27 juillet 2025 7 27 /07 /juillet /2025 00:46
MLC (38) - L'Organisation de la Convention de 1918

Je poursuivis la gestion du Bureau des Artistes, car cela me permettait d’aider de nombreux jeunes talents à lancer leur carrière. 

La guerre de 1914 battait encore son plein, et on me demanda d’aider à collecter des fonds. Ma réputation pour l’organisation et la levée de sommes conséquentes  demeurait intacte. 

Le Fonds communautaire du Camp devait collecter 250 000 dollars sous ma direction. Nous en collectâmes 260 000. 

La Bibliothèque publique devait atteindre un quota de 60 000 dollars. Cela fut également accompli. 

Je ne reçus aucun argent pour tout ce travail. Le proverbe Rien ne réussit comme le succès s’appliquait à moi. Je dus faire face aux langues malveillantes des jaloux, qui disaient: Elle doit en tirer quelque chose, sinon elle ne donnerait pas son temps pour cela.  

Mais cela n’avait rien de nouveau, car toute ma vie, j’avais dû combattre la jalousie, la mauvaise herbe la plus venimeuse de notre jardin mental. 

 

Même le Chef de l’Organisation que je représentais, dénaturait le travail qui m’avait été assigné par les Maîtres en relation avec ma mission dans cette vie. 

C'était un occultiste, un médium avec assez peu de sensations spirituelles, et à cause de son orgueil et de ses motifs propres, il déformait les instructions données par les Maîtres, il fut retiré de son poste à l’âge de cinquante-six ans. Tout celà parce qu'il recherchait le  pouvoir, pour lui seul. (*)

Les Maîtres se servirent de moi comme instrument pour accomplir toutes les choses que Jésus avait déjà accomplies. 

Je me révélai être une grande guérisseuse, je ramenai à la vie une femme dont le pouls avait cessé d'être senti pendant deux heures et demie. 

Je guéris une femme d’un cancer, j’expulsai un esprit maléfique de ma nièce, dont l’âme avait permis à son corps d’être utilisé pour prouver que je pouvais le faire. 

Il y a encore aujourd’hui, en 1951, des personnes vivantes qui pourraient témoigner de la véracité de ce que j’écris.

 

En août 1918, je me rendis à New York, où je restai huit semaines. L’Organisation à laquelle j’appartenais avait acheté une vieille maison, qui devait être rénovée pour servir de bureau et de temple. Les membres s'étaient engagés pour les travaux nécessaires, car une Convention devait se tenir en septembre. 

Je n'avais pas réalisé, en proposant mon aide, ce qui m’attendait.

Personne n’avait vraiment en charge la supervision et, le Chef de l’Organisation, n’étant pas un homme pratique, n’était pas capable de diriger une équipe de travail.

Le lendemain de mon arrivée, je demandai au Chef de l’Organisation ce qu’il souhaitait que je fasse. Il me demanda alors de me rendre dans les toilettes des dames et et d'en nettoyer la peinture. Je descendis donc et frottai murs, autrefois blancs, ainsi que le lavabo attenant.

Le lendemain, je posai la même question, et la réponse fut tout aussi inapropriée car tout l’intérieur de la maison était destiné à être démoli puis reconstruit. 

Je réunis donc les quelques membres qui s’étaient proposés pour aider et leur demandai de se joindre à moi, disant que je planifierais les travaux nécessaires de manière pratique, afin que le bâtiment soit prêt pour la Convention. 

Face à l'ampleur de la tâche aucune femme ne proposa son aide, mais les Frères me prêtèrent main forte tout au long des travaux, et le bâtiment fût entièrement remis en ordre. 

L'immeuble avait été auparavant occupé par une famille italienne de huit enfants, et tout était en désordre du haut jusqu'en bas. Nous frottâmes, blanchîmes, peignîmes, tapissâmes chaque pièce. 

Il fallut ensuite l’équiper mais la trésorerie disposait de très peu de moyens. Je dus finalement acheter les articles nécessaires pour rénover et meubler certaines pièces.

Je n’hésiterais pas à qualifier ces huit semaines de véritable enfer. Il serait impossible de décrire ce que j’ai traversé mais cette Puissance qui m’a toujours soutenue lorsque j’entreprenais quelque chose était toujours là. Je devais continuer jusqu’au bout, et un jour je comprendrais les tenants et aboutissants de cette expérience.

 

Le Chef de l’Organisation avait de nombreux ennemis, qui agissaient en secret pour le renverser, et les chefs des différentes loges venaient à la Convention dans ce but. 

Je remarquais tout cela et lui en faisait part, mais il refusait de me croire. 

Les femmes de l’Organisation se sentaient au-dessus des tâches que je devais accomplir, et les ennemis avaient peur de moi. 

Je dus retirer de mon compte bancaire tout l’argent dont je disposais pour couvrir toutes mes dépenses de vie sur place, et assurer les repas pour les personnes qui venaient m’aider chaque jour.

Lorsque tout fut prêt et que les chefs des différentes loges commencèrent à venir, je fis en sorte d’être la première à les accueillir. Je dis au premier arrivé qu’il devait y avoir une parfaite harmonie pour cette Convention. Il répondit : 

Sœur, restez ici dans le hall, et votre grand amour apportera paix et harmonie.  

Je résolus donc d’accueillir personnellement chaque invité, et conviai tous les chefs à un déjeuner ou un dîner, leur faisant promettre que seule l’harmonie prévaudrait.

Le jour de la Convention arriva. Le Député Maître présidait la réunion, et il invita le membre le plus ancien de Pittsburgh à s'exprimer. 

Ses premiers mots furent loin d’être harmonieux, les lumières s’éteignirent et il retourna à son siège.

Le matin, la Grande Prêtresse m’avait annoncé qu’un message lui avait été remis pour la Convention,  où il était question de moi, mais qu’elle ne pouvait m'en faire part.

Elle fut pourtant la suivante à être appelée, et elle se leva de son siège comme une tigresse. 

Elle avait été actrice, et la manière dont elle délivra ce message résonne encore à mes oreilles. 

Elle commença par énumérer tout ce que j’avais fait pour organiser la Convention, le travail acharné, le fait de nourrir tout le monde, les bons conseils et ses derniers mots furent: Nettoyez votre propre Temple, signifiant les propres pensées.

La veille, le Chef de l’Organisation m’avait prédit un discours remarquable à la Convention. J’avais rétorqué qu’il serait plus prudent que je me mette à en écrire un, car je ne m’attendais pas à être appelée. 

Il répondit que je n’avais pas besoin d’en écrire un mais d’ouvrir la bouche et de prononcer les mots qui me seraient donnés. 

Je repensai alors à ce dicton biblique:  Ne vous inquiétez pas de ce que vous direz, et tout vous sera donné à cette heure-là. 

Je me levai donc et abandonnai mon instrument aux Puissances Supérieures pour qu’Elles l’utilisent comme Elles le souhaitaient. 

Je ne peux rapporter exactement aujourd'hui tout la teneur de mes paroles, mais j’ai plaidé auprès des délégués pour maintenir l’harmonie et passer outre les faiblesses de la chair, auxquelles la fragilité humaine est soumise sur cette sphère matérielle. 

Je demeurai sur place encore quelques jours, le temps de m’assurer que tout ce que j’avais mis en place était en ordre afin que d’autres puissent poursuivre le travail. 

Lorsque je pris le train qui me ramènerait chez moi, je rencontrai le principal opposant, Thor Kiimalehto. Il me dit : Sœur Clemens, c’était votre Convention, si vous n'aviez pas été là il n'y aurait pas eu de Convention. 

Il me restait seulement soixante-quinze dollars sur mon compte bancaire, je leur enverrai dès mon retour chez moi.
Un vieil homme de couleur appartenant à la Loge m’apporta un panier de fruits pour le voyage. Il prit mon visage entre ses mains et dit: Sœur, vous avez rendu un service bien plus grand que vous ne l'imaginez par votre présence. Je vous ai observée tout au long de la réunion, et votre récompense est à venir. 

Je savais bien que mon esprit conscient ne pouvait pas saisir tout ce que j’avais accompli en ces quelques semaines, mais j’étais certaine que mon âme était satisfaite, et si, pour une raison quelconque, j’avais une dette karmique, elle avait été payée.

Parallèlement aux festivités de la Convention, ma protégée (nous l’appellerons Pearl) étudiait à New York. Le Chef de l’Organisation s'adressant aux membres, déclara: Pearl chantera ce soir comme vous ne l’avez jamais entendue chanter. 

C’était un magicien, il connaissait de nombreuses façons dont la pensée peut influencer l’esprit d’une personne. Il maintenait son esprit objectif dans un état de ravissement, comme Svengali le faisait avec Trilby, et l'âme de Pearl s’exprima dans une interprétation bouleversante d’une chanson d’amour qu’elle chanta.

Je rentrai chez moi auprès de mon mari, de ma Loge et de l’amour immense que j’avais réussi à éveiller dans le groupe que j’avais rassemblé autour de moi.

J’étais parvenue à réunir un très beau groupe de personnes. Je consacrai beaucoup de temps à la Loge. Les jeudis soirs étaient dédiés au travail des Degrés. Le dimanche soir, je donnais des conférences de ma propre composition, auxquelles le public était convié. 

Je me sentais très heureuse, car mon âme, qui avait été comme emprisonnée pendant si longtemps, pouvait enfin exprimer au monde extérieur ce qu’elle ressentait, le besoin de transmettre. 

 

- début des Confidences de Marie-Louise

- à suivre

 

(*) He was an Occultist, a Psychic with very little Spiritual feeling, and through his conceit and selfish motives, by distorting all instruction given him by the Masters, was taken out of his office through transition at the age of fifty-six. All this because he wanted power for himself alone.

MLC (38) - L'Organisation de la Convention de 1918
🇬🇧 Anglais :

The lights went out and he returned to his seat.

🇩🇪 Allemand :

Die Lichter gingen aus und er kehrte auf seinen Platz zurück.

🇪🇸 Espagnol :

Las luces se apagaron y él volvió a su asiento.

🇮🇹 Italien :

Le luci si spensero ed egli tornò al suo posto.

🇵🇹 Portugais :

As luzes se apagaram e ele voltou ao seu assento.

🇬🇷 Grec :

Τα φώτα έσβησαν και επέστρεψε στη θέση του.

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Nos Enseignements Rosicruciens

Le Bistrot de la Rose+Croix propose un continuum de 6 ouvrages couvrant correctement le début de l'Enseignement Rosicrucien. <cliquer ici>

Les Trésors De La Cave...

Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun.
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer.
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Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale sentait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.
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Conformément à la volonté de Profundis (Harvey Spencer Lewis), le Bistrot a mis, en circulation gratuite, le pdf de la traduction française du texte de 1918 de Symbolisme Mystique dans les Confraternités Ancestrales. L'édition papier comporte en parallèle la version américaine initiale et la version française. Le lecteur peut ainsi vérifier certains points de celle-ci. Mais il s'ajoute le descriptif de toute la quête autour du document qui permettra au lecteur de se familiariser avec l'approche ésotérique du sujet qui fait songer à la fameuse recherche du livre de Toth... - Pourquoi le document a t-il disparu pour réapparaitre sous une forme encyclopédique commercialisée 26 ans plus tard?
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L'ouvrage révèle des secrets généralement oubliés de ce degré si incompris. Partant de la Double Couronne égyptienne qui est davantage que la somme des deux autres, il suivra cet enseignement chez les gnostiques, puis chez les templiers et même en Inde. Des clés lui seront fournies, comme celles du fameux « maord-maorc », qui a heurté tant de rosicruciens. Il expérimentera l'enseignement par de passionnantes expériences paranormales ou alchimiques. Et ce n’est que le début : la rencontre du Gardien du Seuil est au programme, et l’étudiant comprendra pourquoi la majorité refoule ce sujet. Parmi les révélations, un mystérieux document déposé par Harvey Spencer Lewis dans une librairie new-yorkaise livrera un mystérieux secret inattendu. Une Monographie du 3e Degré des Néophytes Rosicruciens restera le livre de chevet qui incite à reprendre les Études...

Une Sentence de Sextus

 

Les Buveurs en Ligne

(Si les bloqueurs de publicité le tolèrent)promotion et affiliation

Hymne Rosicrucien de 1916

Let There Be Light

 

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Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. 
Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. 
Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...