2 juillet 2025 3 02 /07 /juillet /2025 08:55
MLC (29) - Un Spectacle sur Patins

Il était heureux que les devoirs et les activités que je m’étais imposés occupent tout mon temps.

 

Le spectacle de Mère l’Oie pour le Frances Willard Settlement avait déjà commencé et exigeait toute mon attention, si je voulais en faire un succès. En effet, il n’existait aucun précédent auquel se référer. Il s'agissait d'une mise en scène originale des personnages de Mère l’Oie, sur patins.

 

Il me fallut publier des annonces dans tous les journaux afin de recruter deux cents jeunes hommes et femmes capables de patiner suffisamment bien pour incarner les différents personnages. Je posai des affiches à l’Arena, et M. Lougé, le directeur, se montra très aimable en permettant à quiconque souhaitait participer de venir s’entraîner à l’Arena, à tout moment, sans frais.

 
Le directeur du Copley Plaza me prêta la salle de bal pour former les différents groupes en figures et danses, après quoi ceux-ci se rendaient à l’Arena pour répéter.

  
Un chef d’orchestre composa une musique appropriée. Chaque personnage fournit son propre costume.

  
Je m’occupai de vêtir les merles et plusieurs autres personnages. 
Un menuisier m’assistait dans la fabrication des décors. 
Nous avions un trône à une extrémité pour le Roi et la Reine de Cœur et Cupidon.

  
À l’autre bout de la scène, se trouvaient plusieurs arbres de Noël, au centre desquels se tenait un grand livre de Mère l’Oie, dont tous les personnages sortaient en patinant. Je devais ouvrir le livre et patiner seule tout autour, ce que j’appris à faire en très peu de temps. Je peux encore entendre les applaudissements que je reçus alors que je retournai au livre.

  
Au-dessus de la glace, des guirlandes d’ampoules électriques multicolores étaient suspendues. Le lieu tout entier était plongé dans l’obscurité, et l’effet était digne d’un conte de fées.

 
Le lendemain de la première représentation, M. I. Herrick, qui était l’agent de billetterie pour tous les meilleurs spectacles qui se donnaient alors à Copley Square, me fit appeler et me dit: 
Madame Clemens, vous devriez vous rendre immédiatement à New York voir Belasco. Vous gagnerez des millions avec ce spectacle-ci.

  
Mais avec tout ce qui occupait mon esprit et le peu d'énergie dont je disposais, envisager un voyage à New York m'était impossible.
J’avais sur les bras l’Assembly Club, la garderie, le Frances Willard Settlement, sans compter les nombreux artistes qui comptaient sur mon aide.

  
Cependant, je n’ai jamais vécu pour l’argent, et j’ai appris, au contact de nombreuses familles fortunées, que la richesse ne procure pas le bonheur à ceux qui la possèdent.

 
Les journaux proclamèrent que le spectacle était le divertissement le plus spectaculaire et le plus magnifique que Boston ait jamais connu. 
Chaque fois que j’entends la Valse des patineurs ou les valses de Strauss, mon esprit se remémore cette soirée.

  
C’était le premier spectacle sur patins jamais donné en ce pays.
 

En 1948, je me rendis au Boston Garden pour voir les Icecapades, et en comparant ce spectacle à celui de Mère l’Oie, organisé à l’Arena de Boston pour le Frances Willard Settlement au profit des jeunes filles sans abri en 1912, je le trouvais tout aussi pittoresque. 
 

Etant le premier divertissement de ce genre donné sur glace, je comprenais aisément pourquoi M. Herrick m’avait pressée d’aller à New York, voir Belasco.
 

En repensant à cette entreprise, je ne peux m’empêcher de me demander comment j’ai trouvé la force d’imaginer et de mener à bien des spectacles aussi ambitieux, mais j’ai de la vision, du courage et la volonté de réaliser tout ce que mon esprit me suggère. Les pensées sont des choses à concrétiser en résultats tangibles, visibles et audibles.
 

L’article suivant fut publié en première page d’un des journaux locaux du dimanche, accompagné d’une photo pleine page de moi en robe du soir:
 

Parmi les femmes les plus charmantes et distinguées de la société bostonienne figure Madame Stanley P. Clemens, qui fait peut-être plus pour la charité que toute autre femme de ce cercle exclusif. 
 

Madame Clemens est engagée dans de nombreuses œuvres philanthropiques, notamment la garderie du South End et le Frances Willard Settlement, pour lequel un carnaval de patinage a été organisé à l'Arena chaque jeudi soir. Elle se consacre également, sans relâche, à plusieurs autres projets caritatifs.
 

La charité est son passe-temps, et chaque instant qu’elle peut arracher à ses innombrables obligations sociales est consacré à faire le bien autour d'elle. 
 

Madame Clemens est toujours une figure remarquée à l’opéra et lors d’autres événements musicaux. Elle est l’une des femmes les plus populaires de son cercle. Sa beauté, sa charmante personnalité et sa constante bienveillance envers autrui en font l’une des femmes les plus aimées de l’élite.
 

Si j’inclus certains de ces extraits de journaux louant mon travail et ma personnalité, ce n’est pas par recherche de quelconque flatterie, car je n’ai jamais cherché à mener une vie glamour. 
 

Je pense qu’une petite fille, vivant aujourd'hui dans un environnement modeste et ressentant la même aspiration intérieure que moi enfant, pourrait être encouragée par l’idée que ce qu’une autre a accompli, elle peut l'accomplir également et ainsi commencer à vivre une vie de devoir où qu’elle se trouve. 
 

Avec le temps, elle peut aussi réaliser qu’une naissance humble n’empêche pas de faire de sa vie quelque chose de valable, tout en découvrant que naître avec une cuillère en argent dans la bouche mène souvent au chagrin et aux désillusions. Une vérité que j’ai moi-même pu observer.
 

Pourtant, dans une incarnation au moins, chacun doit expérimenter la richesse et une position sociale élevée afin d’apprendre à en faire sagement le meilleur usage. Devenir humble est notre but, comme on nous l’a dit:  Les humbles hériteront de la terre.
 

- début des Confidences de Marie-Louise
(à suivre..)

MLC (29) - Un Spectacle sur Patins

Anglais :
In at least one incarnation, everyone must experience wealth and a high social position in order to learn how to use them wisely.

Allemand :
In mindestens einer Inkarnation muss jeder Reichtum und eine hohe gesellschaftliche Stellung erfahren, um zu lernen, wie man sie weise nutzt.

Espagnol :
En al menos una encarnación, cada uno debe experimentar la riqueza y una posición social elevada para aprender a usarlas sabiamente.

Italien :
In almeno un'incarnazione, ognuno deve sperimentare la ricchezza e una posizione sociale elevata per imparare a farne il miglior uso con saggezza.

Portugais :
Em pelo menos uma encarnação, cada pessoa deve experimentar a riqueza e uma posição social elevada para aprender a usá-las com sabedoria.

Grec :
Σε τουλάχιστον μία ενσάρκωση, ο καθένας πρέπει να βιώσει τον πλούτο και μια υψηλή κοινωνική θέση, ώστε να μάθει να τα χρησιμοποιεί με σοφία.

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Hymne Rosicrucien 1916

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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