13 juin 2025 5 13 /06 /juin /2025 16:15
MLC (24) - Des Reconnaissances d'Âmes

Un hiver, diverses entreprises exposèrent leurs méthodes de gestion des départements, au bénéfice de l’Union Chrétienne des Jeunes Hommes. Thorpe et Martin donnèrent une réunion afin de présenter la gestion de leur bureau.
  

M. Bailey, qui était alors à la tête du bureau, me téléphona pour me demander si je pouvais venir solliciter le public pour une œuvre de charité comme je le faisais habituellement. Je demandai :

  

Pourquoi est-ce à moi précisément que me demandez cela ?

  

Sa réponse fut : Parce que je vous considère comme la personne la plus qualifiée dans ce domaine. Vous abordez  les gens de  telle manière qu’ils ne peuvent rien vous refuser.

  
 
Je cherchais à faire ressentir aux personnes que je sollicitais l’indéniable privilège d’aider une cause noble, en réunissant l’argent et la pauvreté, ou l’argent et le talent.

 

Lorsque la soirée de l’évènement arriva, la scène fut aménagée à la manière d’un bureau. 

 

Quand vint mon tour de demander un entretien, je m’assurai que M. Bailey était disponible et je montai sur la scène.

  

Comme je m’approchais de lui, il m’invita à m’asseoir et me demanda ce que je désirais qu’il fit pour moi. 

 

Je le lui montrai le programme de l’année précédente que je tenais dans ma main, et lui demandai s’il envisageait de le renouveler.

 

Il posa de nombreuses questions sur l’œuvre de charité, et je m’efforçai d’y répondre brièvement, afin de ne pas monopoliser son temps. Il me dit simplement : 
 

Vous faites un travail remarquable – continuez ainsi et envoyez-nous votre facture. 
 

Tout fut organisé avec une telle efficacité que le public crut que cet entretien avait été répété comme une pièce de théâtre.
 

À cette époque, je m’intéressais à de nombreuses jeunes femmes talentueuses. Les gens de la société ouvraient volontiers leurs magnifiques maisons sur Commonwealth Avenue, Beacon Street, etc., et invitaient leurs amis, ce qui me permettait d’organiser de grands rassemblements.
 

Je remaniais ma propre garde-robe pour les jeunes filles ou leur prêtais certains vêtements. Ainsi, nous pûmes envoyer une jeune-fille en Allemagne, une autre à Londres. Une autre monta sur scène et apparut dans de nombreuses opérettes.
 

J’avais trouvé une personne douée pour la lecture qui choisissait toujours des textes empreints de morale. Je la promus.

 

Ou encore, un conférencier allait dans les villes de campagne et donnait des discours utiles et inspirants.

  

J’avais mes entrées partout.

  

Un incident se produisit lors de l'ouverture d’un Opéra qui m’offrit l'opportunité d’assister à toutes les représentations suivantes.

  

Il s’agissait de la première représentation d’ouverture. C’était l’opéra Gioconda avec Madame Nordica dans le rôle principal.

  

Le lendemain, je donnais une grande partie de whist dans la salle de bal de l’Hôtel Somerset, une centaine de tables était à disposition.

  

Tandis que j’attendais le changement de partenaires, je me promenais dans le couloir extérieur. 

 

Bientôt, je vis apparaître Madame Nordica se dirigeant vers une jeune femme qui l’attendait.

  

En approchant de l’entrée de la salle de bal, elle m’aperçut, vint directement vers moi et demanda : Que faites-vous ici ?

  

Elle avait remarqué la salle comble où se pressaient les dames.

  

Je lui expliquai que j’organisais une partie caritative de whist.

  

Elle demanda mon nom, je le lui donnai, ajoutant que j’avais eu le plaisir de l’entendre, la veille au soir et que j’avais beaucoup apprécié la soirée. Elle me dit :  

 

Je donne un thé dans une salle toute proche, à cinq heures, je veux que vous veniez. 

 

Je la remerciai et lui promis de venir.

 

J’assistai donc à cette réception. Elle me présenta à M. Russell, le directeur, ainsi qu’à Alice Neilsen, qui devait être la vedette attitrée de la saison.

 

Elle m’offrit sa loge pour toutes les soirées auxquelles je souhaiterais assister.

  

Nous devînmes de très bonnes amies, et à partir de cet instant, Stanley et moi n’eûmes plus jamais à payer notre entrée à l’opéra.

  

Il en alla de même pour les théâtres et les salles de concert – des billets gratuits me furent toujours envoyés.

  

Je qualifierais cette rencontre avec Madame Nordica de véritable reconnaissance d’âme.

 

Elle m’invita chez elle, sur la rivière Hudson pendant les vacances.

  

Un autre incident survint que je qualifiai également de reconnaissance d’âme.

  

J’éprouvais une grande aisance à rédiger des lettres, lorsque je faisais appel à des organisateurs, qui touchaient généralement le cœur de ceux qui les recevaient.

  

Lors de l’un des rassemblements mis en place dans le but d’aider une jeune fille, Louise Chandler Moulton, une poétesse, vint.

  

Elle s’adressa à la jeune femme de l’accueil :

  

Puis-je rencontrer la personne qui m’a adressé ce courrier ?

  

On me fit appeler. Très rapidement, elle m’apprécia beaucoup et me convia à ses séances de thés du vendredi après-midi où se réunissaient toujours des personnes remarquables.  

 

Je m’y suis rendue à plusieurs reprises et y ai rencontré des hommes et des dames charmants qui m’ont beaucoup aidée dans mes efforts pour promouvoir des lecteurs et des orateurs.

 

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- début des Confidences de Marie-Louise
(à suivre..)

MLC (24) - Des Reconnaissances d'Âmes

Anglais :
My letters touched the hearts of those who received them.

Allemand :
Meine Briefe berührten die Herzen derjenigen, die sie erhielten.

Espagnol :
Mis cartas tocaban el corazón de quienes las recibían.

Italien :
Le mie lettere toccavano il cuore di chi le riceveva.

Portugais :
Minhas cartas tocavam o coração daqueles que as recebiam.

Grec :
Τα γράμματά μου άγγιζαν την καρδιά αυτών που τα λάμβαναν.

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Hymne Rosicrucien 1916

Let There Be Light

 

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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