Les objets inanimés se chargent parfois de certaines vibrations parasites... Dans le rosicrucianisme lewissien, c'est au 8ème degré du temple, que le chercheur découvre et expérimente sa sensibilité à la "vibroturgie", littéralement: le "travail sur les vibrations".
En clair, avec les développement de l'intuition et de la capacité à utiliser la force vitale, le rosicrucien peut davantage gérer les imprégnations qu'un objet a pu "ramasser".
Il peut par exemple amplifier ces vibrations pour retrouver l'histoire d'un objet.
Il faut dire qu'un chercheur expérimenté éloigne naturellement de son environnement des objets imprégnés d'une trop grande matérialité qui contriburaient à le maintenir à un niveau vibratoire trop bas...
De la même façon, lorsque l'étudiant progresse, ses maîtres lui font la démonstration de la puissance de la force vitale et de l'aptitude qui lui a été transmise. Il appartient désormais à l'initié d'éliminer certaines vibrations chargées de "Yaki".
C'est un peu ce qui se produit chez une certaine variété de vautours, le "Milvus Migrans" que les français nomment le "milan noir", parce qu'ils le regardent à contre-jour...
Les chercheurs ont pu constater que le mâle apprécie de décorer son nid avec les beaux morceaux de plastique ensoleillés qu'il ramasse.
Plus le mâle est puissant, plus le nid en contient.
Le milan noir affectionne les morceaux blancs qui brillent bien. Cela dissuade les autres oiseaux de venir s'attaquer au nid et cela plait aux femelles qui pondent davantage d'œufs...
Naturellement, l'homme a essayé de rajouter des morceaux de plastique pour voir si les femelles pondaient davantage...
Mais cela ne fonctionne pas: les milans ressentent la présence des vibrations étrangères et les éloignent rapidement de leur nid...
Ils ont le dernier mot: Wuhihi! (C'est le hénissement caractéristique du milan noir!)
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