L'ouvrage de Simon Studion, paru en 1595, annonçait clairement le symbole de la Rose et la Croix avant la résurgence de Tübingen. Il bénéficia d'une seconde édition, deux fois plus longue en 1605.
Dans cette édition, était ajoutée une mélodie à 6 voix, Lilia Nympha Colit (le Lys que la Nymphe chérit), composée par un nommé Johannes Brauhart, dont les habitués trouveront ci-dessous une interprétation par le Chœur de l'Insitut Universitaire Européen de Florence à la Villa Salviati.
Le lys exprime la pureté, qui seule peut bénéficier de l'initiation évoquée par une nymphe qui ouvre son cœur...
Mais Simon Studion évoquait également la rencontre de Lünebourg en laissant associer Henri de Navarre (devenu Henri IV) au lys et à la France, la nymphe à l'Allemagne et à Frédéric de Wurtemberg, tandis que Jacques VI d'Ecosse (qui deviendra Jacques premier d'Angleterre) s'exprimait par un lion.
Anglais :
Purity can benefit from initiation
Allemand :
Reinheit kann von der Einweihung profitieren
Espagnol :
La pureza puede beneficiarse de la iniciación
Italien :
La purezza può trarre beneficio dall'iniziazione
Portugais :
A pureza pode se beneficiar da iniciação
Grec :
Η αγνότητα μπορεί να ωφεληθεί από την μύηση