24 mai 2025 6 24 /05 /mai /2025 11:18
MLC (18) - Aller vers un Champ d'Action plus vaste

Toute ma vie, j’avais renoncé aux plaisirs mondains pour accomplir mes devoirs tels que je le concevais.

 

Il était parfois difficile de déterminer où se trouvait mon plus grand devoir.

 

Un jour, alors que je me trouvais chez ma mère, je confiai à une vieille voisine, mère de ma meilleure amie : Je suis entre deux feux : ma mère a besoin de moi ici, et mon mari a besoin de moi à Boston.

 

Sa réponse fut : Et si personne n’avait réellement besoin de toi ? C’est mon cas - Sa fille, mon amie, était décédée après une longue maladie, et sa mère ne s’en était jamais remise.

 

Pendant sa période de deuil et après, cette femme aurait pu se rendre utile. Elle aurait pu venir visiter ma mère, passer des heures près d’elle ou près d’autres voisins malades, mais son égoïsme la garda cloîtrée jusqu’à sa mort, avec peu d’amis pour la regretter. Elle n’est, hélas, que l’une des nombreuses femmes de ce genre dans le monde.

 

J’exhorte tous ceux que je rencontre à créer des liens d’amitié tout le long de leur vie.

 

Aujourd’hui, à quatre-vingt-neuf ans, je reçois trois ou quatre cents cartes à Noël. Les amis de mon enfance sont tous partis. Ceux que j’ai côtoyés, avec qui j’ai marché et travaillé le long de ma vie disparaissent peu à peu mais je continue à rencontrer de nouvelles personnes et à me créer de nouveaux liens d’amitié. Il en sera ainsi jusqu’à ce qu’à mon tour, le temps soit écoulé et que j’aille travailler sur d'autres plans de cet Univers.

 

Un vieil adage dit : Pour avoir un ami, il faut être un ami.

 

Après avoir pris ma décision concernant les visites chez ma mère et avoir entendu cette voix me dire : Tu dois aller vers un champ d'action plus large, je passai une année à préparer mon trousseau.

 

Mes amies m’aidèrent à confectionner de nombreux ensembles de lingerie.

 

À cette époque, que l'on appelle maintenant la Belle Epoque, un ensemble complet se composait d'une culotte, d'une chemise, d’un corset, d'un cache-corset, d'une jupe courte, d'une jupe longue et d'une chemise de nuit.

 

Cela représentait douze ensembles en tout. Beaucoup étaient brodés ou cousus à la main, et agrémentés de nombreuses dentelles.

 

Je n'avais aucune idée du genre d’existence que j'allais mener, mais je désirais avoir de jolies choses. Je les avais gagnées, je les ai donc obtenues. Je possédais toutes sortes de robes pour toutes les occasions.

 

Je me suis mariée dans ma robe de voyage, sans cérémonie fastueuse, et nous prîmes directement le train pour New York puis le bateau qui devait nous emmener en Allemagne, avec un arrêt à Southampton pour laisser nos malles, et continuer ensuite via la mer du Nord jusqu’à Berlin.

 

A ma grande surprise, les habitants des villes de tous les horizons m'offrirent des cadeaux que je chéris encore aujourd'hui. Je laissai ma mère déballer tous les paquets qui arrivaient. Je me souviens qu’elle y prenait un grand plaisir.

 

Jusque là, dans ma vie, mes pensées n'avaient pas été tournées vers le mariage.

 

Mes pensées et mes ambitions s’étaient davantage concentrées sur le perfectionnement des talents que je pouvais développer. Mes professeurs de musique et de peinture m'avaient dit que je pouvais exceller dans ces deux arts mais je savais qu'ils ne seraient pas l'œuvre de ma vie. Je n'étais pas née pour vivre uniquement pour moi-même. J'étais toujours bien plus heureuse lorsque je me consacrais aux autres. Mais je réalisais qu'en prenant des cours de musique et de peinture, en ayant une expérience personnelle de ces deux arts, je serais capable de les apprécier encore davantage.

 

Le pasteur épiscopalien m’avait offert L’Art et les peintres Modernes [Modern Art et Painters] de John Ruskin et je me demandais en les lisant si j’aurais un jour le plaisir de voir ces grands tableaux qui y étaient mentionnés.

 

Je peux dire aujourd’hui que j’ai fait le bon choix, car si je n’avais pas étudié la musique et la peinture, je n’aurais pas été en mesure d’apprécier ces magnifiques tableaux que j’ai découverts en Allemagne, en France et en Angleterre. Je n’aurais pas pu apprécier non plus le grand opéra auquel j’ai assisté pour la première fois à Dresde puis en France et à Londres.

 

Nous étions par hasard à Dresde à l’ouverture de la saison du grand opéra. Nous eûmes la chance d’obtenir deux places dans une loge en face de celle occupée par le roi de Saxe. La représentation était Le Songe d'une Nuit d'été [Ein Sommernachtstraum] de Mendelssohn. Nous devions porter des tenues de soirée mais, ayant laissé nos bagages à Southampton, nous avions avec nous seulement le strict nécessaire.

 

Que faire ?

 

Le réceptionniste de l'hôtel où nous étions descendus dit à mon mari : Je peux vous procurer le meilleur costume de maître d'hôtel et votre épouse pourra aller acheter une tenue appropriée, ce que fis.

 

J'ai beaucoup apprécié ce premier opéra qu’aucun mot ne peut décrire.

 

Le lendemain soir, nous sommes allés écouter Les Maîtres chanteurs de Nuremberg [Die Meistersinger von Nürnberg] de Richard Wagner. De six heures à minuit, assis dans notre loge, nous avons écouté ce merveilleux orchestre et ces voix superbes.

 

Je n'ai jamais rien entendu de tel que ces voix et cette musique orchestrale, même à l'opéra de Paris ou de Londres, et j'ai entendu le meilleur de ce que ce pays a de meilleur à offrir. Et j’ai la certitude que ce n'était pas ma toute jeune expérience de l'opéra qui influençait mon ressenti. Mon mari, en tant que chanteur, avait reçu son diplôme à Londres très jeune et, ayant lui-même chanté à l’opéra, déclara qu’il n’avait jamais entendu un tel chant ni assisté à une telle production orchestrale que celle vue et entendue là-bas.

 

Nous avons parcouru tous les principaux points d’intérêt en Allemagne, avons visité Berlin, Dresde, Leipzig, Francfort et Potsdam, où le Kaiser Guillaume avait son magnifique domaine. Nous n’avons rien vu lors de ce voyage qui égale les jardins de Potsdam. Nous nous sommes assis sur le siège de marbre en demi-lune dans le jardin, Stanley à une extrémité et moi à l’autre, et avons conversé à voix basse, tout comme nous l’avons fait plus tard dans la cathédrale Saint-Paul à Londres, où deux personnes peuvent s’assoir de chaque côté du dôme et chuchoter tout en étant à même de s’entendre. Il en est de même dans le temple mormon de Salt Lake City, dans l’Utah.

 

Nous avons fait une excursion sur l'Elbe et avons grimpé sur le plus haut sommet de la montagne. Nous avons visité les caves à vin de Leipzig, où Goethe a composé la majeure partie de son Faust. De Francfort, nous avons remonté le Rhin, auquel notre Hudson est comparé, mais il y a une grande différence entre les deux : le Rhin est grandiose, alors que je trouve notre Hudson magnifique. De chaque côté du Rhin se trouvent de vastes vignobles et de vieux châteaux. Notre Hudson a de beaux arbres et de riches maisons cossues.

 

Nous avons accosté à Cologne et avons visité sa grande cathédrale. De là, nous sommes allés à Bruxelles et y sommes restés deux jours, puis à Paris.

 

Nous sommes descendus dans un hôtel face à la Seine. Nous avons pris les circuits de Cook’s Tours tout autour de Paris puis visité les principaux sites touristiques de France.

 

Fontainebleau et bien d’autres lieux me semblaient familiers, évoquant en moi des impressions diffuses de déjà-vu. J'ai appris depuis la raison de ces impressions en découvrant quelques unes de mes incarnations passées.

 

La dernière s’était déroulée en France (c’est pour cette raison que l’Allemagne toute proche, m’avait parue si familière en la visitant).

 

- début des Confidences de Marie-Louise
(à suivre..)

MLC (18) - Aller vers un Champ d'Action plus vaste

Anglais :
I was always much happier when I dedicated myself to others.

Allemand :
Ich war immer viel glücklicher, wenn ich mich anderen widmete.

Espagnol :
Siempre era mucho más feliz cuando me dedicaba a los demás.

Italien :
Ero sempre molto più felice quando mi dedicavo agli altri.

Portugais :
Eu sempre era muito mais feliz quando me dedicava aos outros.

Grec :
Ήμουν πάντα πολύ πιο ευτυχισμένη όταν αφιέρωνα τον εαυτό μου στους άλλους.

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Hymne Rosicrucien 1916

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. 
Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...