Les êtres avancés se trouvent toujours avoir purifié d'une manière ou d'une autre leurs centres psychiques supérieurs, que l'on nomme dans la tradition indienne Ajna chakra et Sahasrara chakra.

Dans le rosicrucianisme lewissien, pour ne pas égarer les étudiants, il est peu parlé de chakras puisqu'ils sont généralement liés à de nombreuses croyances et superstitions orientales, mais plutôt des plexus (nerveux ou sanguins), et des glandes du corps physique qui ont naturellement leurs correspondances dans le corps psychique...

L'attention est particulièrement attirée sur l'épiphyse (la glande pinéale) que l'on visusalise d'une manière générale au centre du cerveau et l'hypophyse (glande pituitaire) qui est juste au dessus du palais.

Ces deux centres sont importants car il permettent le bon fonctionnement de la conscience extérieure et de la conscience intérieure.

De leur purification permet l'accés à ce que l'on a nommé au cours des âges le "royaume de dieu au dedans de nous", le "siège de l'âme" ou encore la "chambre haute"... 

Il est important d'intégrer ces travaux de concentration et de purification dans le cadre d'un exercice rosicrucien rigoureux avec le seul but de purifier ces centres, par exemple à la façon de la "Douche d'Alhenaton", et sans attachement à la moindre spéculation, désir de pouvoir ou croyance qui pourraient se retrouver davantage ancrées en nous par un processus d'autoconditionnement.

Voici un autre exercice simple et agréable. Il consiste à obtenir ce que les japonais nomment quelque chose comme "youshi-youshi", c'est le "regard de la chance"...

Youshi en japonais :  (吉)  signifie "Bonté", "Chance", "bonne augure", "libre", "meilleur". 

Et les japonais ont un nom particulier pour un "regard élevé" qui est très proche du mot précédent, c'est "gyoushi" (仰視)...

L'exercice proposé consiste à modifier notre regard, dans notre vie de tous les jours, afin de le rendre plus bienveillant, et moins dérangeant, plus positif et axé sur ce qui est élevé chez l'autre.

Nous pourrions ressentir dans ce Youshi, les bases inspirantes d'une méthode de "soin par le regard"...

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Pour quelques concordances instructives sur le même thème, voir aussi: "la magie de la Connaissance" , "Voyez vous le signe" ou encore "le danger du travail sur la glande pinéale".

Le trèfle à 4 feuilles dans un œil provient de l'Eglise Saint Quantin de Rançanne en Charente-Maritime.

Si l'on commence à se poser la question de savoir comment l'on peut améliorer son "ki", c'est que notre chasse au "yaki" a commencé!

Le "yaki", c'est le mauvais "ki"... En japonais le "yaki", c'est le froid de la nuit. On imagine que le "yaki" s'en prend à notre vitalité... Dans un gâteau, le "yaki" c'est ce qui est brûlé... On se souvient que l'odeur du riz chaud avait sa place dans le « ki », et bien le "yaki" c'est plutôt l'odeur de ce qui s'est laissé attraper au fond de la casserole!

Donc, le "yaki", le mauvais "ki", c'est celui dont il faut parvenir à se débarrasser pour mieux vivre!

Nos pensées influencent notre "ki" et le "yaki" nous ronge et attire les souffrances du mal-être. Cette prise de conscience du "yaki" incite à un effort à accomplir sur notre " ki" en utilisant différemment notre pensée créatrice, en entretenant une attitude positive dans toutes les circonstances, en vivant davantage l'instant présent plutôt que de ressasser des problématiques du passé ou de spéculer sur des projections illusoires de l'avenir. Ainsi notre "ki" participe aux évènements positifs de notre vie, il devient plus clair, plus subtil, plus lumineux, plus pénétrant...