baron de Coucy...

 

C'est l'occasion de citer ce petit extrait plein d'humour d'une pièce de théâtre pour enfant de Michel Fustier, "la justice de Saint Louis":

 

LE ROI - Baron, je vous condamne pour votre manque de discernement. La justice doit être éclairée et non pas aveugle. Pour ce que vous avez fait, vous serez vous-même pendu. La loi du talion, œil pour œil, dent pour dent, n'a pas été abolie que je sache. Qu'on emmène le prisonnier.

LE CONSEILLER - Sire, vous étiez très en colère…
LE ROI - Oui, je l'étais et je le suis encore. Il sera pendu… Plutôt pendu deux fois!
LE CONSEILLER - Puis-je vous faire remarquer que nous sommes sous la loi de l'Évangile et que Jésus nous a recommandé de pardonner à ceux qui nous ont offensés.
LE ROI - Ce n'est pas moi qu'il a offensé, mais ces deux jeunes gens, qui ne peuvent plus maintenant lui accorder leur pardon. De plus, celui qui doit faire justice ne peut pardonner inconsidérément: il doit précisément… faire justice.
LE CONSEILLER - Mais, sire, la loi du talion, que vous avez invoquée, n'a-t-elle pas été justement abolie par l'Évangile… Celui qui rend la justice ne doit-il pas se préoccuper d'appliquer de bonnes lois?
LE ROI - Jésus lui-même a dit qu'il était venu non pas abolir la loi, mais l'accomplir.
LE CONSEILLER - Oui, mais il a dit aussi: "Bienheureux les miséricordieux".
LE ROI - Cela est vrai, il l'a dit, je le reconnais.
LE CONSEILLER - Et il a dit aussi: "Tu ne te laisseras pas aller à la colère".
LE ROI – Encore! Si vous n'étiez pas mon confesseur, je m'indignerais que vous osiez me faire la morale? (un silence) Mais effectivement, il est très difficile pour un roi de savoir si rendre la justice veut dire: porter un jugement, ou simplement: être juste… Qu'on fasse revenir le prisonnier. (on le ramène)

LE ROI - La crainte d'être injuste nous a finalement amené à revoir notre sentence. Baron de Coucy, vous pourrez racheter votre vie moyennant une amende de dix mille livres, qui seront données aux pauvres.

LE BARON DE COUCY - Sire, cela est cher, mais je l'accepte…
LE ROI - Holà, cela n'est pas tout… Il vous faudra encore faire bâtir deux chapelles où vous ferez dire tous les jours des prières pour l'âme des jeunes gens que vous avez pendus.
LE BARON DE COUCY - Cela est tout à fait bienvenu et je comprends vos raisons… Merci, sire!
LE ROI - Attendez! En bonne justice, je pense que ce n'est pas encore assez: vous ferez aussi don à l'abbaye du bois dans lequel vous avez commis votre forfait.
LE BARON DE COUCY - Les moines vous en seront certainement reconnaissants… mais je trouve que c'est peut-être…
LE ROI - Et encore… j'aurais peur de passer pour trop indulgent! le sieur de Coucy fera en terre sainte un pèlerinage de trois années pleines.
LE BARON DE COUCY - Cela fait beaucoup… vraiment! Trois années…
LE ROI - Si vous trouvez vraiment que c'est trop, baron de Coucy, sachez que nous sommes toujours disposés à confirmer votre pendaison. Répondez!
LE BARON DE COUCY - Non, sire, cela ne fait pas trop. J'irai aussi en pèlerinage…

 

Mais la piste des ancêtres de Lebrun ne s'arrête pas à l'époque des croisades et si nous observons le socle de l'autel de Sainte Anne construit au 19e siècle dans l'Eglise Saint Martin de Trazégnies,  nous avons la surprise de découvrir le vieux symbole rosicrucien du pélican nourissant 3 de ses petits et non pas 7...

 

pelican-autel-saint-anne-trazegnies.jpg 

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 10:26

lebrun-serenius.jpg 


visage-lebrun-copie-1.jpgCette photo d'un portrait de Jacob Serenius (1700-1776), un suédois qui fut évèque, homme politique et scientifique, présente une ressemblance étonnante avec celui de Clément Lebrun...

 

Réincarnation?

 

C'est naturellement à chacun de se faire une opinion.
 

Naturellement les Maîtres n'ont pas l'habitude de révéler l'identité de leurs vies passées, sauf naturellement dans des circonstances précises particulière, et comme témoignage d'un "contact intime".

 

Et cela se fait en laissant toujours planer un doute afin de ne pas agresser le libre arbitre des témoins...

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Enseigner la Rose+Croix


Après 15 années d'existence, le Bistrot publie cette approche inédite d'un enseignement de la Rose+Croix.

 

Tous les thèmes abordés ont déjà fait l'objet de plus de 3000 messages accessibles ci-dessous dans Les Trésors de la Cave.

 

Pour s'exprimer ou questionner, voici un lien cliquable. Pour se procurer le livre, c'est ici.

 

Traditionnellement, il est toujours déclaré que jamais un humain ou un écrit ne pourra détenir l'intégralité de l'enseignement rosicrucien:

 

le vrai pouvoir d'un livre est de susciter chez le lecteur l'envie d'aller au delà de ce qu'il contient.

Les Trésors De La Cave...

Hymne Rosicrucien 1916

Let There Be Light

 

Localisation des Buveurs

promotion et affiliation

Les Livres du Bistrot

 

Ces livres rassemblent, adaptent et complètent des Messages du Bistrot.

Initiation à la Géomancie Cosmique: une technique de consultation des Maîtres Cosmiques.

Une Histoire au Coin du Feu: Comment Lewis racontait la Rose+Croix.

Un Rosicrucien nommé Lebrun: l'Histoire de ce français devenu Grand Maître des USA.

La Transmission Rose+Croix du Cénacle de Tübingen: la Résurgence germanique du 17e siècle.

Les Chevaliers de l'Aigle Noir Rose+Croix: 3 rituels antérieurs à la récupération christianisante,

Une Monographie Rosicrucienne du 1er Degré du Temple: un degré revisité par le Bistrotier,

Le jeune Couple du Reiki: le Reiki est affirmé comme une forme de la R+C japonaise...

Le Village du Diable: après l'initiation de Toulouse, HSLewis entre Montpellier et Millau...

Le Mystérieux Coffret Brun: les questions éternelles concernant la Rose+Croix

Marie Louise Clemens, une enquête sur un maître caché: le Hiérophante d'Harvey Spencer Lewis

Le Père Gautier, l'identification d'un jésuite, Imperator méconnu de la Rose+Croix

Arnaud de France et la Rose+Croix: l'origine de l'Ordre au temps de Charlemagne 

Une Monographie Rosicrucienne du 2e Degré du Temple: un degré revisité par le Bistrotier

L'Égypte des Rosicruciens: pour comprendre la transmission héliopolitaine de la Rose+Croix

Mando: la mystérieuse demande osirienne pour devenir Rosicrucien!

Louis-Claude de Saint Martin au Bistrot de la Rose+Croix: comment devenir un Intime de Saint-Martin!

Une Quête Mystique: le Bistrotier confie les expériences qui ont jalonné son chemin

Enseigner la Rose+Croix: progresser et guider autrui.
 

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Les Confidences Du Bistrotier

Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. 
Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
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