En anglais le mot murmure (qui s'écrit "murmur" et se prononce "meurmeur") possède un sens de "souffle" qui diffère légèrement du français qui s'attache à un bruit sourd et confus, mais l'expression française "les murmures de l'amour", même si elle a vieilli et appartient à ce que l'on nomme un "langage soutenu" existe toujours.
Le français parle aussi de "murmure" pour le bruissement léger d'un filet d'eau ou pour la brise du vent dans les feuilles des arbres.
Ces précisions donnent une idée de la douce prononciation répétée du son "mer" dont nous avons eu l'occasion de parler en connexion avec le hiéroglyphe de la houe. Les enseignements léwissiens précisaient que ce terme se retrouve en sanscrit ce que vérifie le dictionnaire sanscrit-français de Huet.
Mais ce dictionnaire remarquable ne précise toutefois pas le sens de chant psalmodié que révèlent les enseignements traditionnels sous leurs formes européennes ou orientales.
L'incantation murmurée de "mer" (prononcé "meur, meur, meur...") agit naturellement sur notre aura comme sur notre être psychique pour augmenter dans notre environnement les vibrations de paix et d'amour.
Naturellement ces vibrations montent en puissance si nous savons les utiliser en complément des autres clefs que nous fournit notre travail rosicrucien habituel de rituélie, de méditation, de respiration et s'accompagne d'une "intention" psychique qu'il convient de trouver en son cœur.
"MR" se pratique dans un sanctum consacré, une fois établie notre "intention rosicrucienne" et que nous laissons émaner des vibrations de paix d'amour, d'harmonie, de bienveillance et de santé, nous pouvons alors amplifier celles-ci par notre incantation.