Anthony Bacon (1558-1601) est un personnage assez peu connu du rosicrucianisme. Fils de Nicolas et Anne Bacon alors que Francis Bacon (1561-1626) serait un fils caché et non reconnu de la reine Elisabeth 1 avec Nicolas Bacon qui était son Garde des Sceaux.

Si nous considérons sérieusement que Francis Bacon est "Rosenkreutz", l'Impérator de la Rose+Croix et l'auteur des nombreux écrits rosicruciens de l'époque signé par Andreae (1586-1654) et du théâtre signé par Shakespeare ou encore de Don Quichotte signé par Cervantes (1547-1616), nous apprécions de constater que dans le théatre de Shakespeare, le personnage d'Anthony se retrouve souvent, -à 8 reprises semble t-il-, et en particulier dans "la Tempête" et "Le Marchand de Venise".

Il semble que les frères Bacon aient pris l'habitude, étant jeunes, d'écrire ensemble et de jouer entre eux des pièces de théâtre ce qui témoigne d'une grande complicité fraternelle qui a toujours perduré. Harvey Spencer Lewis raconte que Antony Bacon était le Legat de son frère sur le continent... 

Voici une lettre de Francis Bacon à son frère Anthony.

Voir aussi "Pouvoirs et Réalisations du maître"

C'est un des sujets les plus étonnants que soulève discrètement Harvey Spencer Lewis dans les monographies rosicruciennes: l'affaire Johann Neve (photo).

De nos jours Johann Neve (1844-1896) est oublié (voir aussi). Il fut un anarchiste allemand, mort emprisonné. Son honnèteté et son talent en avait fait l'idole de beaucoup. Et ce Johann Neve ne dut son arrestation en 1885 qu'à l'infiltration de son mouvement (la ligue socialiste révolutionnaire anglaise) par un brillant espion, un certain Theodor Reuss...

C'est le Theodor Reuss (1855-1923) qui récupéra en 1903 le contrôle de "l'Academia Masonica" créée par le chimiste et entrepreneur Karl Kellner et lui donna le nom d'Ordo Templis Orientis, "OTO". Reuss circulait beaucoup et avait choisi le nomen de "Pelegrinus".

On comprend peut-être mieux ainsi le message que représente le curieux Johann Reuss" de la monographie...

(Voir aussi "qui était le Reuss de l'Amerika")

"Nous avons découvert un langage que personne n’a vu ou entendu depuis le 16e ou le 17e siècle" a déclaré Jeffrey Quilter, (photo) rattaché au muséum d’archéologie et d’ethnologie d’Harvard "les recherches ont déterminé que ce morceau de papier présentait un système numérique dans un langage perdu depuis des centaines d’années" (...) "Cette langue est référée dans les écrits comme le "pescatora", l'ancien langage des pécheurs de la côte nord du Pérou" .

Cette lettre, en quelque sorte la pierre de Rosette du pescatora a été découverte dans les ruine de l’église Magdalena de Cao Viejo. Elle révèle une manière de compter pour les échanges commerciaux des conquistadors avec les indigènes.