Voici une manière égyptienne plus élaborée d'exprimer le Ren-Sheta (le nom caché).
Par rapport à l'écriture plus simplifiée que nous avons utilisée dans le précédent message ("Avez-vous un Ren-Sheta?"), nous observons 3 symboles supplémentaires.
En particulier la petite miche de pain "T" disparue, est remplacée par le symbole de la languette de terre avec quelques grains de sable qui se prononce "Ta".
Nous nous souvenons de son utilisation dans "Ta-Meri", la terre aimante.
L'idée semble exprimer que le "Sheta" (le secret, le caché, la confidence) concernant le nom ("ren") est seulement une expression terrestre qui n'a sa raison d'être que dans la poussière de la terre.
Il y a ensuite le four du potier qui se prononce également "Ta".
Les Habitués du Bistrot ne manqueront pas de faire un jonction avec l'athanor des alchimistes qui contient d'ailleurs toujours le son "Ta": l'aTAnor...
L'athanor exprime naturellement le travail intérieur qui brûle les scories, ce qui est d'autant plus efficace si l'athanor est "fermé" et permet une puissante montée en température.
Le mot se prononce toujours "Ren-Sheta" car la syllabe "Ta" ne se prononce pas deux fois: les symboles sont seulement présents pour faciliter notre compréhension.
Il a enfin un déterminatif supplémentaire constitué par deux bâtons croisés qui indique naturellement une épreuve, une rencontre, un affrontement (nous connaissons l'expression croiser le fer), un choc...
Tout cela semblerait indiquer que le Ren-Sheta serait davantage un programme d'incarnation terrestre plutôt qu'un nom conservé pour l'éternité.