26 mai 2025 1 26 /05 /mai /2025 13:27
MLC (19) - Ma Précédente Incarnation

J’étais le maréchal Ney, l’un des maréchaux de l’armée de Napoléon, connu comme le plus brave des braves. C’est lui qui a incité Napoléon à abdiquer, cela dans le but d’empêcher la guerre civile en France.

 

Le nom du maréchal Ney a été immortalisé en Suisse. Il y fut nommé ambassadeur par Napoléon lui-même pour aider à résoudre les querelles internes qui duraient depuis plusieurs années. C'est grâce également à ses grandes connaissances, à son leadership et à sa patience qu'il parvint à apaiser les différends entre les divers cantons du pays. C’est encore grâce à ses efforts que les ratifications des traités entre la Suisse et la France furent échangées le 12 décembre 1803.

 

Grâce à ses relations amicales avec le peuple, il réussit en un an à organiser un nouveau gouvernement. Pour l’excellent travail accompli, les citoyens de Berne décidèrent de perpétuer le souvenir de sa mission par l’érection d’un monument public – une distinction des plus inhabituelles.

 

Une fois encore, Ney avait remporté une victoire. Avant son départ, le Landaman fut autorisé à exprimer les regrets des cantons confédérés et, en leur nom, à lui envoyer à Paris une tabatière en or ornée du monogramme de la Suisse et serti de diamants. Le tout accompagné d’une lettre exprimant leur gratitude pour le travail accompli et leurs regrets quant à son départ. J’ai entendu dire qu’aujourd’hui encore, ils organisent toujours des fêtes pour célébrer sa mémoire.

 

Le maréchal Ney fut reconnu coupable de trahison par les Bourbons et condamné à être fusillé après la bataille de Waterloo, mais grâce à l’intervention d’une organisation fraternelle dont il était membre, sa vie fut sauvée. Au moment de son exécution il passa lentement devant le peloton, parlant à voix basse, de manière à ce qu’eux seuls puissent l’entendre. Le major de Bias s’avança avec un linge blanc et lui dit : Puis-je vous demander de vous agenouiller, Monsieur le Maréchal, et de me laisser placer ceci devant vos yeux ? Mais Ney l’écarta d’un geste et répondit : J’ai livré cent batailles pour la France, Monsieur. Pensez-vous que j’ai peur d’affronter les balles ?

 

Il donna la tabatière offerte par les Suisses et sa bourse au vieux prêtre qui l’avait visité en prison et qui l’avait accompagné jusqu’au jardin où il devait être fusillé, le priant de les remettre à Madame Ney: Ce sera un souvenir - quant à l’argent, vous l’utiliserez pour les pauvres de Saint-Sulpice. Ceux qui devaient tirer lui étaient favorables et visèrent donc trop haut. Lorsqu’il tomba, il avait une poche de liquide rouge dans sa poche. En tombant en avant, la poche éclata, et on pensa qu’il était mort. Un groupe de membres de sa société secrète le couvrit rapidement et l’emmena.

 

Le liquide rouge lui avait été fourni par un envoyé du duc de Wellington.

 

Il avait le courage des dieux car sa conscience était claire. Il avait essayé de sauver la France d'un bain de sang. Il fut emmené dans un couvent et de là, il partit déguisé en compagnie de deux autres maréchaux. Les trois obtinrent finalement un visa pour l'Amérique et débarquèrent à Charlestown.

 

Des funérailles avaient eu lieu avec un cercueil vide. Quelque temps plus tard, Madame Ney souhaita déplacer le cercueil vers un autre lieu mais lorsqu’elle obtint finalement l’autorisation de le faire, ils trouvèrent un cercueil vide.

 

Avec d'autres, il avait été envoyé en Amérique, où, sous le nom de Peter Stewart Ney, il enseigna dans une école de Caroline du Nord. Il mourut à l'âge de soixante-dix-sept ans, le 7 novembre 1846, et fut inhumé dans le cimetière presbytérien de Third Creek, dans le comté de Rowan, en Caroline du Nord.

 

Il y avait vécu sa vie d'exilé, consacrant son temps à des activités culturelles, prenant d'abord le temps nécessaire pour devenir instituteur, puis enseignant dans les écoles. À la fois par l'exemple et par les préceptes il gagna l'amour et l'admiration de tous ceux qu'il rencontra, jusqu'à ce que son âme soit libérée de ce triste bannissement.

 

Après de longues années d'agitation, le Gouvernement provisoire de la France rétablit le nom du maréchal Ney à sa juste place dans l'histoire. Ce même gouvernement provisoire après la Révolution de 1848, décida que son procès et sa condamnation devaient être déclarés irréguliers, que son nom devait être réinscrit au tableau de la Légion d'honneur et qu'une statue serait érigée à sa mémoire sur le lieu de son exécution. (Voir Le plus brave des braves, par A. H. Atteridge, page 371.)

 

Un peu avant que le maréchal Ney ne décède, il reçut une lettre de sa femme lui annonçant qu'il avait été graciéet lui demandant de rentrer, mais il craignait que ce ne soit un piège. Il était désormais un vieil homme et se doutait que le monde aurait changé.

 

L’acteur Richard Ney affirme que le maréchal Ney était son grand-père.

 

Il n’était pas un traître à son pays. Il aimait la France et son peuple et quelles que soient les erreurs de jugement qu’il ait pu commettre lorsqu’il fut confronté à la difficile question de soutenir les Bourbons ou de rejoindre Napoléon à Waterloo, elles venaient uniquement de sa réflexion profonde, et non de son coeur. Il voulait éviter une guerre civile et un bain de sang en France. Il voulait éviter les crimes civils.

 

Le duc de Wellington, un frère maçonnique, avait le pouvoir de le sauver de l’accusation de traîtrise, mais il ne veilla pas à ce que justice lui soit rendue. Il avait foi en un traité qu’il avait lui-même ratifié qui accordait l’amnistie à tous ceux qui avaient suivi Napoléon pendant les Cent-Jours. Il aurait pu exiger que sa vie soit épargnée.

 

Ce que vous mesurez aux autres vous sera mesuré en retour - Le duc de Wellington est maintenant incarné sur terre et, à cause de sa nature obstinée, il est devenu un exilé de son pays bien-aimé – telle est la loi du karma ou de compensation. Ce n’est pas toujours ce que nous nous faisons à nous-mêmes qui compte, mais ce que nous permettons aux autres de faire lorsque nous avons une responsabilité dont nous devons répondre de par la fonction que nous occupons.

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- début des Confidences de Marie-Louise
(à suivre..)

MLC (19) - Ma Précédente Incarnation

Anglais :
Those who were supposed to shoot him were sympathetic, so they aimed too high.

Allemand :
Diejenigen, die ihn erschießen sollten, waren ihm wohlgesinnt und zielten daher zu hoch.

Espagnol :
Los que debían fusilarlo le eran favorables, así que apuntaron demasiado alto.

Italien :
Coloro che dovevano fucilarlo gli erano favorevoli e quindi mirarono troppo in alto.

Portugais :
Aqueles que deviam fuzilá-lo eram a seu favor e, por isso, miraram alto demais.

Grec :
Αυτοί που έπρεπε να τον εκτελέσουν του ήταν ευνοϊκά διατεθειμένοι και έτσι σημάδεψαν πολύ ψηλά.

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Hymne Rosicrucien 1916

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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