Un buveur demandait des sujets plus proche de la vie quotidienne que les histoires du passé de la Rose+Croix...

Le sujet d'aujourd'hui concernant le Code de la Route rosicrucien lui est dédié!

C'est une vraie question qui mérite une vraie réponse: comment doit se comporter un rosicrucien sur la route...

Naturellement un Rosicrucien est un être libre qui cultive le discernement, il écoute son cœur, il apprécie le présent de l'instant qui est unique et enfin, il ne s'inféode pas à un "code de vie", si respectable soit-il.

Dans les années 1770, les habitants du nouveau Monde étaient lourdement taxés par les Britanniques. Le thé, en particulier, qui venait des Indes, était tellement taxé qu'une contrebande s'était instaurée.

Un jour, 60 habitants de Boston, déguisés en indiens autochtones les "Kanienkehaka", les "mangeurs d'hommes", grimpèrent  à bord de trois navires marchands et vidèrent à la mer leur cargaison de thé.  Ce fut le début de la guerre d'indépendance américaine.

Benjamin Franklin proposa plus tard de rembourser le prix du thé aux britanniques pour solde de tout compte...

Voyons nous un symbole de libération en action, dans cette identification rituélique au peuple autochtone, dans la validation magique exprimée par le nombre des bateaux, dans l'acte phare, le renvoi à la mer, et dans l'épuration du symbole, le remboursement de la cargaison gaspillée?

Les 60 habitants avaient pris le nom symbolique de "Fils de la Liberté" et le "TEA" qui sonne si bien avec "liberty" est devenu le symbole de "Taxed Enough Already" qui signifiait: "déjà suffisamment taxés".

De nos jours le "Tea Party" s'est réactivé aux USA avec une idéologie de liberté et de fidélité aux idées des "pères fondateurs"... La perspective en vue est la jonction avec le mouvement des Indignés...

(Voir aussi) 

Ceux qui ne le connaissent pas découvriront certainement avec beaucoup de sympathie Thomas Sankara, un homme politique burkinabé anti-impérialiste, et panafricaniste, né en 1949 et assassiné en 1987, 3 mois après ce discours débordant d'humour africain et qui sonne toujours particulièrement juste 30 ans après.

Certaines formules choc sont à retenir... "Les bailleurs de fonds, comme s'il y avait des hommes dont le baillement suffisait à créer le développement chez les autres."  

"Il faudrait deux éditions de la Bible ou du Coran, une pour celui qui exploite les autres et celui qui est exploité..."

"Celui qui ne veut pas que la dette mondiale soit effacée devait sortir, prendre son argent et aller payer..."

"Nous devons collectivement déclarer ici que nous ne pouvons pas payer pour éviter que nous n'allions nous faire individuellement assassiner: si le Burkina Fasso est le seul à refuser de payer, je ne serais pas là à la prochaine conférence.". C'était prémonitoire!

Une jolie formule de Pierre Perret, qui mobilise notre compassion pour les "femmes grillagées".

Mais la poésie reste piégeuse... Qu'en retirons nous de sain et d'utile pour notre vie de tous les jours? En un mot de rosicrucien? Faut-il amplifier encore la guerre en Afghanistan? Faut-il lutter contre la loi islamique? Non évidemment... Donc cela ne conduit à rien! Sinon à se donner paradoxalement une bonne conscience en disant "c'est pas bien" et se laisser récupérer par la face sombre de la pensée unique et râleuse d'un impérialisme... démocratique, le comble!

Au passage, il est bon de savoir que la "charia" dont on connait notoirement les abus semble avoir été utilisée par... Napoléon! Dans sa rédaction du code civil (le Code napoléon) l'inspiration est venue nons seulement du Droit Romain, mais aussi de la Charia Islamique... (Voir ce lien instructif)

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Dans certains pays d'Amérique du Sud, un litre d'eau vaporisée et mélangée à des détergents biodégradables permet de laver une voiture avec un peu d'huile de coude... Mais cela économise 200 litres d'eau par rapport à un nettoyeur à haute pression. 

Lorsque le jour des morts est profondément ancré dans les familles, ceux qui naissent le 2 novembre arrivent dans une ambiance consacrée aux défunts... Selon la tradition populaire, ces bébés seraient tentés de contacter les défunts plus facilement que les vivants... Ils ont des prédispositions pour être des "armotiers", du mot "armot" qui signifie "âme" dans certains patois de la France profonde, c'est à dire des personnes que l'on consulte pour connaître l'état de bonheur ou de souffrance des parents décédés...

C'est un boulot dangereux, un métier à risque: les demandes des clients incitent naturellement à fréquenter une zone basse de l'astral. Ce serait le même travail en plus agréable de contacter des êtres beaucoup plus avancés à la recherche de la Connaissance... Mais ce serait moins bien payé et la vie est faite de choix...

Cette photo trouvée sur le net est étrange, une entité locale qui ne semble pas du tout décidée à quitter notre monde physique a éprouvé le besoin et trouvé l'énergie nécessaire pour se manifester...