18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 08:53

croix-pythagoricienne.png 

La représentation ci-dessus constitue un test pour les Chercheurs de Lumière...

 

Les Maîtres font toujours de gros efforts pour que leurs initiés apprennent à différencier la "Grande Lumière" de la lumière vulgaire.

 

Ainsi, Akhenaton enseignait aux égyptiens une manière de distinguer l'essence de l'apparence en donnant de l'importance à "Aton", le disque, pour évoquer la divinité cachée derrière l'apparence de la lumière du disque solaire.   

 

Dans un précédent message nous avons découvert que les initiés pythagoriciens passaient par 4 étapes.

 

Il y avait tout d'abord "Samos", le monde profane duquel il convient de s'éloigner pour aller chercher cette Connaissance.

 

Le chercheur "partait donc en Egypte" à la recherche de la Ville de la Lumière (Heliopolis en grec) mais était-ce bien à Héliopolis (Iounou en égyptien) que parvenaient les chercheurs?

 

En effet, à ce niveau de recherche, la Grande Lumière semble bien abstraite, ses Maîtres semblent hors de portée et les chercheurs, qui ne savent pas encore les écouter, s'efforcent davantage de repérer les initiés, à peine plus avancés qu'eux, mais différents des profanes qu'ils ne sont plus...

 

Ils sont donc en quête d'un signe de pureté d'une Fraternité de Chercheurs de Lumière démarquée du monde profane.

 

Et le signe de cette séparation a précisément donné en Egypte son nom à la ville de Memphis...

 

men-nefer-gly-bistrot.jpg

 

C'est ainsi que s'écrit Memphis en égyptien.

 

Nous lisons "MEN" le rempart, notre fameux mur... Le son "N" est souligné par l'ondulation. Il y a ensuite "NFR" qui est à la fois un instrument de musique et la représentation du cœur et de la trachée artère et le son final est souligné par la petite vipère cornue "F" et la bouche "R".  Suivent enfin les 2 déterminatifs typiques de la ville de Memphis, et qui ne se prononcent pas: la pyramide sur un socle ("MER") et les symbole "NIOUT" de la croisée des chemins qui caractérise un lieu.

L'ensemble se lit donc "MEN-NEFER", c'est le fameux "mur blanc" qui sépare les initiés des profanes...

 

Il est donc logique que, de même que le mot de passe du premier degré portait le nom de "Samos" où commença le périple du Maître, celui du deuxième degré soit "Memphis"...

 

Nous nous souvenons que Pythagore fut ensuite emmené en captivité à Babylone.

 

Babylone-gly-bistrot.jpg

 

Nous lisons "BeBeR" et nous apprécions le déterminatif sethien (les dunes du désert, caractéristiques des obstacles du monde profane) de cette ville étrangère...

 

Et donc apparaît le mot de passe de celui qui reste silencieux dans le monde profane et ne révèle son "phallus d'or" qu'à ceux qui sont susceptibles d'être initiés.  
 

Et enfin le Maître se doit d'illuminer le monde extérieur en plaçant sa lumière en haut d'une tour...
 

Mais il doit d'abord devenir un "οἰκιστής" (oïkistes), c'est à dire celui qui établit sa cité.

 

Ceci n'est pas à prendre au premier degré...

 

En effet, l'installation de Pythagore à Crotone reprend le symbolisme de la contruction de Crotone à un autre niveau...

 

Une légende grecque raconte que Crotone a été fondée par un nommé Myscellos après que la Pythie de Delphes lui ait révélé:

 

- "Myscellos au dos court, Horapollon (Horus-Apollon) t'accordera une descendance: va habiter le ricin au sein des beaux labours où tu seras le chef."

 

Et Myscellos au dos court (un profane sans envergure...) s'interrogeait sur ce "κρότων" (crotone), le ricin en grec, une plante, réputée magique, qui à faible dose donne de la force et fait pousser les cheveux, mais qui, à plus haute dose, devient un poison...

 

Mais Myscellos voulait s'installer à Sybaris...
 

On se souvient que Pythagore voulait faire de même mais pas pour les mêmes raisons...
 

Myscellos appréciait la belle région de Sybaris, mais c'est une région tentatrice où l'on vit les plaisirs de la luxure et les "sybarites", les habitants, deviennent amolis et corrompus.

 

La Pythie insista...

 

- "Myscellos au dos court, accepte le présent que le dieu t'accorde..." 
 

Et la Pythie lui décrivit plus précisément l'endroit où Myscellos établit Crotone.

 

Mais lorsque Pythagore, revenu de sa captivité Babylonienne, voulait s'établir à Sybaris, c'était avec l'idée d'être le plus actif possible dans un monde où l'on a précisément le plus besoin de Lumière...

 

Mais les sybarites ne sont pas prêts à accueillir la Lumière et c'est la raison pour laquelles les Maîtres doivent surmonter "l'Épreuve de Sybaris" pour ne s'adresser qu'aux authentiques Chercheurs... 

 

Et Pythagore s'installa donc à Crotone à proximité du temple d'Apollon, qui attirait précisément les Chercheurs de Lumière, afin de ne pas avoir à mettre en place un cercle extérieur de préselection.  

 

C'est ainsi que "Crotone" devint le mot de passe de ceux qui ont surmonté l'Épreuve de Sybaris...

 

Nous en venons donc au symbole tout en haut qu'apprécient les pythagoriciens qui connaissent les 4 degrés...

 

Naturellement nous constatons que les 4 points laissent apparaître une croix, de même que les Rosicruciens savent que la Croix elle-même recouvre une Rose invisible...

 

Et il va de soi que les Buveurs du Bistrot qui ont maîtrisé toutes les épreuves évoquées ici obtiennent légitimement le droit d'ajouter aux lettres de leur nom les 4 points groupés (::) qui caractérisent les "Pythagoriciens::"...

 

Et cela se fait discrètement, sans faire de "κρότος" (crotos)...

 

Et oui, c'est le nom, issu de Crotone, que prend en grec le bruit de batterie que font certains groupes inspirés des "Pythagoriciens::" pour ouvrir et fermer leurs travaux!

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. 
Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
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Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...