1 avril 2011 5 01 /04 /avril /2011 10:14

transmission-lewis.jpg

 

Le Premier Avril se fête depuis qu'en 1564 le roi Charles IX décida que l'année commencerait désormais le premier janvier au lieu de la fêter en avril avec l'arrivée du printemps. Mais les traditions ont la vie dure et l'on a continué à s'offrir des cadeaux qui au fil du temps sont devenus des blagues.

 

Ce tableau de Harvey Spencer Lewis évoque la transmission... Mais il y a un hic... Un détail énorme invisible et incroyable qui piège discrètement les néophytes rosicruciens et les autres... depuis près d'un siècle. C'est le cadeau du bistrot et de Spencer Lewis pour le premier avril...

(à suivre)

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commentaires

F
<br /> <br /> Bonsoir Frater Charles, toutes et tous,<br /> <br /> <br /> Je ne sais pas si l'idée de considérer Lewis comme un peintre amateur est recevable!<br /> <br /> <br /> Je n'y crois pas trop. Ce que je sais c'est qu'il sait très bien jouer avec la maladresse de l'amateur pour cacher des astuces symboliques ou ésotériques.<br /> <br /> <br /> Je pense que c'est comme en musique, il faut être déjà très bon pour faire correctement semblant de jouer faux! <br /> <br /> <br /> Les tentures rouges, je pense qu'il y a une idée de théâtre et que le vieux bonhomme joue au maître alors qu'il ne l'est pas...<br /> <br /> <br /> La dominante rouge exprime à mon sens un matérialisme basique dont le vieux ne s'est pas débarassé, prisonier qu'il est de ses rouleaux et de ses problèmes sexuels.<br /> <br /> <br /> J'ajouterais que la maitrise de la construction du temple n'est pas la maîtrise tout court, mais à la rigueur une étape préliminaire.<br /> <br /> <br /> J'ignore totalement ce que sont les degrés rouges, sinon qu'ils sont commémoratifs ce qui corrobore l'idée du théatre. Je suis convaincu que tout cela ne va pas plus loin que les degrés<br /> néophytes, qui sont au mieux une antichambre. Le temple proprement dit est au delà. L'idée qu'il y ait une fenètre ne montre t-elle pas fondamentalement que la lumière est extérieure?<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Bonsoir F.°.<br /> <br /> <br /> D'accord mais si nous étions à l'extérieur du temple, alors pourquoi les tentures rouges (ternes parce que la peinture a vieilli et l'huile siccative a rançii) seraient là ? Les tentures dans le<br /> temple antique sont à l'intérieur ; elles délimitaient, surtout dans cette configuration maçonnique déguisée sur laquelle HSL place son symbole rosicrucien en filigrane sur la scène proprement<br /> dite et les Frères s'y retrouveront quand on sait que  les fenêtres maçonniques sont fictivement symboliques dans une loge.  Lewis saupoudre la maçonnerie d'une éventuelle aïeule plus<br /> egyptienne.....<br /> <br /> <br /> Une fenêtre en rouleau ? Pourquoi pas : elles furent même en papier.... roulée dans certaines  tenues de loges épisodiques pour ne pas dire clandestines par crainte des locations de locaux<br /> récurrentes et déménagements ou plus tard devant la crainte entretenue par les  ayatollahs religieux ou vichistes d'une certaine époque : souvent de 1870 à 1939 les décorums furent en<br /> papier., matériau qui brûlait vitement ou qui se mangeait, he oui !!!! ! <br /> <br /> <br /> Mais ici la fenêtre n'est pas en rouleau. ce que l'on croît être le trait de la profondeur du rouleau n'est en fait que le segment permettant la légère perspective. Lewis ne fut qu'un peintre<br /> amateur donc tout de même en deça des professionnelles eu égard sa sensibilité. Il ne possédait pas le même métier et encore moins le temps du pro. Voilà peut-être pourquoi la bras du sage semble<br /> aussi maladroit....<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> @Charles<br /> <br /> <br /> Concernant le signe rosicrucien. Effectivement, moi aussi, j'avais d'abord cru que le triangle était important, et la découverte de la courbure du mouvement fut une surprise, tout comme le<br /> nom du symbole: "signe de croix rosicrucien".<br /> <br /> <br /> Comme tous les symboles, derrière la précision exigée, se cache l'important: l'intention. Comprendre par exemple que la croix entraine la rose qui, elle, ne se dessine pas. ce serait évidemment<br /> déviant!<br /> <br /> <br /> A mon sens, la courbure des gestes collatéraux montre qu'ils n'ont aucune signification. Cela va dans le même sens que l'adage rosicrucien qui veut que dans un temple on se déplace à angle droit.<br /> Et ce qui n'est pas droit n'a pas lieu d'être!<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Merci Charles!<br /> <br /> <br /> Ok pour le vieillard d'Altona. Effectivement!<br /> <br /> <br /> Au passage la tête du vieillard se retrouve sur la colonne au niveau du haut de la fenêtre. (message, montrant l'attachement du vieillard à la colonne?)<br /> <br /> <br /> Pour ma part, un détail me met mal à l'aise c'est le manque de respect qui fait tenir le jeune de son bras gauche... <br /> <br /> <br /> La présence de colonne montre à mon sens qu'on est encore au niveau de la dualité des colonnades. Une salle hypostyle; mais pas dans le naos... On est au niveau de la construction extérieure du<br /> temple... <br /> <br /> <br /> Le rouge reste très terrien et encore néophyte... Le jeune en blanc par opposition me paraît plus avancé que le vieillard dans ses rouleaux phalliques (même la fenetre est un rouleau...) il n'a<br /> pas blanchi Latone...<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement <br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> En réponse à notre ami FM :<br /> <br /> <br /> L'icône du XVII ème siècle : Edition Altona - symboles secrets rosicruciens. page une.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Chers tous, <br /> <br /> <br /> Je reviens sur ce tableau car il y a un "truc" qui me turlupine depuis deux soirées.<br /> <br /> <br /> Plantons le décor : vous connaissez le symbole rosicrucien qui est décrit dans sa gestuelle au tout début des années 50 dans le cadre de la première monographie<br /> du degré "néophyte" lors du Premier Portail. Entendons-nous bien : il est décrit comme un geste infiniment précis à faire, face à l'Est mais l'Odre en question ne révèle jamais sa nature<br /> vibratoire ni son point de vue symbolique. En résumé, les membres le pratiquèrent qu'avec peu d'explications quant à sa contre partie psychique (ou en lien avec l'Univers divin).<br /> <br /> <br /> Souvenons-nous précisément de cette construction triangulaire avec le devoir ( et c'était souligné comme très important) de faire les côtés du triangle<br /> légèrement incurvés, pour ne pas dire convexes, légèrement courbes pour les côtés hauts du triangle. Depuis toutes ces années, jamais personne n'a répondu à mon interrogation devant ce geste qui<br /> fut d'une telle obligation importante, qu'il fut   mentionné tant dans le croquis du Manuel Rosicrucien (rouge et or) que repris par les Maîtres de Loge lorsque des F et S ne respectaient<br /> pas les légères courbes en question. Pourquoi devoir faire absolument ces deux côtés courbes et souples alors qu'un triangle équilatéral n'est que trois segments parfaitement droits et<br /> rectilignes ? Serait-ce vraiment un triangle édifiant une croix  ou deux sphères se mariant par l'arc de cercle du bas ?<br /> <br /> <br /> Observons de nouveau ce tableau : si l'on part de la colonne centrale délicatement déplacée sur la gauche pour des raisons de constructions esthétiques de<br /> l'ensemble en commençant par la ligne de gauche, au niveau de la mèche  tombant sur la mâchoire du vieux sage pour monter vers la colonne et redescendre par le tombé du rideau de gauche,<br /> légèrement incurvé puis ensuite allant à l'opposé par les épaules du sage, de son bras en lien avec les épaules du jeune pour encore remonter par le tombé droit du rideau plus discret sur la<br /> droite et enfin redescendre à la verticale de la colonne (partie de droite) plus longue amenant à hauteur des plexus solaire ou plus bas le  hara, eh bien nous avons le signe rosicrucien<br /> !... descendant même si l'on prend la ligne des parchemins, jusqu'au pubis du vieux  ! (d'ailleurs sa main droite possède étrangement l'index des représentations chez Michel-Ange comme je le<br /> soulignais avant hier mais surtout cette position des doigts rappellent forcément celle des doigts traçant le signe...)<br /> <br /> <br /> A vous lire !<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Merci Frater Charles pour cette longue analyse.<br /> <br /> <br /> Pourrais tu donner la référence ou un lien pour cette "célèbre icône de manuscrits du 17ème siècle"?<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement <br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Bonsoir Tous, <br /> <br /> <br /> Nous sommes dans les degrés rouges, à comprendre, degré supérieur quand le cœur a dépassé ses passions mauvaises. La fenêtre aux vitraux losanges est en bleue<br /> donc les premières salles sont passées et vues partiellement. Ces losanges incitent à manipuler le compas et l'équerre avec savoir.les outils ont été remis à l'initié. Et cette fenêtre est l'une<br /> des trois fenêtres des loges terrestres maçonniques mais surtout la fenêtre de la cellule du 11 ème Ddt que HSL précise au tout début. La fenêtre qui vise vers la Terre de l'Ouest d'où vient la<br /> Plus Grande Lumière. Devant la fenêtre monte la colonne de gauche surmontée de la poutre fermière qui dessine un portail : nous sommes à l'intérieur d'un sacntum ! Cette colonne est donc celle de<br /> droite pour un impétrant, celle de J ou de B suivant le rite. A tel point que nous sommes dans le temple c'est que vu sous l'angle de Dieu donc de haut l'axe entre colonne et la poutre fermière<br /> dessine la lettre J dans l'alphabet atlantéen selon Lewis ; un J à l'envers comme vu depuis le ciel et comme le peignaient les artistes initiés dès le moyen-âge. C'est aussi l'équerre pectoral du<br /> vénérable, le Gama grec signifiant l'accomplissement de la Maîtrise donc de la transmission possible au zélateur. remarquons le bras gauche du vieux sage qui forme aussi une équerre posée sur la<br /> droite de l'action  (épaule sous forme ronde du compas) du jeune éphèbe héllénisant. Et la référence à Delphes n'est pas loin ; nous en reparlerons plus tard. Ce sage reçoit (la gauche<br /> chamanique) le don divin (jeunesse et atemporalité, voire androgynat donc assexué) la Connaissance. Sa lampe (rouge pour les adeptes de la véritable loge, cette lumière postée derrière la<br /> Vestale, colombe blanche assexuée, de la tenue de loge qu'on ne devrait  JAMAIS VOIR éteinte !!!!! La lumière du sabbat juif pour la mode contemporaine ou du saint sacrement pour les<br /> chrétiens, la lumière de la Tradition comme il est expliqué au néophyte étant reçu dans le saint collège lors de son initiation première). Cela n'arrive qu'une seule fois dans la vie consciente.<br /> Ne l'oublions pas ! Le sage questionne tout en recevant et le Verbe éclairé mais sans donner l'elixir de la cruche. Le verbe est le fruit de ce nuage d'où apparaît le Maître Inconnu véritable qui<br /> ne regarde que  par le biais de son serviteur non pas d'un regard froid mais d'un oeil d'Horus, propre à la shinge de la Grèce après l'héritage de l'Egypte et surtout de Delphes. Les<br /> parchemins survolent l'arche d'alliance, les archives akashiques au portail Est de Jérusalem : 3 reliés+1 légèrement à l'écart+1 sur le genou entre-ouvert pour approbation après question posée au<br /> cosmique toujours jeune et pur. Tout est cosmique, spiral et ascension dans le rideau qui monte telle une fumée d'encens ou bien comme la montée du pélerinnage entre le temple d'athéna jusqu'à<br /> Apollon tout en haut jsute avant le cirque des jeux des dieux à Delphes. Il ne manque sur la repro que le vert olive mais je suis prêt à parier qu'il serait visible sur l'original. observons<br /> l'index du vieux sage qui est le droit de la transmission repris par Michel-Ange au plafond de la sixtine ou dans son Moïse en marbre blanc sur le tombeau de Jules II. D'ailleurs ne serait-ce pas<br /> MoIse avec ses cornes symboliques blanches sous les cheveux en brousaille au centre du temple recevant la Tradition de l'Energie sans nom. Son accoudoir gauche prend la couleur du jeune et celui<br /> de droite prend la couleur de la terre. Si nous lisons attentivement la lumière, il y a plusieurs sources d'éclairage comme chez quentin de la Tour, une de transmission puis une autre<br /> d'accomplissement et enfin une venue d'aucune source : triade lumineuse. Trinité et heptade : les rideaux en demi ton, forment à nouveau un compas et le reste du bas (torse du vieux, cuisses et<br /> lumière sur le jeune) une équerre géante au centre desquels surgit l'orifice de la lampe à huile. Noir, blanc, rouge avec pour fond l'azur bleu de la région secrète d'une montagne inconnue. HSL a<br /> peint cela en s'aidant d'une célèbre icône des manuscrits du 17 ème siècle et qu'il a repris pour nombre de tableaux différents, icône étant le secret du 11 ème clef de voûte de la vie terrestre,<br /> couleur rouge initiée.<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement,<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Bonsoir Frater,<br /> <br /> <br /> Heindel? Max? Il me fait l'effet d'un gros gachis. Il avait des potentialité et il est passé à côté de la résurgence rosicrucienne qui avait lieu au même moment. Un peu coincé, un peu fanatique,<br /> malgré tous les efforts de Lewis, il a lancé sa petite affaire en se raccrochant à ce qu'il comprenait de la résurgence du 14ème siècle... J'ai eu l'occasion de voir des anciens de son<br /> mouvement, je m'attendais à trouver des rosicruciens et ils n'étaient pas encore des néophytes.  Ce n'est bien sûr que mon avis. Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Bonsoir,<br /> <br /> <br /> rien à dire , juste vous saluer, fraternellement, après avoir déboulé sans essuyer les pieds.<br /> <br /> <br /> Pour moi, une vieille histoire frottée à l'hermétisme.<br /> <br /> <br /> Alchimie et Guénon pour commencer.<br /> <br /> <br /> Une rencontre magique avec J Bergier, puis Borges.<br /> <br /> <br /> On ne peut effacer des traces.<br /> <br /> <br /> Par ailleur une longue complicité avec l'oeuvre du peintre et sa variante néerlandaise. Heindel n'est pas ininteressant.<br /> <br /> <br /> Un peu lointain ,jamais séparé.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Céladon.<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Merci de ce partage Frater sur les traces d'Omar Khayam à qui l'on attribue l'origine du croisement des roses.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> J'ai croisé les roses il y a près de trente cinq ans, d'autres choses aussi, moins plaisantes.<br /> <br /> <br /> C'est amusant, mon grand père croisait des fleurs dans son jardin,il m'en reste un rosier, superbe, mais unique.<br /> <br /> <br /> Comme il n'a pas de nom, je lu iai donné celui de ma grand mère,Sidonie.<br /> <br /> <br /> Faut dire, coté marketting, ce n'était pas le top<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ma démarche hermétique était engagée depuis un certain temps.<br /> <br /> <br /> A l'entrée du jardin, ils sont morts, le rosier blanc, le rosier rouge<br /> <br /> <br /> Reste un jaune..<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Bonjour à toutes et tous,<br /> <br /> <br /> Merci Celadon pour ta contribution.<br /> <br /> <br /> Il  faut reconsidérer les choses... Si Lewis voulait que les rouleaux soient hébreux, il se serait fait un plaisir de placer par exemple une étoile de David quelque<br /> part... S'il ne l'a pas fait, ce n'est pas hébreux. Point barre! lol<br /> <br /> <br /> En l'absence d'indications il a placé une problématique universelle! c'est celle-là qu'il faut chercher!<br /> <br /> <br /> Autre chose: Lewis n'a pa réalisé 2 tableaux mais seulemet un seul. Il est certainement dans une collection particulière (Lewis raconte qu'il n'en avait conservé que 3 de tous ses tableaux).<br /> L'Amorc de Ralph Lewis présente une image dans un sens, je pense que c'est une erreur et que le ableau original est peint dans l'autre... La version un peu plus rouge montre à mon<br /> avis que Raymond Bernard avait compris au moins un peu plus du message de Spencer Lewis que Ralph Lewis et en tout cas certains détails symbolique au point de juger bon de rectifier le<br /> sens du tableau en accentuant probablement les rouges pour faire un signe... (qui n'est pas l'œuvre au rouge! lol) <br /> <br /> <br /> Certains détails symboliques doivent rendre cela évident. Bien sur il est d'usage de placer le maître à droite. Lewis ne le fait pas parce qu'il pense que le vieux au manteau rouge n'est pas<br /> un maître... C'est une partie du message à décoder!<br /> <br /> <br /> Pour "Christus Rosae Crucis", c'est CRC. C'est une clef... La tradition n'a jamais écrit CRK. La durée de 120 ans concene une prophétie concernant la résurgence du 17ème siècle ("post 120<br /> annos patebo"). Cela concerne cette résurgence, pas forcément toutes! Et chaque fois qu'un vieux transmet quelque chose à un jeune ce n'est pas une résurgence!<br /> <br /> <br /> L'oeuvre au noir n'a pas grandchose à voir avec le tableau, sinon bien sûr le fait qu'il faut savoir se débarasser de "certaines choses", ce que le vieux n'a visiblement pas encore fait! Et<br /> pour avoir l'envergure d'un ouvreur de résurgence R+C, il serait bon d'avoir passé l'œuvre au noir depuis longtemps... si on ne veut pas jouer au vieux au manteau rouge!<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> J'aime les hasards improbables,<br /> <br /> <br /> travaillant sur un de mes blogs, j'ai besoin d'une info pour une plante.<br /> <br /> <br /> Passage à la bibliothèque des reférences, bizarre, un espace un peu vide, alors que les livres rentrent au maillet.<br /> <br /> <br /> L'absent, Formulaire de Haute Magie de Piobb<br /> <br /> <br /> Renseignement pris, c'est mon fils qui le détient.<br /> <br /> <br /> La suite est en route.<br /> <br /> <br /> Juste une question, où est l'accueil, Ellis Island ou autre?<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Le "bistrot" est tout à fait Ellis Island! C'est à l'est... et c'est à chacun de ressentir où il est. Bienvenue au bistrot. Bien fratrnellement.<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> <br /> Autre qu' hébreux, je vois mal, vu le contexte orientaliste, de même que la relation du peintre avec ses colonnes.<br /> <br /> <br /> On ne peut que penser à l'absence de l'autre, il faut imaginer la partie manquante du tableau.<br /> <br /> <br /> Pour la durée, c'est la révélation de Kristian R+K après sa mort, l'Oeuvre au Noir sous ententue par l'assemblage des deux versions du tableau.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> @ Celadon,<br /> <br /> <br /> Merci pour ton message. Les connaissances ne constituent un handicap que dans la mesure ou elles tuent la spontanéité du ressenti intérieur le plus profond. Mais si elles interviennent d'une<br /> manière impérialiste en présumant d'amblée ce que l'on peut voir ou non c'est un lourd handicap... Il fautblanchir Latone! http://www.lebistrotdelarosecroix.com/article-brule-tes-livrs-61676958.html<br /> <br /> <br /> Les rouleaux peuvent être hébreux, mais ils peuvent être aussi tibétains, chinois, egyptiens, européens... Sauf erreur, ils sont otalement neutres.<br /> <br /> <br /> Par exemple, pourquoi 120 ans? Où y a t-il dans le tableau une indictaion qui mentionnerait 120 ans?  <br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Je me positionne juste dans le contexte du tableau.<br /> <br /> <br /> Et des eléments qui y sont attachés.<br /> <br /> <br /> Connaître la Kabale, l'alchimie ,est un plus pour l'ouverture après cent vingt ans.<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> @Celadon<br /> <br /> <br /> Moi je veux bien, mais c'est toujours un handicap de charger son cheminement rosicrucien avec d'autres traditions... car les erreurs ne s'ajoutent pas, elles se multiplient.  Par exemple on<br /> peut dire qu'une partie de l'héritage rosicrucien se retrouve dans la kabbale, mais en conclure que la Rose+Croix est kabbalistique est une déviance... les erreurs de ce type sont<br /> évidemment légion.<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Ils sont tout de même les piliers du temple.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Aller vers la lumière oblige à les dépasser.<br /> <br /> <br /> Les laisser.<br /> <br /> <br /> Y laisser un tephilim.<br /> <br /> <br /> Dedans un nom.<br /> <br /> <br /> Dans le nom, une lumière.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Manque un "L" (une aile) ) à phallique... Tout un symbole!<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Les rouleaux pour "garder le verbe", c'est de l'illusion complète... Le verbe peut être raconté, décrit, on peut tenter de le détourner, mais pas de l'enfermer dans des rouleaux... Même si ces<br /> rouleaux sont des symboles phaliques qui permettent de jeter sur la scène un regard particulier...<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Qui utilise encore des rouleaux pour garder le Verbe?<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Sous un certain angle l'aiguière est une tête d'âne. L'âne d'or d'Apulée...<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Le vieux sage est un peu vieux pour suggérer le manteau rouge de Gaïta, mort à 36 ans...  Mais il semble bien que ce soit effectivement cette mouvance qui soit caricaturée, bien que la scène<br /> me semble totalement intemporelle.<br /> <br /> <br /> Il faut une sacrée dose de volonté pour penser que les rouleaux sont en hébreu... Y a t-il un seul détail objectif pour crédibiliser cette idée?<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Donc, plein d'indices qui nous orientent vers Eliphas ou Stanislas.<br /> <br /> <br /> Mais nous restons dans les arcanes avec Gérard.<br /> <br /> <br /> Petit détail amusant, le chateau d'Alteville, vous connaissez ce nom, accueille des hôtes.<br /> <br /> <br /> Quand je l'ai connu, je faisais du repérage aérien sur le site voisin.<br /> <br /> <br /> C'était alors hors de prix, complet et robe de soirée obligatoire, un merveilleux souvenir.<br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Il me semble que l'original est l'Autre,<br /> <br /> <br /> C'est alors la main droite sur l'épaule de l'enfant, plus acceptable.<br /> <br /> <br /> Comme on peut penser que les rouleaux sont en hébreux, il faut retourner le sens de lecture et effectivement inverser le tableau.<br /> <br /> <br /> La recherche du livre perdu en est grandement aidée.<br /> <br /> <br /> Sauf que l'on retrouve devant un cryptogramme, sa clé est dans l'absente de l'oeuvre. Absente, pas invisible.<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> @Celadon<br /> <br /> <br /> Oui trouver la vraie lumière qui n'est pas forcément dans les livres...<br /> <br /> <br /> Bravo pour avoir soulevé le sujet de l'inversion du tableau! C'est un sujet à développer... Quelle est la bonne version de l'œuvre?  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Vu l'auteur, il y a beaucoup de choses à lire.<br /> <br /> <br /> Une constante dans ses oeuvres, la lumière n'est pas celle que l'on croit, et certains objets ne sont qu'illusion. Il faut chercher le vrai licre caché.<br /> <br /> <br /> Juste une question, pourquoi avoir retourné le tableau?<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> <br /> Comme le peintre est Spencer Lewis on peut chercher à tourner le tableau dans tout les sens pour trouver une astuce... Mais c'est sans doute une fausse piste, il y a autre chose à voir!<br /> <br /> <br /> La dominante de l'ocre rouge est plaisante mais un peu exagérée... On sent que le vieux sage vit dans son petit theâtre. L'ombre du jeune est impressionnante et elle donne la sensation de<br /> permettre à certaines "présences" de s'exprimer.<br /> <br /> <br /> La manière dont le vieux sage pose sa main gauche sur l'épaule du jeune a quelque chose de dérangeant...<br /> <br /> <br /> <br />
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Nos Enseignements Rosicruciens

Le Bistrot de la Rose+Croix propose un continuum de 6 ouvrages couvrant correctement le début de l'Enseignement Rosicrucien. <cliquer ici>

Les Trésors De La Cave...

Le Carrousel des Livres

Image 1
Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens.
Image 2
Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme.
Image 3
Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun.
Image 4
Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer.
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Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale sentait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.
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Conformément à la volonté de Profundis (Harvey Spencer Lewis), le Bistrot a mis, en circulation gratuite, le pdf de la traduction française du texte de 1918 de Symbolisme Mystique dans les Confraternités Ancestrales. L'édition papier comporte en parallèle la version américaine initiale et la version française. Le lecteur peut ainsi vérifier certains points de celle-ci. Mais il s'ajoute le descriptif de toute la quête autour du document qui permettra au lecteur de se familiariser avec l'approche ésotérique du sujet qui fait songer à la fameuse recherche du livre de Toth... - Pourquoi le document a t-il disparu pour réapparaitre sous une forme encyclopédique commercialisée 26 ans plus tard?
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L'ouvrage révèle des secrets généralement oubliés de ce degré si incompris. Partant de la Double Couronne égyptienne qui est davantage que la somme des deux autres, il suivra cet enseignement chez les gnostiques, puis chez les templiers et même en Inde. Des clés lui seront fournies, comme celles du fameux « maord-maorc », qui a heurté tant de rosicruciens. Il expérimentera l'enseignement par de passionnantes expériences paranormales ou alchimiques. Et ce n’est que le début : la rencontre du Gardien du Seuil est au programme, et l’étudiant comprendra pourquoi la majorité refoule ce sujet. Parmi les révélations, un mystérieux document déposé par Harvey Spencer Lewis dans une librairie new-yorkaise livrera un mystérieux secret inattendu. Une Monographie du 3e Degré des Néophytes Rosicruciens restera le livre de chevet qui incite à reprendre les Études...

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Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...