1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 22:28

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Sur ce sujet, nous avons vu récemment la relation entre la culpabilité et le plexus solaire, l'allégorie indienne de la porte du tigre et un exemple intéressant avec le cas impressionant d'Eliphas Levi. (consulter éventuellement le moteur de recherche en haut à droite)

 

C'est un autre processus qui est mis en évidence aujourd'hui: le transfert de culpabilité qui est imagé par l'idée d'offrir un bébé tigre...

 

A priori, le bébé est mignon comme tout, il semble facile de s'en occuper au début, mais il reste ensuite la responsabilité de gérer le fauve adulte.

 

Généralement les mystiques ont plus généralement le profil consistant à accepter gentillement le "bébé tigre", mais il s'en trouve aussi parfois qui ont des "bébés tigres" à refiler...

 

Si le processus de transfert n'est pas encore bien compris, mais il le sera davantage avec l'anecdote suivante...

 

C'est un directeurqui déclare à sa secrétaire: -"j'ai un problème".

 

Avec l'espoir qu'elle puisse gérer la situation, il lui raconte son problème... 

 

Le lendemain le directeur demande à sa secrétaire: -"où en est notre problème?" 

 

C'est donc à la secrétaire de raconter au directeur l'évolution de la situation.

 

Et le surlendemain, le directeur demande à sa secrétaire: -"où en est votre problème"?

 

Naturellement, il est normal qu'un directeur se soulage de son travail auprès de ses collaborateurs, vu qu'ils sont payés pour ça, mais le passage de "mon" problème à "notre" problème puis à "votre" problème est une anomalie assez caractéristique du phénomène de transfert de culpabilité que chacun ne manquera pas d'observer ci et là pour y remédier en évitant d'accepter de se charger le plexus solaire abusivement et naturellement en arrêtant de tenter de charger celui des autres!

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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 09:40

templier-metz-bistrot.jpg

 

En préliminaire, pour les fratres et sorores qui voudraient s'offrir davantage qu'une lecture superficielle de ce sujet délicat, pour lequel le temps ne compte pas, il est vivement conseillé de s'accorder le temps de lire ou de relire "l'épitre de l'agapé", et les articles sur "la déesse Kuan Yin" ainsi que la "découverte du Jihi no kokoro." 
 

D'ailleurs, le sujet proposé est de ceux qui peuvent faire l'objet de la petite scéance de méditation rosicrucienne quotidienne qui fait le plaisir de certains buveurs du bistrot après la dégustation d'un article.

  

"Anahata", le chakra du cœur, n'a pas encore été évoqué, alors que la plupart des autres figurent déjà dans les contenus du bistrot dans la catégorie "chakras"...

 

Qui consulte internet pour chercher le véritable sens d'"anahata", ramène généralement la formulation un peu abusive "un son non frappé", il s'agit en fait simplement de "non frappé" mais cette "percutance" laisse sur sa faim et ne constitue une explication que pour celui qui a déjà compris par expérience vécue le processus de fonctionnement...

 

Reprenons donc les choses tranquillement...

 

Le centre cardiaque psychique se situe au milieu de la poitrine et non pas à gauche comme le cœur physique.

 

Lorsqu'il fonctionne bien, le sujet est capable d'amour, de compassion, de sympathie, de compréhension, il émane de lui de la chaleur humaine, il est cordial et dégage un notable force de guérison.

 

A l'inverse lorsque le centre est anormalement chargé par des choses sombres, le sujet vit des problèmes de cœur, il est mélancolique, triste, renfermé, envieux, aigri, froid, dépressif. A un niveau encore plus chargé il est haineux ou suicidaire, ou cafardeux et se trouve tenté de s'autodétruire par des drogues et il peut vivre des attaques cardiaques...

 

Lorsqu'une personne se laisse aliéner par une force-pensée, une entité ou un egregore alors son centre cardiaque se fait vampiriser par une charge ou se laisse siphoner en permanence par un lien...

 

Lorsque ce lien est rompu ou que la personne parvient à se libérer de ses charges cardiaques elle ressent alors une joie de vivre totalement inconnue comme le témoignage suivant nous le racontait.

  

Il concerne une personne qui avait une charge sur le cœur et qui ne le savait pas et elle avait simplement mis à profit un long déplacement silencieux en voiture pour faire une méditation de deux heures.

  

Dans certaines circonstances privilégiées, le taux vibratoire peut monter, ce fut le cas:

 

""Lorsqu'elle ouvrit les yeux, ce fut comme un déclic, une sorte de révélation ou de prise de concience... Son état de conscience s'était modifié et tout devenait pour elle clair, beau et évident. Elle voyait la présence de la Vie partout autour d'elle!

  

Ce fut une "émotion" unique, une période extatique, qui ne disparut pas en quelques minutes mais qui perdura deux à trois semaines.

 

Elle ressentait profondément l'intensité de la vie dans les arbres, et dans la moindre des feuilles. Même les feuilles mortes sur le sol exprimaient leur vivante transformation.

 

Progressivement la sensation s'estompa mais toujours est-il que son respect mystique de la vie est désormais un acquis discret...""

 

La photo ci-dessus fait songer à un templier, elle est issue du cloître de Metz, elle représente un lorrain du 14e siècle, Henri Saint-Nazaire.  Un prochain article s'efforcera de répondre plus directement aux questions que celui-ci ne fait finalement que soulever...

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 09:25

joyaux-manipura.JPG 

Manipura est le nom sanskrit du centre psychique qui correspond au plexus solaire.

  

Ramené au corps physique, le plexus solaire se positionne en remontant depuis le nombril, jusqu'au bas de la cage thoracique et il régit tous les organes abdominaux liés à la digestion de la nourriture et à l'élimination des déchets: estomac, foie, pancréas, intestins reins.

  

Tout au long de son cheminement, le rosicrucien pratique de nombreux exercices consistant à envoyer de la force vitale sur son plexus solaire pour le purifier.

 

En effet en permanence le plexus solaire "prend sur lui" des charges psychiques qu'il convient de gérer.

 

L'expérience montre généralement qu'un plexus solaire fonctionnant bien procure bien être, détente et régénération, tandis qu'un plexus solaire chargé peut se manifester par des troubles divers: émotivité, hystérie, agitation, tension, troubles nerveux, susceptibilité, avidité, dépendance...

 

Un point important réside dans les culpabilités qui sont stockées au niveau du plexus solaire et dont il convient de se libérer.

 

Le plexus solaire est un important plexus nerveux auquel correspond un "chakra" qui porte donc le nom de "Manipura".

 

Si en Inde moderne, Manipura est associé au nombril, considéré comme le "moyeu" du chakra, ça n'a pas toujours été le cas et en fait "manipura" (मणिपूर) se localise fondamentalement au dessus.

 

"Manipura" est composé de "mani" qui signifie un "joyau", un "cristal", "une gemme", "un bijou", "une perle" et "pura" est une idée de "fortification", de "rempart" et prend le sens de "ville fortifiée", de "forteresse", et même de "harem"...

 

"Manipura" peut donc se traduire par la "cité des joyaux", indiquant par là que manipura est un "loka" (स्वर्ग) un lieu psychique à visiter et d'où l'on pourra ramener des joyaux en abondance...

 

Mais cette "visite" doit être préparée avec prudence car, si la libération des culpabilités peut produire des joyaux, elle ouvre aussi la "porte du tigre", ce qui nous ramène au précédent article dont le conte révèle le fonctionnement de "manipura"...

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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 08:13

sharaku.jpg 

Le troisième œil, Ajna Chakra, le sixième chakra, se positionne au milieu du front et non pas au milieu des deux autres yeux comme on le croit parfois.

 

En sankrit, ajna (आदेश) exprime l'idée de donner des ordres, de commander.

 

Ajna contrôle le mental. Son bon épanouissement va de pair avec la clarté mentale, l'intelligence, la logique, la raison, la volonté, la faculté de diriger, de discerner la lumière, la tolérance, l'esprit critique, le contrôle de soi.

 

Lorsque ce centre est enténébré, la personne entretient le doute et ne sachant pas où elle en est, manque naturellement de confiance.

 

Lorsque l'ego domine la personne, ce centre génère de l'autorité, de l'égocentrisme, et une soif de pouvoir, de domination...

 

Prenons l'exemple d'un vendeur qui guette le client: c'est "Ajna" qui est habité par une mentalité rampante de prédateur!

 

Mais lorsqu'un mystique substitue à ce comportement une attitude figée, comme par exemple, un comportement de bonté avec les autres, ce n'est pas son cœur qui le dirige comme il serait tenté de le croire en se disant "j'ai bon cœur".

 

C'est encore Ajna, le commandant, qui a décidé de ce comportement!

 

Le petit personnage de l'image ci-dessus est Sharaku, le héros d'un manga japonais qui cache son troisième œil derrière un sparadrap... 

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 10:13

racine.jpg

 

"Muladhara" (मूलाधार) est le nom sanskrit du "chakra racine".

 

Ce nom est une contraction de "mula" et de "adhara".

 

"Mula" (मूली) signifie racine. C'est le nom que l'on donne sur les marchés indiens aux radis et aux navets.

 

"Adhara" exprime ce qui fait tenir, le support qui permet d'adhérer au sol.

 

D'ailleurs "adhara" contient "adhas" qui signifie "vers le bas" et "dhara" (धार),le torrent (qui dévale naturellement vers le bas).

 

"Muladhara" est donc la racine qui fait tenir en bas et le "chakra" se positionne donc traditionnellement entre l'anus et les organes génitaux.

 

Comme "Muladhara" régit symboliquement la connexion à la terre et donc les jambes, la locomotion, les performances physiques, c'est lui qui met les pieds sur terre et nous pouvons considérer que "Muladhara" s'étend depuis le sol jusqu'au point indiqué plus haut.

  

Comme les racines des arbres, il recueille ce que les rosicruciens nomment "l'esprit" sous la forme filtrée la plus purifiée dont il est capable et qu'il doit apprendre à affiner afin de ne pas ramasser les charges psychiques qui l'emprisonnent "en bas" lorsque "l'esprit" est capté sans discernement de manière trés dégradée comme chez les adeptes de "l'amour universel".

 

Mais une bonne connexion au sol est indispensable pour rester un être incarné et équilibré, réaliste et canalisant le torrent de ce que Spencer Lewis nommait la "polarité B".

 

Parfois les mystiques qui négligent leur rattachement à la terre font l'expérience d'une déconnexion qui peut aller jusqu'à un "détachement d'aura", un état désagrable à vivre, assez proche de l'évanouissement, dans lequel ils avancent en titubant...

 

Mais l'intérêt de la Connaissance étant "pouvoir", Mulhadhara enseigne aux mystiques l'art de l'ancrage au sol!    

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 16:38

khei.jpg

 

Les rosicruciens pratiquent souvent des "sons de voyelles" qui établissent des conditions vibratoires extérieures particulières et qui correspondent à une libération de certains centres psychiques.

 

Naturellement ces centres psychiques doivent être libérés d'une manière équilibrée et harmonieuse en commençant par en haut (dans l'ordre: glande pinéale, glande pituitaire, thyroïde, cœur, plexus solaire et plexus sacré...).

 

Les sons utilisés sont souvent "Aum", "Ra", "Ma", qui sont généralement pratiqués après une préparation adéquate dans le sanctum. Il existe naturellement quelques autres sons spécifiques comme le son "Khei", écrit ci-dessus à l'égyptienne. 

 

Selon la formulation rosicrucienne traditionnelle: "Il procure paix et santé en général et agit sur les surrénales. Il transmet au système nerveux sympathique, en les augmentant, les impulsions nées de nos émotions, des pensées et des impulsions cosmiques. Ce son produit un lilas lumineux se rapprochant du lavande caractéristique de hautes aspirations spirituelles et d'émotions élevées. Il se prononce sur le mi naturel au dessus du do central."

 

Naturellement cela mérite un décodage: le son "Khei" apporte la paix, c'est à dire qu'il permet de remédier à l'agressivité et à la colère, c'est un nettoyant de l'aura, il agit sur les surrénales qui produisent diverses hormones permettant et stimulant éventuellement la course, ou régulant l'énergie sexuelle.

 

Comme quoi l'agressivité et la sexualité sont sœurs... D'ailleurs, détail instructif: si l'on en croit ceux qui travaillent dans les zoos, les gorilles contrariés cherchent le combat et les bonobos contrariés vont copuler... 

 

gorille-copie-1.jpg
  

En égyptien, "Khei" est un "verbe opérateur", il se pronon "kây" avec un son "â" qui sort du fond de la gorge et que le français ne connait pas. "Khei" signifie "songer à", "se soucier de", "méditer sur". Par exemple "Kây-Râ" qui est aussi le mot de passe rosicrucien des "Practicus", signifie se connecter à Râ: tout un programme!

 

 

 

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Les Trésors De La Cave...

3 Salons où l'on cause...

 

 

Hymne Rosicrucien 1916

Let There Be Light

 

Localisation des Buveurs

promotion et affiliation

Le Carrousel des Livres

Image 1
Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
Image 2
Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
Image 3
Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
Image 4
Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
Image 5
Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
Image 6
Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
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Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...