Nous parlions justement d'un Forgeron...
Et voici le début d'un texte qui surgit!
Il est écrit par un "rosicrucien du passé" non identifié, mais qui nous incite à jouer avec le feu, comme dans l'expérience rosicrucienne consistant à faire brûler un peu alcool avec un peu de sel dedans (et parfois un peu de sucre aussi) pour faire de jolies couleurs qu'on essaiera de changer par la concentration...
"Songez aux formes que prend le feu, alors que la flamme se glisse sans bruit, s'enroule, se tord, s'élargit, s'élance, tantôt en se contractant, tantôt en se creusant.
Remarquez ses couleurs changeantes, à mesure que son ardeur s'accroît. Notez les fantômes qui jaillissent de la forme pendant que le puissant marteau frappe l'enclume..."
Suite du texte:
"De fines étincelles bondissent. Seules d'abord puis dix à la fois, puis vingt, des milliers, des myriades s'élancent dans l'espace. Contemplez au-dessus de vous le ciel éclairé de millions d'étoiles, marques brillantes d'une flamme réfléchie. Cette chaleur latente de feux génériques se trouve dans la pierre dure et froide, dans l'air le plus pur et le plus fluide, dans l'oxygène, dans l'ozone, dans chaque chose et dans toutes choses, magnifique et surnaturelle, élément vraiment royal. La sainte cérémonie du feu a envahi tous les cultes religieux. C'est un symbole universel, une représentation visible de l'invisible, car tout comme le feu est partout, Dieu est partout, Lui aussi, autour de nous, en nous, et ainsi nous sommes des HOMMES ÉCLAIRÉS PAR DIEU. Comme le feu dissout, dissipe toutes choses, les rend toutes invisibles, la véritable philosophie ne pouvait aller plus loin sans rendre un culte au Dieu inconnu, dans la dernière image ou la dernière forme que l'homme était capable de se représenter, le feu, qui était comme Son ombre. En tout cela, nous ne faisons pas état du feu naturel, mais du feu mystique céleste, divin..»