suite du message MLC (10) - Le Secret traumatisant de Marie Louise Clemens
J’aimais mon père et je me souviens très bien de ses avertissements.
Il me disait que je n’aurais jamais d’autre père et ma mère ne s’est jamais remariée, bien qu’elle ne manqua pas d’occasions de le faire, car elle était toujours séduisante.
Son amour pour mon père était trop profond pour qu’elle puisse jamais l’oublier et je l’ai souvent entendue dire que si elle pouvait le rejoindre où qu’il soit, elle le ferait.
Sa vie était vide sans lui. Leur amour était ce que j’appelle un amour d’âme. J’étais un bébé de l’amour et cela explique en quelque sorte mon grand amour pour le monde entier. Je donnerais ma vie s’il le fallait pour soulager la souffrance que je vois dans le monde aujourd’hui.
Mais chacun doit passer par son Gethsémani et mourir sur cette croix humaine jusqu’à ce que l’âme ait vécu les jours qui lui sont impartis.
Alors commença la lutte pour vivre.
Pendant l’année où ma mère, mes deux jeunes frères et moi avons été autorisés à rester à la ferme après le décès de mon père, j’ai effectués des petits travaux comme traire les vaches, nourrir les volailles, les cochons, les veaux, etc.
J’ai fréquenté l’école du district et je n’oublierai jamais cette institutrice qui, par son intérêt pour moi et son attention sincère, m’a donné le sentiment d’avoir enfin trouvé une personne à qui me confier.
Anglais :
Finally, someone to confide in.
Allemand :
Endlich jemand, dem man sich anvertrauen kann.
Espagnol :
Por fin alguien en quien confiar.
Italien :
Finalmente una persona con cui confidarsi.
Portugais :
Finalmente alguém em quem confiar.
Grec :
Επιτέλους ένα άτομο στο οποίο μπορείς να ανοιχτείς.