Il y a des actes qui changent la vie, après lesquels rien n'est plus tout à fait comme avant.
Un certain état d'esprit conduit à écouter un discret appel intérieur.
Et puis il y eût ce clic et vous débarquâtes...
Le Bistrot allait permettre une rencontre avec les Invisibles Frères de la Rose+Croix...
Ces hiéroglyphes le lisent "Akhou" ou symplement "Akh".
Pour lire "Akhou", à coup sûr, les égyptiens l'auraient écrit ainsi.
Mais, il n'y aurait pas eu la même poésie à rajouter au milieu ce petit poussin de caille qui impose le pluriel...
Il faut savoir que les égyptiens jonglent avec les sons et les sens (les "phonogrammes et les "idéogrammes" disent les scientifiques).
En effet l'ibis à gauche est un oiseau du dieu Toth qui exprime la connaissance.
Normalement l'ibis se lit "akh".
Le dernier hiéroglyphe à gauche est aussi akhou, mais il ne se lit pas, c'est seulement un déterminatif qui exprime la Lumière rayonnante...
Alors faut-il vraiment traduire "Akhou" où votre cœur s'est déjà exprimé?
L'ibis "Akh" est l'envoyé de la Lumière, c'est celui qui vous a invité à cliquer.
Au pluriel cela exprimerait évidemment la fraternité invisible des initiés, mais surtout ne le répétez pas cela à un véritable égyptologue qui hausserait les épaules et qui chercherait en vain les hiéroglyphes "senou" de la fraternité...
On aurait beau lui répéter plusieurs fois la fraternité "senou", certains ne peuvent pas comprendre alors surtout n'insistons pas!
Donc résumons, "Akhou" c'était l'envoyé invisible qui annonçait le Bistrot, un mystérieux volatile céleste, un osagi, peut-être...
Nous l'avons vu partout...
Il est le soleil levant, qui s'éveille en nous.
Il est la magie de la lumière.
C'est notre oiseau intérieur caché, notre être vrai, c'est aussi nous lorsque nous canalisons la Lumière...