Si l'on commence à se poser la question de savoir comment l'on peut améliorer son "ki", c'est que notre chasse au "yaki" a commencé!
Le "yaki", c'est le mauvais "ki"... En japonais le "yaki", c'est le froid de la nuit. On imagine que le "yaki" s'en prend à notre vitalité... Dans un gâteau, le "yaki" c'est ce qui est brûlé... On se souvient que l'odeur du riz chaud avait sa place dans le « ki », et bien le "yaki" c'est plutôt l'odeur de ce qui s'est laissé attraper au fond de la casserole!
Donc, le "yaki", le mauvais "ki", c'est celui dont il faut parvenir à se débarrasser pour mieux vivre!
Nos pensées influencent notre "ki" et le "yaki" nous ronge et attire les souffrances du mal-être. Cette prise de conscience du "yaki" incite à un effort à accomplir sur notre " ki" en utilisant différemment notre pensée créatrice, en entretenant une attitude positive dans toutes les circonstances, en vivant davantage l'instant présent plutôt que de ressasser des problématiques du passé ou de spéculer sur des projections illusoires de l'avenir. Ainsi notre "ki" participe aux évènements positifs de notre vie, il devient plus clair, plus subtil, plus lumineux, plus pénétrant...