28 novembre 2015 6 28 /11 /novembre /2015 09:09
Faridadine et l'Art Mystique du Repentir

Le terme de repentir, généralement incompris, est fondamentalement lié à la peinture: dans "repent", nous retrouvons "repeint".

Il s'agit d'un masquage effectué par le peintre lui même qui a décidé de faire disparaître un aspect provisoire du tableau.

Pour nous, mettre en évidence un repentir c'est d'une certaine manière retrouver (certains diraient violer...) l'intimité d'une œuvre...

La formulation élevée de Faridadine nous permet d'appréhender l'Art Mystique du Repentir...

"Sache bien positivement que les fautes de 100 mondes disparaissent du chemin par la valeur d'un moment de repentir."

La notion de repentance est naturellement détournée dans le monde profane.

C'est souvent avouer publiquement un acte que l'on regrette et exprimer son désir de ne plus recommencer.

Mais "repentir" présenté par un Être avancé apparaît comme un rituel mystique personnel qu'il est utile de décoder.

"Sache bien positivement" est déjà tout un programme et un enseignement...

Dans la bouche d'un Maître, ce n'est pas une formule machinale, c'est une indication de la nécessité d'une Connexion Cosmique (par une méditation bien connectée) pour éviter que notre ego ne s'approprie le sujet ou pire qu'une influence venue de l'extérieur, un tribunal, une secte voire une religion n'abuse de notre sincérité pour nous lier à son égrégore.

"Les fautes de 100 mondes" font référence aux nombreuses conséquences, dans notre vie, de la culpabilité accumulée depuis le traumatisme que nous cherchons à neutraliser par notre "repentir".

"Le moment de repentir" est naturellement la clef...

Il s'agit du message cosmique qui n'avait pas été écouté et qui s'est traduit par une erreur de comportement dans le passé que nous cherchons à effacer par le "repentir"...

Le repentir comporte donc la réécoute et la compréhension du message initial, ainsi que l'acceptation de l'épreuve traumatisante qui a suivi notre incompréhension et qui a permis finalement notre construction et notre évolution.

Naturellement nous devons être en paix et libérés de toute haine envers les humains qui sont intervenus dans notre épreuve et nous devons être également en paix avec notre Être intérieur qui a organisé l'expérience.

Une fois tout cela établi, le repentir est le processus cosmique qui efface les traces de construction et qui nous permet sans le moindre refoulement de dessiner une nouvelle vie sur la zone blanche dégagée...

Il est bon d'attirer l'attention sur le processus rosicrucien de neutralisation ou de compensation qui est mis en œuvre avec le "repentir" évoqué par le Maître Faridadine.

Ce processus de Haute Magie agit en harmonie avec la Loi Cosmique dans le cadre d'un travail précis de libération de soi-même par un processus de purification énergétique, lequel nous éloigne naturellement de toute soumission aux culpabilités profanes inféodées à la "destinée" ou au "karma" des orientaux.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 10:56

lewis-idoleamour.jpg

 

Curieux nom que "l'Idole de l'Amour", donné par Spencer Lewis à ce tableau...

 

Il se dégage quelque chose d'assez faux du célèbre buste de Nefertiti et Lewis n'est certainement pas dupe, ce que l'on constate en voyant comment les traits de Nefertiti sont rectifiés sur le portrait. Le menton est racourci, le nez est allongé...

 

Un autre détail pittoresque: les seins que la reine égyptienne arbore naturellement comme sur la statue à l'arrière plan et qui disparaissent sur le buste.

 

Tout celà dégage une sensation d'humour et une irréalité qui montre que la scène représentée est une parodie...

 

Autre curiosité, les deux personnages représentés partiellement au dessus de l'artiste tiennent deux hiéroglyphes comme si Lewis voulait attirer notre attention sur leur complémentarité: "ankh" (la croix de vie) et "nefer" (la beauté, la pureté du cœur, la blancheur, et un instrument de musique).

 ankh-nefer-gly-bistrot.jpg

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 19:26

Il est important dans la démarche rosicrucienne d'apprendre à discerner le vrai du faux dans un monde parfois ténébreux...

 

Voici, à titre d'exercice, un plaisant petit film sur une exposition qui a lieu en ce moment à Lyon...

 


 

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 15:47

roerich-messager.jpg 

C'est tout un art... 

 

Parfois notre écoute n'est pas assez éveillée pour écouter un message intérieur de notre Être profond.

 

Celui-ci utilise alors le canal d'un personnage extérieur qu'il convient de discerner, d'accueillir et d'écouter...

 

Généralement le messager ne sait même pas qu'il est un messager choisi pour son canal ouvert, et n'est même pas conscient du message qu'il nous transmet.

 

Parfois son égo s'empare de ce qu'il a capté et il se trouve très vexé de constater que l'on accorde aucun intérêt à l'enrobage du message, pour se focaliser sur l'essence qu'il juge négligeable.

 

Parfois, le messager est conscient de ce qu'il véhicule et c'est un authentique "Nion Gyud"...

 

"Le Messager" de Nicolas Roerich évoque le sujet avec l'accueil féminin et la pénétration masculine...

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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 21:34


roerich-jeanne-arc-1931-bistrot.jpg

 

Étonnante peinture qui nous change des thèmes habituels du Bistrot!

 

C'est un triptyque que Nicolas Roerich a peint en 1931.

 

A l'évidence le Grand Maître a laissé exprimer son ressenti d'une Jeanne d'Arc mythique à la base de ce qui fut certainement une genèse de l'esprit français.

 

A gauche, le bûcher, à droite, la prière et au centre, une étrange déesse mère de synthèse...

 

L'ensemble dégage un mixage bizarre des scènes tragiques et assombries avec les représentations aux couleurs vives typiques des créations médiévales.

 

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 10:41

roerich-reve-de-shamballa.jpg 

Voici une œuvre de Nicolas Rœrich peinte en 1943 et visible au Musée d'Etat d'Art Oriental de Moscou (tempéra sur toile 76.2 x 137.2 cm), intitulée "Le Chant de Shamballa" (Song of Shamballa).

 

En intégrant l'idée que les deux polarisations du Noùs, que les rosicruciens lewissiens nomment l'Esprit et la Force Vitale, sont indispensables pour permettre une plénitude d'activité sur le plan cosmique comme sur le plan physique, il peut être intéressant d'imaginer un endroit terrestre pas trop pollué où planter des racines...
 

Pourquoi pas Shamballa?...

 

Vient un moment où le mystique éprouve le besoin de rechercher dans cette direction et l'on parle alors de l'Appel de Shamballa ou comme Rœrich du "Chant de Shamballa"...  

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 08:50

lewis-embaumement-mod1.jpg
 

Voici un tableau de Spencer Lewis représentant une scène de momification égyptienne très réaliste.

 

Il y a beaucoup de petits détails instructifs.

 

Nous sommes frappés par le flou apparent de la scène qui est dû aux vapeurs d'encens auxquelles un des assistants semble chargé de veiller en permanence afin que les entités astrales puissent se nourrir de ces vapeurs et laisser intacte la momie.

 

Un superviseur veille au bon déroulement des opérations dans l'atelier.

 

Les viscères du défunt ont été placés dans les 4 vases canopes à droite.

 

Deux assistants enveloppent le défunt, tandis que deux autres préparent la prochaine bandelette de lin en la trempant dans la solution de natron.

 

Le natron permet de nettoyer le corps et de le conserver intact.

 

L'imposant rouleau de bandelette est une idée du peintre mais elle est parfaitement logique et réaliste: une momie en consomme des dizaines de métres et un rouleau est pratique à transporter...

 

Quelques maladresses dans les hiéroglyphes que nous distinguons en haut montreraient que Lewis les connaissait mais ne les lisait pas vraiment. Par exemple, un texte se lit dans le sens des animaux, or deux volatiles se tournent le dos. Est-ce de l'ignorance ou une disharmonie intentionnelle?...

 

Autre détail: la scène devrait se produire sous l'inspiration d'Anubis, mais la divinité des embaumeurs semble absente du tableau.

 

Connaissant Lewis, il pourrait s'agir d'un signe par omission...

 

Le rituel d'embaumement était important dans la tradition egyptienne, mais il s'agit pour une large part d'un détournement religieux très lucratif à partir d'une connaissance traditionnelle.

 

Fondamentalement, la momification permet au défunt de s'habituer lentement à son nouvel état pour passer dans les meilleurs conditions les étapes qui l'attendent en vue d'une "sortie au jour" adaptée à son développement et sa momie constitue une nouvelle base d'habitation et d'activité qui n'oblige pas forcément à se réincarner rapidement.

 

La momie devra donc traverser un univers sombre et dangereux: le monde de la Douat, le monde d'Osiris, celui où se trouvent les défunts.

 

Râ lui-même, meurt chaque jour par son entrée sous terre à l'Ouest et traverse chaque nuit la Douat ce qui permet d'illuminer et de revivifier les êtres qui s'y trouvent, afin qu'ils subissent les transformations leur permettant de renaître à l'Est.

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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 19:42

bouguereau-et-cabane-copie-3.jpg 

Les mystiques sont toujours à l'affût d'œuvres d'art permettant de conduire celui qui les regarde à une plus grande sérénité...

 

Le Bistrot propose aujourd'hui de chercher à retrouver une œuvre oubliée qui devrait correspondre à ce précieux critère.

 

Il s'agit d'un tableau intitué "La Prière" réalisé par Edouard Cabane (1857-1942) et sur lequel Harvey Spencer Lewis, qui était peintre lui-même, attirait notre attention.

 

Il est possible que, de nos jours, l'œuvre soit entre les mains d'un collectionneur privé qui la montre assez peu...

 

Il est intéressant de consacrer quelques instants à ce dossier afin de mieux comprendre pourquoi s'intéresser à ce peintre et pourquoi s'intéresser à cette œuvre...

 

Edouard Cabane, né a Paris, était français et ce fut un élève de William Adolphe Bouguereau (1825-1905).

 

Or Bouguereau a lui même réalisé une oeuvre intitulée "La Prière" (ci-dessus à gauche)...

 

La "Prière" comme toutes les œuvres de Bouguereau présente la qualité d'une véritable photographie, mais le fond noir dégage une certaine austérité, témoignage vraisemblable de sa religiosité.

 

cabane_edouard-jeune_fille_a_la_robe_verte.jpgIl est permis de penser que Cabane dont les œuvres de début de carrière étaient marquées par le maniérisme vénétien du XVIe siècle et celles de fin de carrière par des tendances plus généreusement impressionistes a certainement tenté d'enrichir "la Prière " de son maître par une palette plus colorée à l'image de son "Portrait d'Enfant" (en haut à droite) que l'auteur, perfectionniste, a lui même affiné à partir de sa "Jeune fille à la Robe verte" peinte en 1904 (ci-contre, à droite)...

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10 août 2013 6 10 /08 /août /2013 17:43

roerich-coffret-2.jpg

 

N'est-ce pas un rêve inspirant de voir un maître vous transmettre un mystérieux coffret?

 

L'œuvre a pour titre: "Nicolas Roerich et le Coffre Sacré" et c'est Svetoslav Roerich qui a peint son père en 1926.

 

Alors qu'y a t-il dans le coffret?

 

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Sur ce thème, revoir naturellement: "le mystérieux Coffret Brun"...

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 15:00

saint-jerome-Pieter-Coecke-van-Aelst-copie-1.jpg

 

Ce tableau de Pieter Coecke van Aelst (1502-1550), un peintre de l'école Flamande, montre qu'au 16e siècle, "Saint Jérôme en son étude", était un thème qui inspirait de nombreux artistes.

  

Naturellement l'analogie avec le "Saint Jérôme en son étude" de Dürer et avec le "Rosenkreuz" sont troublantes...

 

Nous remarquons sur ce tableau la page visible de ce qui est probablement un évangile (Saint Jérôme est considéré comme un Père de l'église).

 

N'est-ce pas l'occasion de remarquer que le Christ entre les 4 évangélistes ressemble beaucoup au symbole du 1er degré Néophyte?...

 

Naturellement l'interrogation de Saint Jérôme doit rappeler aux Francs-Maçons leur initiation et le Cabinet de Réflexion dans lequel ils ont rédigé leur Testament Philosophique en attendant d'être initiés.

 

Les rosicruciens voient naturellement l'analogie avec le processus de la Chambre du Seuil qui constitue naturellement l'inspiration du "Cabinet de Réflexion".

 

Dans les tribulations de la quête d'un chercheur au travers des éléments du monde matériel, les êtres rencontrés méritent tous le respect et peuvent tous se révéler des "factor luminis", c'est à dire des êtres permettant d'accéder à une plus grande lumière et "la mort" ne constitue jamais une menace lorsque les chercheurs ont atteint un état où seule la Vie existe afin de s'extraire de formes ténébreuses de consciences.

 

C'est en cela qu'une initiation symbolique est une mort...

 

Pour les rosicruciens, seule une connaissance profane peut être transmise sur le plan physique alors que seul l'Être Intérieur peut transmettre la Lumière.

 

Jamais une fraternité physique, si prestigieuse soit-elle, ne pourra se substituer à la Lumière dont seul l'Être Intérieur peut être dépositaire.

 
Les processus des initiations symboliques des rosicruciens ne sont jamais des ancrages mais, tout au contraire, des libérations, et jamais une fraternité rosicrucienne ne peut avoir le moindre parjure à punir puisque l'engagement d'un rosicrucien ne peut être qu'intérieur et ne concerner que son Être Intérieur, pour lequel l'engagement extérieur ne dépend que du développement réel c'est à dire de la purification psychique...

 

De la même manière, comment un Rosicrucien pourrait-il s'inféoder à une société qui "tire sa force d'elle même" et "procède de la raison", puisque ce serait renoncer à la "sincèrité" qui caractérise le Premier degré Néophyte?


En effet, cette sincérité ne conduira jamais à présupposer qu'une raison extérieure puisse se substituer au libre arbitre et à la quête de l'Être intérieur.

 

Ainsi, le rosicrucien ne sera jamais concerné par un serment consistant à ne jamais révéler certains secrets puisqu'il découvre précisément que les "secrets ésotériques" dignes de ce nom se protègent naturellement tous seuls!

 

Mais la circulation de ces représentations symboliques dans ces œuvres du 16e siècle nous invite à rechercher quelques explications bien avant dans l'histoire.

 

- Faut-il chercher du côté de Saint Jérôme? 

 

Par exemple, les buveurs et les buveuses du Bistrot pourraient remarquer sa manière d'exprimer les 3 niveaux des écrits bibliques "selon leur sens historique, selon leur cadre de pensée et selon leur intelligence spirituelle".

 

N'est-ce pas une approche typique que l'on retrouve dans les monographies rosicruciennes et auparavant dans les symboles égyptiens avec leurs 3 niveaux: un premier degré concret, une idée abstraite, et un élément ésotérique?

 

- Mais une autre relation intéressante se retrouve dans les références historiques de l'inscription "cogita mori" ou parfois "memento mori" ("pense à la mort" ou "souviens toi que tu es mortel")...

 

Il faut pour celà remonter à l'époque romaine lorsqu'un général vainqueur montait vers le temple de Jupiter au sommet du Capitole en recevant des ovations.

 

Un esclave tenait au dessus de sa tête une couronne de laurier en lui répétant "Cave ne cadas" (évite de tomber...) et "memento mori" (souviens-toi que tu es mortel).

 

C'était l'avertissement que les honneurs dus au vainqueur, terminés, il lui faudrait tout abandonner pour trouver l'humilité et initier une nouvelle vie...

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 14:59

rosenkreutz.jpgsaint-jerome-durer.jpg

 

Sans être nécessairement des experts en peinture, les Buveuses et les Buveurs reconnaitront une très forte similitude entre la représentation de Rosenkreutz à gauche qui circule un peu partout sur le net et le "Saint Jérôme en son étude", peint par Albert Dürer (1471-1528) en 1521 et visible au "Musée national de l'Art Antique" de Lisbonne...

 

Il convient de se souvenir que la Rose+Croix ne fut vraiment connue sous ce nom qu'après le début qu 17e siècle et qu'en conséquence Dürer n'a jamais entendu parler des Rosenkreutzer...

 

Le tableau de gauche serait donc, malgré son apparence, une œuvre récente.

 

Qui en serait l'auteur?

 

Voici enfin une esquisse de Dürer exposée à l'Albertina de Vienne qui précéda cette représentation de Saint Jérôme (Hieronymus), un des pères de l'Eglise Chrétienne, qui vécut au 5e siècle.

 

L'histoire raconte que le modèle de Dürer était un hollandais de 93 ans.

 

etude-durer.jpg 

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Suite: "Autour de Saint Jérôme"

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4 juin 2013 2 04 /06 /juin /2013 10:35

gardien-du-desert-nicolas-roerich-1941.jpg 

La confrérie invisible des demandeurs de Lumière de Vie et d'Amour constitue la fondation du mouvement rosicrucien.

 

Cette œuvre de Nicolas Rœrich, de 1941, intitulée "le Gardien du Désert", évoque l'inspiration d'un personnage de pierre semblant porter une Rose+Croix.

 

Buvons à la Voix divine s'élevant dans le désert, à l'éclair aveuglant au milieu des ténèbres, suscitant l'illumination de l'Esprit des humains, infusant les créatures avec une infinie sagesse et fournissant des plans pour le salut des différents niveaux de l'humanité...

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Les Trésors De La Cave...

3 Salons où l'on cause...

 

 

Hymne Rosicrucien 1916

Let There Be Light

 

Localisation des Buveurs

promotion et affiliation

Le Carrousel des Livres

Image 1
Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
Image 2
Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
Image 3
Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
Image 4
Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
Image 5
Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
Image 6
Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
Image 7
Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. 
Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. 
Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...