Il existe des égrégores familiaux, religieux, sociaux, nationaux..., et depuis leur tendre enfance les êtres humains sont soumis à ces forces à la fois emprisonnantes et protectrices.
Ce n'est naturellement pas dramatique car l'être qui évolue peut toujours apprendre à se libérer des égrégores. La question qui est posée est de savoir si un bébé accepte systématiquement cette intégration psychique et ses sollicitations continuelles ou s'il est parfois capable de se tenir à l'écart...
Difficile de répondre...
Naturellement, la premiere remarque que l'on entend à ce sujet dans les milieux rosicruciens est: "l'enfant a choisi, ses parents, sa famille, son lieu de naissance, son nom... ce n'est pas par hasard s'il est, dès son plus jeune âge, intégré à un égrégore... Par exemple un enfant chrétien est baptisé, c'est une intégration à l'égrégore des chrétiens..."
Mais que ce passe t-il si nous avons à faire à un être qui refuse l'intégration à l'égrégore et qui dispose de pouvoirs psychique permettant d'agir?
Une réponse peut se trouver dans le célèbre baptême d'Helena Blavatsky en 1831...
L'enfant était prématuré et chétif, et la famille voulut la faire baptiser rapidement. Comme elle était russe, ce fut naturellement une cérémonie orthodoxe. Tous les assistants étaient porteurs de cierges, (comme sur la photo de ce baptême orthodoxe ci-dessus, empruntée à ce blog) mais le cierge d'une petite fille enflamma la robe du pope et le feu se propagea même aux vêtements des personnes qui voulaient l'éteindre... Finalement le pope fut sauvé de justesse!
Naturellement tous les participants à la cérémonie prédirent au bébé une vie à venir des plus agitées...