Voici une œuvre de Nicolas Rœrich peinte en 1943 et visible au Musée d'Etat d'Art Oriental de Moscou (tempéra sur toile 76.2 x 137.2 cm), intitulée "Le Chant de Shamballa" (Song of Shamballa).
En intégrant l'idée que les deux polarisations du Noùs, que les rosicruciens lewissiens nomment l'Esprit et la Force Vitale, sont indispensables pour permettre une plénitude d'activité sur le plan cosmique comme sur le plan physique, il peut être intéressant d'imaginer un endroit terrestre pas trop pollué où planter des racines...
Pourquoi pas Shamballa?...
Vient un moment où le mystique éprouve le besoin de rechercher dans cette direction et l'on parle alors de l'Appel de Shamballa ou comme Rœrich du "Chant de Shamballa"...