28 mai 2025 3 28 /05 /mai /2025 20:19
MLC (20) - Une Visite au Moulin Rouge

Il existe des livres dans les bibliothèques sur la vie de Ney ; si vous souhaitez réellement les lire, vous les trouverez captivants. Quand on m'a révélé qui j'étais, ces livres me sont parvenus d'une manière mystérieuse.

 

Faisant référence à mes incarnations passées, les Maîtres me conseillèrent de lire la vie du maréchal Ney. Un mois passa, et je n’étais pas encore allée à la bibliothèque à la recherche des ouvrages concernés. Or, un jour, je reçus un livre, écrit par LeGette Blythe, intitulé Marshal Ney: A Dual Life (Maréchal Ney : Une double vie). Le livre m’avait été envoyé par un voisin, professeur de chant.   

 

À l’intérieur se trouvait une note disant : Lorsque vous étiez le maréchal Ney, j’étais le chef de la fanfare de votre régiment. Peu de temps après, un autre livre me fut offert, écrit par J. Edward Smoot, M.D., de Caroline du Nord, intitulé : Marshall Ney, Before and After Execution (Le maréchal Ney, avant et après son exécution). Il me semble que les deux livres figurent dans notre bibliothèque publique.


Le président de l'entreprise où travaillait mon mari lui avait recommandé de ne pas manquer d'aller passer un moment au Moulin Rouge. Alors, un couple que nous avions rencontré lors des Cook’s Tours nous proposa d’aller y dîner. Je n'avais jamais fréquenté de tels endroits, ni même lu quoi que ce soit à propos de leur existence. Ma mère ne m’avait jamais permis, ne serait-ce que de m’asseoir avec un jeune homme sous notre porche le soir. Moi-même, je n’aurais pas voulu être vue marchant ou parlant dans les rues de notre ville avec un jeune homme qui buvait ou dont le caractère était douteux de quelque manière que ce soit. Vous pouvez imaginer à quel point j'ai été choquée en voyant ces femmes à moitié nues danser – hommes et femmes à moitié ivres qui disparaissaient soudainement dans ces petites salles annexes pour un rendez-vous. Mon mari et moi ne sommes pas restés longtemps. Ce fut ma première et dernière apparition dans un cabaret. Mon mari était aussi dégoûté que moi, car il avait été élevé, tout comme moi, dans une maison anglaise. Sa famille était composée de musiciens, et toute la jeune génération avait été éduquée à Cambridge et à Londres, devenant enseignants, pianistes, organistes et chanteurs.


Le jour le plus chaud que j’aie jamais connu fut à Paris, le 30 septembre 1895. Ce jour-là, l’on aurait pu faire frire des œufs sur les trottoirs de Paris. Nous sommes restés à notre hôtel toute la journée et, le soir, nous sommes allés à l’Opéra pour entendre Faust.


Une autre chose qui me heurta fut notre premier petit-déjeuner. Je n’avais aucune idée de combien d’argent disposait mon mari. Je ne m’étais pas mariée pour l’argent, comme le font les filles de nos jours, et devant ces mets si copieux je commençais à me demander s’il aurait suffisamment d’argent avec lui pour couvrir toutes ces dépenses. Cependant, j’appréciais tout cela, et sachant que Stanley était un homme pratique, je lui laissais cette responsabilité.


Depuis Paris, en passant par Calais, nous avons traversé la Manche pour rejoindre Londres où nous sommes restés une semaine. Nous sommes allés à l’opéra à Covent Garden, avons visité le musée d’art et pu admirer des tableaux de Rubens, lesquels m’étaient devenus familiers après en avoir lu des descriptions.

 

Je me souvins que dans un de ses ouvrages, Ruskin disait qu’il avait passé les dix meilleures années de sa vie à essayer de faire connaître William Turner, sans y parvenir. En lisant Ruskin je m’étais demandé si j’aurais un jour l’occasion de voir les tableaux de Turner mentionnées dans ce livre. En les contemplant, mes pensées me ramenèrent à ces jours-là, et je me dis : Mes rêves sont devenus réalité. L’énergie suit la pensée – l’énergie suit la volonté – l’énergie suit l’amour – et avec l’amour, tout est possible.


À Londres, bien sûr, nous avons visité tous les principaux sites. Nous sommes allés à Buckingham Palace pour voir la relève de la garde, qui est toujours un spectacle à ne pas manquer. Les gardes avec leurs manteaux rouges, leurs galons dorés et leurs grands chapeaux en fourrure noire formaient un tableau inoubliable.

 

Nous avons fait de nombreuses croisières sur la Tamise, visité Hampton Court Palace et le château de Windsor. Nous avons vu les figures de cire de Madame Tussaud.


De là, nous sommes allés à Southampton pour reprendre les malles que nous y avions laissées, mais également pour rendre visite aux oncles de mon mari. J’ai rencontré là deux grands-parents magnifiques avec une famille de douze enfants. La plupart étaient mariés, mais ils s’étaient réunis pour voir l’épouse américaine de Stanley. Ils parlaient l’un des nombreux dialectes anglais auxquels il faut s’habituer si l’on veut comprendre tout ce qui se dit.


Nous sommes restés là quelques jours, et ils m'ont beaucoup gâtée et ont semblé m'apprécier. Nous sommes ensuite allés à Plymouth pour rencontrer les parents de mon mari. Nous nous sommes arrêtés en chemin pour voir les grandes cathédrales. A l’approche de Plymouth, j'ai dit à Stanley : Je me demande si vos parents m'aimeront. Sa réponse fut : Ils ne pourront pas s'en empêcher. J'ai dit : Il en sera de même pour moi, car je ne peux faire autrement moi non plus.


Je n’ai jamais été du genre à me considérer autrement que ce que je voulais être. J’étais naturelle. J’écoutais et observais beaucoup, mais je n’étais jamais une grande bavarde. Je savais depuis mon plus jeune âge, que je ne devais pas m’engager dans une conversation dont je ne savais rien, de peur de révéler mon ignorance.

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(à suivre...)
- début des Confidences de Marie-Louise

MLC (20) - Une Visite au Moulin Rouge

Anglais :
With love, everything is possible.

Allemand :
Mit Liebe ist alles möglich.

Espagnol :
Con amor, todo es posible.

Italien :
Con l'amore, tutto è possibile.

Portugais :
Com amor, tudo é possível.

Grec :
Με την αγάπη, όλα είναι δυνατά.

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Hymne Rosicrucien 1916

Let There Be Light

 

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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