Coucou, ah non on dit pas coucou...<br /> Le manque de détail sur les ingrédients me semblait normal puisque l'expérience est faite devant un profane (le journaliste), et que le texte, ici reproduit, pourrait être lu par grand nombre de non initiés, donc il est me semble-t-il normale de ne pas avoir trop de détails, mais une description assez détaillée pour attiser la curiosité ou le désir de chercher et trouver, un alchimiste. Mais un Rosicrucien n'est pas dans l'alchimie opérative, mais spirituelle symboliser par une croix en or avec en son centre une rose (rouge de préférence)<br /> A-t-on identifié de Maître en question? l'expérience qu'il mène, telle qu'elle est décrite, ne ressemble pas à une expérience alchimique, me semble-t-il, ca manque de feu et d'eau. Les pétales de roses, même cueillies le matin de bonne heure, gorgées de rosée seraient vite racornies au contact du feu.<br /> La question que je me pose est grave, pourquoi prendre le risque de laisser entrevoir qu'un Rosicrucien peut être un charlatan? Car même si le métal présenté en fin d'expérience est bien de l'or cela ne peut empêcher de penser à un tour de passe-passe. Ce qui est assez accrédité par 2 choses, 1/ la présence des marques ayant résisté à la chaleur du feu (comme les cartes signées par un spectateur choisi par le prestidigitateur) 2/ Le Maître qui farfouille avec ses doigts dans le feu sans dommage.<br /> Mise à part une allégorie je ne vois pas l'intérêt de ce texte.<br /> Très cher Bistrotier, J'en suis là de ma réflexion.<br /> Très amicalement<br /> Jean Pierre.

Bonsoir Bistrotier,<br /> Je me demande ce qui m'étonne le plus. Est-ce le fait que le Maître ne se brule pas les doigts?<br /> Est-ce que l'or soit fabriqué ou atteint? ou que les marques laissés par les témoins soient toujours visibles après la transmutation? (Transmuter, transiter être diffèrent mais toujours le même..)