30 juillet 2025 3 30 /07 /juillet /2025 15:49
MLC - (39) Une Âme sensible jetée parmi les Bêtes

Je lisais tout ce qui me tombait sous la main. On me donna une carte spéciale à la Bibliothèque publique, me permettant d’emprunter des livres épuisés et de ce fait non disponibles au public.

Mon nom cessa d’apparaître dans les chroniques mondaines. Mes anciens associés se demandaient ce que j’étais devenue. Quand j’essayais d’expliquer ce que je faisais, ils s’exclamaient que cela les dépassait complètement . 

Le travail que j’avais entrepris m'absorbait entièrement. Je sentais qu’une vie plus calme et méditative était désormais ce dont j’avais besoin. 

Les attractions musicales restaient toujours séduisantes. La musique et l’amour sont les langages de l’âme. 

Cependant, je pris peu à peu conscience que nous devions désormais chercher un lieu plus calme, plus paisible, que l’hôtel où nous avions résidé durant vingt et un ans.

 

Durant l’été 1919, la direction de l’hôtel changea de mains, et les loyers furent augmentés. Une amie vivant dans le Maine m’avait conviée à passer quelques temps chez elle, mais je ne me décidais pas à répondre à son invitation. 

Le dernier samedi d’août,  me réveillant en pleine nuit, une voix me dit: Lis le vingt-troisième Psaume et le deuxième chapitre du Livre de l’Apocalypse. Je me levai et lus les deux.

Pendant le petit-déjeuner, que j’avais préparé dans nos chambres, je dis à mon mari: Je ne veux pas aller dans le Maine. 

Il ne répondit pas mais sortit de sa poche un avis indiquant que notre loyer, à partir du 1er octobre, serait porté à un montant que nous ne pourrions pas assumer. 

Eh bien, dis-je, Stanley, je suis prête à déménager. Nous devons trouver un endroit plus calme que celui-ci si je veux accomplir le travail qui m’attend. 

 

Cet après-midi-là, nous nous rendîmes à Fenway, où se trouvaient, à cette époque, seulement un grand immeuble divisé en appartements, quelques maisons pour les étudiantes de Simmons, et le Centre Vedanta. 

En approchant de l’immeuble, je dis: Je crois que j’apprécierais bien cet appartement au dernier étage, côté sud-ouest, où nous pourrions avoir le soleil et un ciel ouvert toute la journée. 

En entrant, nous rencontrâmes le concierge qui nous indiqua qu'un seul appartement, encore occupé, serait libre à partir du 1er octobre. Je lui fis remarquer que j’aurais préféré un étage plus élevé.  

Il répondit simplement: Prenez celui-ci, et dès que d’autres se libéreront, vous pourrez monter. Nous le réservâmes aussitôt.

La semaine suivante, le propriétaire nous informa que les occupants ne quitteraient finalement pas les lieux le 1er octobre, mais qu’un autre appartement, selon lui le meilleur de l’immeuble, serait finalement disponible à cette date. 

Il nous demanda de venir le visiter. Depuis la construction de l’immeuble, seules deux enseignantes l’avaient occupé .

Nous nous y rendîmes, et à ma grande joie, il s'agissait de cet appartement du dernier étage, situé côté sud-ouest. 

 

Ainsi, en octobre, nous quittâmes l’hôtel emportant avec nous beaucoup de souvenirs agréables. 
De nombreuses amitiés solides s’y étaient formées. mais je ne peux m'empêcher d'être triste, aujourd'hui, à la pensée que tous ceux qui me nommaient Queenie sont partis. 

Ce surnom m’avait été donné en raison de la manière digne dont j’entrais dans la salle à manger. Stanley était tout aussi élégant,  et on nous considérait comme le couple le plus chic de l’hôtel. 
Mon mari aimait les bijoux et se privait souvent pour m’en offrir un uniquement pour le plaisir de le me voir porter. 

Étant capable de coudre mes propres vêtements, je pouvais confectionner de nombreuses robes peu coûteuses, comme en témoignent mes nombreuses photographies.

 

Cet appartement de trois pièces au 25 Peterboro Street restera toujours dans ma mémoire comme le lieu où je vécus ma plus grande illumination. 

Là, dans un calme serein, où je pouvais rassembler mes pensées dans une ambiance méditative, régnait une atmosphère où les Maîtres pouvaient me contacter. Et ils le firent, à ma grande joie et stupéfaction. 

Apprendre qui j’avais été dans une incarnation passée, ce que je représentais dans cette incarnation ci, voir mon avenir tracé devant moi, et découvrir la mission de mon âme dans cette vie, fut des plus exaltants et essentiels dans un monde où une âme sensible est, pour ainsi dire, jetée parmi les Bêtes (ce qui signifie l’esprit inférieur des gens).

Il y avait du soleil toute la journée grâce aux nombreuses fenêtres. L’appartement se composait d’un grand salon avec une alcôve où un canapé-lit pouvait être installé avec mon bureau et mes livres.  

S’y trouvaient également une petite cuisine, une seconde alcôve destinée à la table à manger, une grande salle de bain, ainsi qu’un long couloir menant à une chambre de bonne taille. Enfin, un vaste espace de rangement avait été aménagé, chose dont nous ne disposions pas à l’hôtel Westminster. 

 

Loin du tumulte des tramways, du vacarme, de la saleté et de la fumée des trains, loin aussi des vibrations matérielles émanant de tant de personnes, je trouvai, du moins pour un temps,  la paix et une forme de satisfaction. 

Les deux seules occupantes de cet appartement depuis sa construction avaient avaient laissé une vibration propre et saine.

J’y écrivis de nombreuses conférences pour les membres de la Loge et pour le public qui furent accueillies avec un vif enthousiasme. 

Les samedis après-midi, j'en présentais souvent devant  un groupe appelé Les Tours de l’Amitié. Le chef en était un certain M. Jump, un ecclésiastique. 

Nous servions toujours du thé aux participants. Lors de l’un de ces après-midi, quarante ecclésiastiques étaient présents. M. Jump me demanda de ne pas prolonger ma conférence au delà de vingt minutes, car les auditeurs s'agitaient ou montraient des signes de fatigue. 

Je lui répondis que j'avais préparé une conférence de quarante minutes sur thème de la réincarnation mais que j'y mettrai fin après vingt minutes. 

Je donnai la conférence, et lorsque les vingt minutes furent écoulées, je regardai M. Jump, assis près de moi, et interrogeai: 

Dois-je m’arrêter maintenant ? Non, non, s'exclama t'-il, c'est captivant.  

Je menai la conférence à son terme et quelque temps plus tard,  M. Jump me proposa de la redonner devant un autre groupe, réunissant principalement des enseignants et de professeurs d’université. Elle fut reçue avec le même enthousiasme. Puis, M. Jump décéda et le groupe se dispersa.

 

En 1919, le professeur Baker, enseignant en psychologie à l’Université de Boston, me fit demander. Je me rendis sur place et après avoir conversé avec lui environ deux heures, il dit : 
Eh bien, je suis contraint de constater que vous ne pouvez rien m'apporter. Il poursuivit : 

Je vous ai invitée à venir me voir parce que j’avais entendu parler de votre enseignement et j’espérais que vous pourriez m’apporter de l'aide dans mon travail auprès de la classe dont j’ai la charge, mais ce ne sera pas le cas. 
Vous êtes une femme remarquable, et ce que vous savez dépasse leur compréhension. 

Je lui demandai ce qu’il voulait dire par là. Il répondit: 

Vous n’iriez pas parler dans la rue à n’importe qui comme vous m’avez parlé, n’est-ce pas?  
Non, bien sûr que non, répondis-je. Ce sont vos questions qui m’ont amené à dire tout ce que j’ai pu exprimer. 

Il dit alors: C’est ce que je veux dire. Vos pensées sont en avance sur notre époque. 

Je n’ai jamais eu l’impression de savoir quelque chose que les autres ignoraient. 

Après cet épisode, on me conseilla de ne pas parler trop librement en dehors du Temple.

 

- début des Confidences de Marie-Louise

- à suivre

MLC - (39) Une Âme sensible jetée parmi les Bêtes
1. Anglais

There was an atmosphere in which the Masters could contact me.

2. Allemand

Es herrschte eine Atmosphäre, in der die Meister mit mir in Kontakt treten konnten.

3. Espagnol

Reinaba una atmósfera en la que los Maestros podían contactarme.

4. Italien

Regnava un'atmosfera in cui i Maestri potevano mettersi in contatto con me.

5. Portugais

Reinava uma atmosfera em que os Mestres podiam entrar em contato comigo.

6. Grec

Υπήρχε μια ατμόσφαιρα όπου οι Δάσκαλοι μπορούσαν να επικοινωνήσουν μαζί μου.

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Nos Enseignements Rosicruciens

Le Bistrot de la Rose+Croix propose un continuum de 6 ouvrages couvrant correctement le début de l'Enseignement Rosicrucien. <cliquer ici>

Les Trésors De La Cave...

Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens.
Image 2
Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun.
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer.
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Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale sentait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.
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Conformément à la volonté de Profundis (Harvey Spencer Lewis), le Bistrot a mis, en circulation gratuite, le pdf de la traduction française du texte de 1918 de Symbolisme Mystique dans les Confraternités Ancestrales. L'édition papier comporte en parallèle la version américaine initiale et la version française. Le lecteur peut ainsi vérifier certains points de celle-ci. Mais il s'ajoute le descriptif de toute la quête autour du document qui permettra au lecteur de se familiariser avec l'approche ésotérique du sujet qui fait songer à la fameuse recherche du livre de Toth... - Pourquoi le document a t-il disparu pour réapparaitre sous une forme encyclopédique commercialisée 26 ans plus tard?
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L'ouvrage révèle des secrets généralement oubliés de ce degré si incompris. Partant de la Double Couronne égyptienne qui est davantage que la somme des deux autres, il suivra cet enseignement chez les gnostiques, puis chez les templiers et même en Inde. Des clés lui seront fournies, comme celles du fameux « maord-maorc », qui a heurté tant de rosicruciens. Il expérimentera l'enseignement par de passionnantes expériences paranormales ou alchimiques. Et ce n’est que le début : la rencontre du Gardien du Seuil est au programme, et l’étudiant comprendra pourquoi la majorité refoule ce sujet. Parmi les révélations, un mystérieux document déposé par Harvey Spencer Lewis dans une librairie new-yorkaise livrera un mystérieux secret inattendu. Une Monographie du 3e Degré des Néophytes Rosicruciens restera le livre de chevet qui incite à reprendre les Études...

Une Sentence de Sextus

 

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