Une étude ressort actuellement dans les médias, montrant que les êtres gentils et sympas sont moins bien payés que les autres. La différence n'est pas énorme mais elle est de l'ordre de 18% pour les hommes et 5% pour les femmes.
C'est assez logique finalement, pour les rosicruciens, qui sont normalement des êtres gentils et sympas, de considérer l'argent comme un moyen et non comme un objectif prioritaire de la vie.
C'est d'ailleurs une question, tenue à l'écart de la résurgence américaine de Harvey Spencer Lewis, de savoir si la démarche rosicrucienne passe clairement par un renoncement à l'abus de possessions matérielles pour atteindre un état de réalisation dans lequel le cosmique reconnaissant gratifie en permanence de ses dons.
Le graphisme hiéroglyphique d'en haut est assez parlant. Il exprime l'idée: les papyrus et les arbres sortent naturellement de terre au dessus d'une bouche ouverte et du hiéroglyphe des deux bras tendus en communion avec le ciel. L'authentique communion divine ouvre la bouche gratifiant avec abondance les bienfaits vitaux. On lit de haut en bas "sharka" (peut être sha-ra-ka) et on devine l'origine du mot hébreu "shefa" (שפע ; shin pe aïn) que l'on traduit par "abondance" et le mot arabe "baraka" (بركة ; sagesse, bénédiction divine, chance...).