24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 09:29

cloche.jpgCe texte étonnant est extrait d'un rituel initiatique de "Zelator" (1er degré du temple) de la "Societas Rosicruciana in Anglia", une organisation maçonnique qui se cherchait une inspiration rosicrucienne. Elle fut fondé en 1865 en Angleterre à partir de la "Societas Rosicruciana in Scotia" créée en 1800 qui semble s'inspirer des "Gold and Rosenkreuzer" allemands du 18ème siècle (et dont on présume que Gualdi fut Grand Maître) puisque le rituel fait symboliquement référence à Gualdi.

Le rituel est communiqué par Robert Van Loo. Si l'on sait remplacer quelques détails comme par exemple Gualdi par Akhenaton, une vague correspondance symbolique peut se retrouver avec un rituel rosicrucien du même degré, transmis par Lewis, ce qui pourrait suggérer, à un certain niveau, d'une source rosicrucienne commune...

"Le Signor Gualdi, un Magister Templi, avait longuement recherché chaque jour la solution finale ; il ne doutait pas qu’il y arriverait bientôt, et son assurance avait pénétré l’esprit de ses compagnons. Il aspirait à faire retentir la cloche et faire tressaillir son âme.

En lettres de feu, il avait écrit cet aphorisme, Igne Nitrum Roris Invenitur, « par le Feu le Nitre de la Rosée est extrait »  et cela devait être sa solution. Toute la nature dormait, les moines fatigués – à l’exception d’un seul – étaient partis se reposer, même les feux de la forge sommeillaient, lorsqu’à l’heure fatidique, l’entreprenant Gualdi quitta son siège de pierre dans la chapelle brillante du rocher, et en criant Eureka, fit résonner la cloche d’un son non-terrestre, dont l’écho traversa la roche.

Cela cessa soudainement dès lors qu’un moine puis l’autre se rendirent vers la Pièce Sacrée sans voir ni rien rencontrer, si ce n’est l’écho de la cloche qui continuait encore de se perpétuer.

Sur la table-autel au centre étaient ouverts les livres de Gualdi, avec à côté un vaisseau contenant le nitre et un creuset partiellement rempli d’or en solution. Un peu plus loin on découvrit un Gualdi transi sur le sol, tenant encore le battant de la cloche."

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commentaires

S
<br /> <br /> "Ahhh l’alchimie… sujet de tous les fantasmes, tous les essais, toutes les théories".<br /> <br /> <br /> Oh que oui !!!<br /> <br /> <br /> Mais pas plus que la Rose+Croix, la franc-maçonnerie et tout le bazar mystico-religieux où paramédical...<br /> <br /> <br /> Différences primordiales? je n'en suis pas convaincu sauf si l'on considère qu'un cheminement utopique est meilleurs qu'un autre. En ce qui concerne l'alchimie, il n'y a pas de travail opératif<br /> sans un travail interne tout comme le tailleur de pierre en même temps qu'il sculptait explorait le symbolisme et sculptait son oeuvre en son être.<br /> <br /> <br /> On pourrait sincèrement penser que ces trucs là n'existent que pour des déséquilibrés assoiffés de pouvoirs et d'honneurs fantasmant sur l'exotisme de connaissances mystérieuses et d'univers<br /> parallèles . C'est presque toujours vrai et l'intérêt pour ses choses sont rarement désintéressés même si l'adepte peut au cours de son travail changer et murir puis mourir en lui même pour<br /> pouvoir renaitre à une vision neuve dans une progression dogmatiquement revendiquée.<br /> <br /> <br /> L'alchimie intérieure n'existerait pas sous cette dénomination sans les opératifs qui codifièrent des processus dans une quête aussi utopique que la Jérusalem céleste pour les maçons ou la<br /> "réalisation" chez les rosicruciens, la réintégration des martinistes etc...<br /> <br /> <br />   Pourquoi utopique? Simplement parce que si cela était factuel, on aurait nul besoin de mythes pour permettre la survie de ces philosophies. Cela n'enlève rien à ce que l'on peut vivre et<br /> découvrir en tant que "initié" ou en tant que thérapeute. Cela rappelle juste que reconnaitre les limites rationnelles, n'est pas forcément un refus du cheminement et nous renvoit simplement aux<br /> lâchetés ordinaires .<br /> <br /> <br /> Une femme expérimente un cancer par choix, je trouve cela honorable (en supposant que ce soit la raison profonde) <br /> <br /> <br /> <br />
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E
<br /> <br /> Merci patron !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> C’est plus clair en effet !<br /> <br /> <br /> Ahhh l’alchimie… sujet de tous les fantasmes, tous les essais, toutes les théories.<br /> <br /> <br /> Mon cœur penche vers l’alchimie interne plutôt que l’externe relatée dans ce texte car pour en revenir à ma remarque initiale, les différences entre ces alchimies sont primordiales autant dans le<br /> but recherché que dans les motivations de la recherche.<br /> <br /> <br /> J’écrivais il y a peu à une dame qui disait que le cancer était un choix personnel et en profitait pour promouvoir une méthode miracle de guérison… A la fin de ma réponse je concluais par ces<br /> mots : "n’ayez pas peur". Elle n'a surement pas du voir ce que je lui montrais.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bien fraternellement Patron !<br /> <br /> <br /> <br />
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E
<br /> <br /> "Le Signor Gualdi, un Magister Templi, avait longuement recherché chaque jour la solution<br /> finale"<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Une solution? Bein mince alors... La solution à quoi?<br /> <br /> <br /> La question que je me pose n'a pas de solution et je ne suis pas sur qu'elle ai une réponse qui me satisfasse<br /> d'ailleurs.<br /> <br /> <br /> Je ne dois pas être normal! <br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Merci Frater Elphikss<br /> <br /> <br /> "Quelle solution finale?"... Le début du texte a été tronqué. Est-ce plus explicite ainsi?<br /> <br /> <br /> Bien fraternellement.<br /> <br /> <br /> Enfouies dans les profondeurs de la solitude, éloignées de la vue et du bruit de l’agitation humaine, faites à la fois de<br /> blocs taillés et de pierres brutes, le tout précisément et soigneusement ajusté, se trouvaient ainsi trois Salles proches et communicantes, pourtant d’égale dimension ; si habilement et<br /> sérieusement faites, et inertes dans leur structure et leurs abords, que le monde extérieur ne pouvait connaître leur existence ; seul le roulement du tonnerre, ou les cris des Myriades<br /> pouvaient trouver un écho en ces lieux souterrains.<br /> <br /> <br /> Une Salle abritait un Laboratoire général avec une section à part pour les fonctions domestiques, muni d’un ingénieux système<br /> semblable à celui des hottes filtrantes pour masquer l’évacuation des fumées et des gaz vers le monde extérieur. Ce Logement était longiligne et de grande taille ; tandis que le Second,<br /> également de forme rectangulaire, était séparé du reste, ne contenant que des couches dures, ainsi que de simples tables pour de frugaux repas. A l’opposé, de l’autre côté du Laboratoire<br /> Principal et s’ouvrant sur lui, mais avec des marches vers le bas, se trouvait la troisième Salle la plus grande, avec un toit de structure brute s’élevant en pointe, utilisé comme cellule de<br /> retraite et comme Chapelle. Au centre se trouvaient, à intervalles réguliers, 4 tables de forme cubique utilisées pour le travail, avec des sièges en pierre, et très haut au centre du toit était<br /> suspendue une lampe merveilleuse dont la flamme radieuse était pareille à la lumière rosée d’un coucher de soleil estival, intensément dorée, illuminant tout l’espace, ne nécessitant aucun<br /> entretien et inépuisable. Bien au-dessus, dans les arêtes de la voûte, se trouvait une Croix noire et blanche, mais massive, adroitement sculptée dans le marbre. En ces lieux silencieux et<br /> sacrés, personne n’était autorisé à entrer si ce n’est les Adeptes, le Magister Templi et le Magus, uniquement lors de la prière quotidienne du matin et du soir, au moment du rassemblement pour<br /> l’adoration silencieuse, ou bien à l’occasion de la réception des Aspirants, ou pendant l’Assemblée Annuelle. Ces Salles isolées constituaient la résidence des 36 de la Fraternité Rosicrucienne –<br /> ni plus, ni moins – qui seuls pouvaient occuper ces Salles construites dans le rocher ; tous les autres étaient astreints à suivre l’enseignement et devaient s’occuper du service. Une fois<br /> le bref séjour de ceux-ci terminé, le Magus choisissait à nouveau parmi ce nombre ceux qui allaient partir servir l’humanité, et les 36 qui resteraient. Ainsi s’écoulaient les années dans ces<br /> mystérieuses Cavernes avec le pilon, le mortier, l’alambic, le creuset et la forge ; le nitre, la résine, la roselite et divers sulfates d’étrange composition ; des instruments et des<br /> tables astronomiques. Tout cela en vue de l’étude abstruse d’analyses et de synthèses servant à permettre la conquête de tout ce qui est possible ; la réduction ou l’annihilation de la<br /> souffrance et des manquements dans l’organisme ; la régénération de l’homme, et l’obtention du solvant universel, ou Menstrum Universale, servant à enlever toute trace de maladie dans l’organisme humain, renouvelant ainsi la vie, la transmutation des<br /> métaux basiques en métaux supérieurs, ou l’élévation du Divin en l’Homme.<br /> <br /> <br /> Deux fois la cloche au battant en fer avait retenti à travers les rochers, enlevant les moines à leurs songes et leurs<br /> devoirs, proclamant la trouvaille de quelque secret potentiel. Une fois cela concernait la résolution du Mystère de la transmutation de métaux de base ou d’alliages en Argent, et puis ensuite en<br /> Or précieux, mais sans qu’il soit possible que ceux-ci soit utilisés pour le confort et le luxe.<br /> <br /> <br /> Cependant le plus grand secret restait caché, la prolongation, la régénération de la vie animale. La mort attendait celui qui<br /> sonnerait le tocsin, à l’exception de celui dont l’habileté avait permis de résoudre un des quatre problèmes : Premièrement, la régénération de la lampe éternelle ; Deuxièmement, la<br /> transmutation en Argent ; Troisièmement, la transmutation en Or ; et Quatrièmemnt, la découverte de l’Elixir Vitae.<br /> <br /> <br /> Concernant ce dernier, le Signor Gualdi, un Magister Templi, avait longuement recherché chaque jour la solution finale<br /> (etc)<br /> <br /> <br /> <br />

Nos Enseignements Rosicruciens

Le Bistrot de la Rose+Croix propose un continuum de 6 ouvrages couvrant correctement le début de l'Enseignement Rosicrucien. <cliquer ici>

Les Trésors De La Cave...

Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun.
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer.
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Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale sentait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.
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Conformément à la volonté de Profundis (Harvey Spencer Lewis), le Bistrot a mis, en circulation gratuite, le pdf de la traduction française du texte de 1918 de Symbolisme Mystique dans les Confraternités Ancestrales. L'édition papier comporte en parallèle la version américaine initiale et la version française. Le lecteur peut ainsi vérifier certains points de celle-ci. Mais il s'ajoute le descriptif de toute la quête autour du document qui permettra au lecteur de se familiariser avec l'approche ésotérique du sujet qui fait songer à la fameuse recherche du livre de Toth... - Pourquoi le document a t-il disparu pour réapparaitre sous une forme encyclopédique commercialisée 26 ans plus tard?
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L'ouvrage révèle des secrets généralement oubliés de ce degré si incompris. Partant de la Double Couronne égyptienne qui est davantage que la somme des deux autres, il suivra cet enseignement chez les gnostiques, puis chez les templiers et même en Inde. Des clés lui seront fournies, comme celles du fameux « maord-maorc », qui a heurté tant de rosicruciens. Il expérimentera l'enseignement par de passionnantes expériences paranormales ou alchimiques. Et ce n’est que le début : la rencontre du Gardien du Seuil est au programme, et l’étudiant comprendra pourquoi la majorité refoule ce sujet. Parmi les révélations, un mystérieux document déposé par Harvey Spencer Lewis dans une librairie new-yorkaise livrera un mystérieux secret inattendu. Une Monographie du 3e Degré des Néophytes Rosicruciens restera le livre de chevet qui incite à reprendre les Études...

Une Sentence de Sextus

 

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Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...