Harvey Spencer Lewis n'avait laissé à ses successeurs aucune explication en ce qui concerne l'origine du rituel de l'Amorc des débuts.
Mais Lewis avait laissé dans les enseignements originels les clefs permettant à ses héritiers zélés d'ouvrir les serrures lorsque la période de sommeil prendrait la suite de la période d'activité...
C'est fait!
Cette représentation contemporaine que le "bistrot" révèle aujourd'hui, est absolument inédite, elle montre simplement l'évidence de la continuité entre la tradition héliopolitaine et le rosicrucianisme lewissien.
Les noms des divinités égyptiennes est indiqué en petits caractères avec entre parenthèses les fonctions généralement tenues par des officiers dans un Temple rosicrucien, le véritable Temple de l'Homme.
Comme il n'est naturellement pas possible de répéter les fondamentaux dans chaque article, il est vivement conseillé aux chercheurs d'utiliser le Moteur de Recherche du Bistrot (en haut de chaque page à droite) pour retrouver, avec un simple mot, les articles complémentaires.
Le principe de fonctionnement magique du rituel consiste naturellement à activer le temple afin qu'Horus le jeune (l'Horus naissant) se substitue à Horus Khent n Maat (Horus l'ancien, l'Horus du commencement).
Horus se manifeste naturellement au milieu d'eux lorsque les officiers se réunissent et activent leur fonction et que la colombe conformément à la Prière du Chapelain allume la Shékinah.
Au Moyen Âge, une intention comparable se retrouvait dans le monde chrétien lorsque François d'Assise en 1223 recélébrait la naissance christique (l'équivalent d'Horus) avec la première crèche et un rituel symbolique comportant des personnages vivants.
La représentation ci-dessus complète logiquement l'article sur le Papyrus Nesi Amsu et celui portant la révélation de l'Origine de la Kabbale.
Que celles et ceux qui ont des yeux pour boire...