30 mai 2025 5 30 /05 /mai /2025 19:47
MLC (21) - Tu es trop gentille pour une Américaine!

Bien sûr, ils avaient fait de grands préparatifs pour accueillir cette épouse américaine. Je crois bien qu’ils m’ont tout de suite adoptée et aimée. Ils m’ont surnommée leur Petite Reine parce que je ressemblais à la reine Alexandra. Stanley avait trois sœurs célibataires et un jeune frère de seize ans qui m’adorait. Celui-ci aurait bien volontiers passé tout son temps près de moi, prenant plaisir à me poser mille questions uniquement pour m'entendre prononcer des mots comme Amérique et très ou n’importe quel autre mot contenant la lettre r, tant mon accent du Vermont le fascinait.

 

Naturellement,  lorsqu’ils ont découvert ma garde-robe élaborée, ils me jugèrent très extravagante, mais en voyant combien j'étais habile avec une aiguille et appris que j'avais été élevée pour être pragmatique face à tous les problèmes de la vie, ils reconsidérèrent les choses et changèrent d’avis. 

 

Nous devions visiter des parents à travers tout le Devonshire et la Cornouaille. Nous sommes allés à Penzance, Land's End en Cornouaille où nous avons rendu visite à un oncle et sa famille. Ils étaient fermiers et, pour la première fois, j'ai dormi sous un toit de chaume, ce qui, pour moi était totalement nouveau. 

 

Plymouth Hoe, sur l’océan Atlantique, avec sa plage semblable à celles de Nantasket et Revere était à époque l’un des plus beaux endroits de Plymouth. Nous avons parcouru les landes du Devonshire et vu la prison d’où les prisonniers furent libérés pour se réfugier  ici, pendant la guerre, entre ce pays et l’Angleterre. Une des sœurs fit cette remarque : C’est d’ici que viennent beaucoup de vos virginiens qui se vantent aujourd’hui d’avoir des ancêtres anglais. Un jour, la sœur aînée, qui était complètement sourde, me dit : Louise, tu es trop gentille pour une américaine. Je lui demandai comment elle imaginait les jeunes femmes américaines, et elle me décrivit alors la manière dont elles étaient représentées chez eux : parlant fort et utilisant un langage vulgaire et grossier. En faisant mes recherches, j’ai découvert qu’il s’agissait de personnes originaires de nos États de l’Ouest, alors peu cultivées — moins qu’aujourd’hui — dont les familles avaient accumulé de grandes richesses. Elles s’étaient rendues en Angleterre et, par leur manque de culture, avaient laissé une impression très défavorable. D’ailleurs, nos propres américains de l’Est ressentaient la même impression à leur égard lorsqu’ils se rendaient chez eux. Cela m’a démontré que nous ne devons jamais juger un pays à partir de quelques personnes rencontrées par hasard. Nous sommes restées là-bas trois semaines et avons été fêtés de toutes les manières possibles. La famille est devenue très fière de moi, et tous ceux qu'elle connaissait ont tenu à me rencontrer.

 

Lorsque le moment de rentrer arriva, j’étais tout à fait prête. Les deux mois loin de ma mère, dont je m’étais toujours occupée, avaient été longs.  Peu importe à quel point je redoutais le voyage en mer – j’avais été malade tout le trajet de l’aller – je voulais être sur le chemin du retour.

 

Nous avons débarqué  à New York. Stanley est rentré à Boston, et je suis rentrée chez moi finir d’emballer mes affaires afin de commencer ma nouvelle vie dans cette grande ville de Boston. Je retrouvai ma mère en bonne santé, mais Mme Eastman, la vieille dame qui occupait le logement du haut, était gravement malade et souffrait d’un cancer de la peau. Je n’en avais pas été surprise, car avant mon départ, elle m’avait confié que, lors d’un examen, on lui avait confirmé ce qu’elle craignait : elle ne serait probablement plus en vie à mon retour. Elle m'aimait plus que personne au monde, me disait-elle souvent. Je restai un certain temps pour m’occuper d’elle. Elle était une seconde épouse et n’avait pas d’enfants à elle. Cependant, l’un des fils de son mari veilla sur elle pendant quelque temps, mais il finit par décéder. Avant sa mort, il avait laissé de l’argent à sa femme afin qu’elle s’occupe de sa belle-mère. Celle-ci vivait dans le New Jersey,  je lui fis un courrier lui décrivant l’état dans lequel j’avais trouvé Mme Eastman. Elle vint la chercher – furieuse que la vieille dame n’ait pas été placée à l’hôpital comme elle l’avait ordonné au médecin. Je regrettai de l’avoir faite venir, car Mme Eastman m’avait dit que ce petit logement était l’endroit où elle avait été la plus heureuse et qu’elle espérait y mourir.

 

J’ai dû aider à la transférer à l’hôpital, démanteler son petit foyer et trouver un nouveau locataire avant de pouvoir revenir à Boston. Elle mourut deux semaines après mon arrivée à Boston. 

 

C’est quelque chose que j’ai toujours regretté. Connaissant sa belle-fille comme une femme sans cœur et égoïste, j’aurais dû prendre soin de Mme Eastman et m’assurer que son souhait soit exaucé. Le médecin m’avait assuré qu’elle vivrait encore quelques mois mais elle vécut seulement deux semaines après mon départ. Elle fut retrouvée morte sur le sol au matin lorsque l’infirmière entra. Ma mère, elle aussi, se sentit très affectée de la triste fin de Mme Eastman. Nous l’avions très bien connue avant d’avoir notre maison,  et l’avions ensuite eue comme locataire – toute notre vie était liée à la sienne. Cependant, ces choses doivent arriver et être surmontées.

 

J’ai réussi à trouver un couple sympathique pour occuper l'ancien logement de notre amie mais ils furent obligés de quitter la ville face à de circonstances imprévues. Mon neveu, Arthur Parisian, qui venait de se marier, arriva en ville et vécut avec ma mère jusqu’à ce qu’elle termine le temps de quatre-vingt-onze ans qui lui était imparti.

 

Elle m’a appris que le cœur reste toujours jeune, car elle aimait mon neveu comme une jeune fille aime un garçon, et il l’aimait aussi et contribua à rendre ses derniers jours heureux.
 

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- début des Confidences de Marie-Louise
(à suivre..)

MLC (21) - Tu es trop gentille pour une Américaine!

Anglais :
The heart always remains young.

Allemand :
Das Herz bleibt immer jung.

Espagnol :
El corazón siempre permanece joven.

Italien :
Il cuore resta sempre giovane.

Portugais :
O coração permanece sempre jovem.

Grec :
Η καρδιά μένει πάντα νέα.

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Hymne Rosicrucien 1916

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...