3 juillet 2025 4 03 /07 /juillet /2025 08:42
MLC (30) - J'étais au Centre du Monde

En mars, le Dr Rice, de l’École de médecine de l’Université de Boston, vint me voir pour organiser une grande kermesse au nouvel hôtel Copley Plaza. On leur avait promis cinquante mille dollars s’ils parvenaient à collecter le même montant.

  
Il me dit que sa femme lui avait affirmé que j’étais la seule personne de Boston capable de réussir cela. Il ajouta qu’ils me rémunéreraient de la façon que je jugerais la plus juste.

  
Je demandai trois jours pour y réfléchir. Pendant ces trois jours, je priai comme jamais auparavant. Stanley était toujours sans emploi, ne faisant que quelques rares travaux de comptabilité de temps à autre.

 
Peu avant la visite de M. Rice,  j’avais lancé à  haute voix à l’univers: J’ai appris un métier à Boston. Puisse mon savoir-faire trouver sa valeur aux yeux de quelqu’un. Cette opportunité me sembla être la réponse, et lorsque le Dr Rice revint, j’étais prête.

  
Je lui exprimai mon accord pour le projet, précisant que je souhaitais une rémunération de cent dollars par mois pendant sa réalisation, ainsi que vingt pour cent des recettes. Je demandai également la mise en place d’un comité composé de cinq hommes, excluant toute présence féminine. 

 
Ayant accumulé tant d’expériences avec des femmes dépourvues de vision, je ne parvenais plus à travailler avec elles en toute sérénité. 
Lorsque j’entreprenais quelque chose, je visualisais au préalable le tableau d’ensemble puis je m’efforçais de le perfectionner.

 
Le Dr Rice m'assura qu’il consulterait son comité et me communiquerait rapidement le compte rendu de leur décision. Il en résulta que quinze pour cent du montant récolté me seraient attribués, mais également qu’ils souhaitaient intégrer l'épouse du Dr Cahill au comité. Comme elle était une amie et logeait dans le même hôtel que moi, j’acceptai.

  
Le Dr Rice me remit un premier chèque de cent dollars. Je commençai à travailler dès le premier avril, sachant qu’il me faudrait au moins cinq mois pour réaliser ce que j’avais planifié.

 
Je continuais à gérer le Club et la garderie, tout en organisant des concerts et des récitals pour divers artistes. Stanley, toujours sans emploi stable, pouvait m’apporter une aide précieuse pour la correspondance liée à la publicité .

  
Cette kermesse devait susciter un intérêt à l’échelle de l’État. Je dus me rendre dans toutes les grandes villes pour mobiliser les médecins de l’Université de Boston et voir comment ils pouvaient inciter leurs patients à participer à cette grande entreprise.

 
Je mis à contribution tout l’État. Je conçus un vaste programme incluant des publicités de toutes les manifestations de la ville. 
De nombreuses dames de la haute société prirent en charge différents départements. Mme Larz Anderson s’occupa du salon des dames et organisa une vente d’objets d’art de toutes sortes.

  
Ce n’est qu’en voyant l’ensemble terminé que je réalisai l’ampleur de ce que j’avais réuni pour organiser ces cinq jours. 
Chaque jour, il y avait un déjeuner, des parties de bridge, des danses le soir ou un concert. Il n’y a rien d’étonnant à ce que j’aie été épuisée une fois tout terminé.

  
Les journaux annoncèrent que c’était l’événement le plus grandiose et le plus réussi de ce genre jamais organisé à Boston. Pendant que je travaillais à cette kermesse, la Chambre de commerce de Boston organisait un Congrès international, avec des représentants de soixante nations différentes.

 

Cent vingt-cinq dames faisaient partie du groupe. 
Cet événement se tenait également au nouvel hôtel Copley Plaza. On me proposa dix dollars par jour pour organiser les divertissements de ces dames pendant les dix jours de leur séjour.

  
Naturellement, J’acceptai l’offre, non pas pour l’argent, bien que j’en eusse besoin,  mon mari étant toujours sans emploi,  mais diriger un comité composé de trente des femmes les plus influentes de l’État représentait une opportunité extraordinaire. Qui plus est, rencontrer toutes ces personnalités étrangères représentant leur pays respectif constituait une occasion unique que je ne pouvais refuser.

 
Lors de la première réunion des trente dames, le général Peabody, qui présidait le comité, déclara:  Mesdames, Madame Stanley Clemens est la secrétaire du comité, pour toute question, adressez-vous à elle.

  
Ce fut un choc: je pensais être seulement secrétaire, les dames se chargeant de la planification.

 
Cependant, comme à mon habitude, je pris la tâche en main et organisai tous les divertissements, déjeuners, thés, promenades, visites touristiques, et ainsi de suite.

  
Une jeune femme souhaitait offrir un thé dans sa maison de campagne. Elle me demanda de sélectionner les dames les plus éminentes du groupe pour son thé. Je répondis:

  
Madame S., pour moi, elles sont toutes sur un pied d’égalité, en tant qu’épouses des différents délégués représentant leurs pays respectifs. Je ne pourrais pas en désigner une comme étant meilleure qu’une autre. Vous les avez toutes rencontrées, si vous choisissez celles que vous souhaitez inviter, je veillerai à ce qu’elles soient conduites chez vous.

  
Les mots me manquent pour décrire les frissons innombrables de ces dix jours.  De nombreuses activités de toutes sortes furent organisées, le meilleur que Boston pouvait offrir à ces personnes fut mis en place pour elles.
  
Déjeuners dans tous les clubs exclusifs, thés, déjeuners dans les résidences de campagne d'éminents Bostonnais, promenades, et accès aux magnifiques jardins et domaines de la Côte Nord, avec un déjeuner dans la propriété exclusive de M. et Mme John Hayes Hammond à Gloucester.

  
Mme Hammond m’avait demandé d’entrer dans la salle à manger avec M. Hammond afin de mener la marche. 
 
Tous les théâtres étaient ouverts aux visiteurs, l’Orchestre symphonique donna une soirée musicale, et il y avait des visites touristiques vers tous les points d’intérêt du Massachusetts, culminant avec la réception du président et un bal dans la salle de bal du Copley Plaza. 

 
Cette occasion m’a procuré les plus grands frissons de ma vie. Pendant dix jours, comme on dit, j’étais au sommet du monde.

 
Les visiteurs me considéraient comme l’hôtesse et me traitaient en conséquence. Le comité avec lequel je travaillais me donna de nombreux surnoms, pour certains, j’étais le Petit Général, pour d’autres, l’Impératrice, pour Mme John Hayes Hammond, j’étais la Tsarine.

 

C'était l'année où le président des Etats-Unis, William Howard Taft, quitta son poste et où Thomas Woodrow Wilson entra en fonction. 
J’avais organisé une file d’attente afin que les dames soient reçues par le nouveau président, avec Mme Roger Wolcott et Mme I. J. Storrow en tête. Lorsque tout fut prêt, le président de la Chambre de commerce vint me chercher et me plaça en tête. Je protestai, mais il insista, affirmant que c’était ma place.

 
J’avais reçu de nombreux compliments pendant ces dix jours. 
Un jour, un homme vint me voir et me dit: Vous êtes très populaire, n’est-ce pas ? Je répondis:  Oui, mais je me demande pourquoi ? Il dit simplement:
 
Demain, je vous apporterai un poème .
Voici une copie du poème :


CHARME
Le charme est la mesure du pouvoir d’attraction
Pour captiver l’imagination fugace d’une heure
Et rivaliser avec tout l’éclat de la beauté.
Une grâce subtile du cœur et de l’esprit, qui s’exprime
Avec une sympathie pleine de tact, la plus douce rose,
Sinon la plus belle, que le jardin connaisse.
Une réactivité rapide en paroles et en actes,
Une dignité et une majesté, 
La volonté de suivre et l’art de diriger.
Celle à qui ce précieux don est donné
Possède un puissant levier pour sa vie
Et règne aussi bien sur la chaumière que sur le trône.

 

Le lendemain du bal et de la réception pour le président Taft, M. Wilson et les délégués, parmi les articles de tous les journaux concernant le succès de la soirée, il fut dit que les trois femmes les plus remarquables étaient Mme Roger Wolcott, Mme I. J. Storrow et Mme Stanley P. Clemens.


 

- début des Confidences de Marie-Louise
(à suivre..) 

MLC (30) - J'étais au Centre du Monde

Anglais :
Charm is the measure of the power of attraction.

Allemand :
Charme ist das Maß für die Anziehungskraft.

Espagnol :
El encanto es la medida del poder de atracción.

Italien :
Il fascino è la misura del potere di attrazione.

Portugais :
O charme é a medida do poder de atração.

Grec :
Η γοητεία είναι το μέτρο της δύναμης της έλξης.

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Hymne Rosicrucien 1916

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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