C'est le Grand Maître, de passage dans une petite loge, qui observe le visage de la "colombe" (la vierge vestale, traditionnellement une jeune fille) au cours d'un rituel rosicrucien. La jeune fille apparait au Grand Maître sous les traits d'une vieille femme et, pour le Grand Maître, la sensation de vision d'une vie antérieure persiste...
A la fin du rituel le Grand Maître l'interroge "quel âge as-tu ma petite"?
Et la "colombe" de répondre: "72 ans, grand maître, mais toujours aussi pure!"
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Allégoriquement... Bof! Un aiguillon d'abeille n'est quand même pas un symbole phallique disproportionné! Je doute que ce soit ce à quoi rêvent les jeunes filles le soir en s'endormant!<br />
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Je ne savais pas que quand elle se faisait piquer elle ne pouvait plus être vestale. Mais je sais que si elle se faisait niquer, elle perdait son job!<br />
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Dans les temps anciens, certaines vestales s'occupaient non seulement de l'entretien du feu dans le temple mais aussi du miel des ruches. Et lorsque qu'une vestale se faisait piquer, c'était le<br />
signe qu'elle n'était plus digne de la fonction...<br />
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Faut-il rappeler Voltaire qui disait " c'est une des superstitions de l'esprit humain que de considérer que la virginité est une vertu."<br />
De même George Day "Il n'y a pas de virginité qui vaille l'expérience".<br />
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Sur le chemin qu'il arpente, le chercheur est vierge. Les mots des maîtres l'ouvrent à la connaissance. Ces mots le "déniaisent". Et ce n'est pas le fait de prononcer les mots qui "ouvre" le<br />
chercheur à la connaissance. C'est le fait de les entendre pour la première fois.<br />
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Il en va de la vertu des demoiselles comme de la connaissance: tous les hommes possèdent la clé pour accéder au trésor. Mais la demoiselle peut se refuser à son soupirant comme la connaissance peut<br />
se refuser à qui ne l'abordera pas sous le bon angle.<br />
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Une Monographie Rosicrucienne du Deuxième Degré Néophyte
L’emploi de l’article « une » dans le titre traduit l'approche personnelle du bistrotier dans la transmission des symboles que le Cosmique révèle aux Rosicrucienx.
Le terme « monographie » désigne aujourd’hui une étude approfondie sur un sujet précis.
Dans la sagesse égyptienne, cette transmission passait par un hiéroglyphe, porteur de trois niveaux d’interprétation : concret, abstrait et ésotérique.
Le « graphe » est la graine profane issue de la plante égyptienne, dont le hiéroglyphe incarne la fleur sacrée.
Cette monographie rosicrucienne révèle pourquoi le Hedjet, la couronne attribuée au pharaon de Haute-Égypte, constitue le symbole secret du 2e Degré Néophyte.
L’étudiant découvrira qu’un engagement personnel est nécessaire pour obtenir des résultats précis dans son développement psychique.
Ces progrès, lorsqu’ils sont menés à bien, peuvent prendre entre deux mois et un an.
Rapidement, dans sa nouvelle classe, il constatera une transformation notable entre ce qu’il était auparavant et ce qu’il est devenu.
Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...