Lorsque "l'Illuminator" s'incarne dans le monde, il laisse forcément des traces et des signes...
Il y a donc un challenge consistant à les repérer sans se planter...
Naturellement, le but du chercheur n'est pas de gonfler son propre ego, ni de valoriser son esprit de contradiction en identifiant des incarnations inédites du Grand-Maître qui échappent naturellement à la réalisation de ceux qui se contentent de répéter, en se copiant mutuellement, "Koutoumi a été Pythagore et Tothmes III".
Il s'agit simplement, et avec le consentement implicite et bienveillant du Grand-Maître, de mieux comprendre son action générale au cours des âges, au service de la Lumière afin d'y contribuer de son mieux, ici et maintenant.
Un vieil écrit de Spencer Lewis précisait:
"When Morya resided at Lake Moeris (Morias), K.H. was his associate and as two of the Three Master Masons they supervised the erection of the foundation of all the Egyptian Temples and Landmarks, including the Pyramid of Gizehs, Sakkara, the Sphinx and Rock Temples of Ahu-Sinhel, Philae, Karnak and Luxor."
"Lorsque Morya résidait au Lac Moeris (Morias), K.H. lui était associé; et comme deux des trois maîtres bâtisseurs, ils supervisèrent la fondation et l'érection de tous les temples et sites égyptiens que sont la pyramide de Gizeh, Sakkara, le Sphinx, le temple dans le rocher d'Abou-Simbel, Philae, Karnak et Louxor."
Retenons la mention de la pyramide à degré de Sakkara construite à l'époque du pharaon Djeser (3e dynastie, soit 27 siècles avant JC) par son fameux architecte Imhotep.
Selon Manethon, alors que les constructions des époques précédentes étaient en briques cuites, Imhotep introduisit des constructions en pierres. (Revoir peut-être les messages sur la fabrication des pierres avec le bagou)...
Imhotep était également grand chancelier, prince royal, médecin et pour ce qui nous intéresse, Grand Prêtre d'Héliopolis...
C'était naturellement un Grand-Maître considéré comme "fils de Toth" (divinité de la Connaissance, à consulter sur le Moteur du Bistrot).
Il œuvra, dans la pure tradition héliopolotaine, à la promotion dans toute l'Egypte de la divinité d'Osiris, celle dont les rosicruciens lewissiens, de nos jours, font encore leur "Chapelain".
C'est intéressant au passage de voir à quel point sa personnalité à marqué les égyptiens, quand, mille ans après, le "Papyrus Edwin Smith" du 17e siècle avant JC, est réputé révéler les nombreux enseignements médicaux d'Imhotep, et en particulier les antibiotiques, (ce serait donc 46 siècles avant Fleming..., voir, par exemple, ce qu'en dit Wikipédia, ici et là).
Nous lisons sur le socle de la statue en bronze, tout en haut, qui se visite au Musée égyptien de Brooklyn (New-York, USA), le nom d'Imhotep ("I"+"I"+"M"+"hTP").
Le hiéroglyphe hTP (Hotep = Paix) peut être vu comme un pain posé sur un support et un condensé des lettres "T" (le pain) et "P" (le pouf).
Nous pourrions voir le message profane "celui qui peut manger est en paix", et deviner le message magique qui exprime que pour être en paix il convient d'offrir à "manger" aux entités du lieu, comme une personne qui s'intalle dans une nouvelle maison offre des petits gâteaux aux voisins pour être bien accueilli...
Le nom d'Imhotep se traduit par "en lui la paix" (la paix se trouve en lui), c'est naturellement l'indication que le maître dégageait une sérénité qui impressionnait ses contemporains.