27 juin 2025 5 27 /06 /juin /2025 08:40
MLC (27) - Stanley n’était pas fait pour être entrepreneur

En 1909, mon mari perdit son emploi au Boot and Shoe Recorder sans que ce soit de son fait. Il occupait cet emploi depuis vingt-cinq ans, ayant été engagé comme responsable administratif par les deux associés qui dirigeaient l’entreprise.

 

Les partenaires se brouillèrent, et le président partit à New York sans prévenir quiconque de son projet de vendre ses parts à la Root Publishing Association.
 

Naturellement, le premier poste que les dirigeants de la Root Publishing voulurent confier à leurs propres employés fut celui de la gestion administrative.
 

A l’origine, cinq hommes qui s’étaient associés à ces deux partenaires et avaient été assurés qu’en cas de départ de l’un d’eux, une société serait créée pour leur permettre de diriger l’entreprise, mais cet accord fut oublié.
 

Le président ne pensait qu’à tirer le maximum de profit pour lui-même.
 

Les hommes qui avaient consacré le meilleur de leur vie à l’entreprise furent laissés pour compte.
 

Mon mari était effondré, il pleura toute la nuit.
 

Je ne sais pas ce qui serait arrivé s’il avait eu une épouse différente.
 

Avec un peu de capital en main, nous avons exploré diverses opportunités avant de nous associer à un homme d’une soixantaine d’années qui cherchait précisément ce que Stanley pouvait offrir.
 

Cet homme avait fondé une fabrique de chocolat. Nous investîmes tout ce que nous avions, et un ami banquier ajouta cinq mille dollars pour nous aider.
 

L’entreprise engagea un représentant, et tout semblait bien se passer.
 

Or, à l’automne suivant, alors qu’une affaire prospère était attendue, le représentant, qui détenait la liste de la totalité de la clientèle, convainquit un de ses amis d’ouvrir une usine concurrente et quitta notre entreprise du jour au lendemain.
 

Pire encore, l’homme avec qui il s’était associé, qui en était à la fois président et trésorier, avait retiré la majeure partie de l’argent initial pour lancer sa propre affaire à Springfield, Massachusetts.
 

Quel choc ce fut pour nous deux ! Je compris alors que Stanley n’était pas fait pour être entrepreneur.
 

Il pouvait gérer le bureau de quelqu’un d’autre, tenir les comptes, les livres, gérer l’argent à la banque, mais pas être associé. Sa droiture était telle qu’il ne concevait pas la tromperie, du moins, jusqu’à ce triste jour.
 

Nous étions tous deux profondément découragés, sans personne vers qui nous tourner. Heureusement, j’avais acquis la réputation de réussir tout ce que j’entreprenais.
 

Un jour, alors que je me reposais sur mon canapé, me demandant ce que nous allions faire, la présidente d’une œuvre de charité locale vint me proposer un salaire si j’acceptais le poste de secrétaire financière.
 

Naturellement, j’acceptai. Cela suffirait à couvrir nos frais de subsistance.
 

La première chose que je fis fut de solliciter les présidents des différentes banques pour qu’ils prêtent leurs noms à l’en-tête de la lettre de l’association, et chacun donna 500 dollars.
 

Mon nom apparut comme secrétaire financière sous cet en-tête prestigieux, ce qui eut pour effet d’encourager toutes les personnes sollicitées à donner.
 

Ma première grande entreprise fut de promouvoir un opéra, Dick the Dreamer, écrit par les épouses de deux médecins locaux. Je parvins à y intéresser toute la ville. Les commerçants firent de la publicité dans notre programme. Toutes les femmes de la haute société prêtèrent leurs noms comme patronnes. Toutes les jeunes filles de la bonne société participèrent aux différentes danses. Les étudiants de Harvard nous aidèrent. Les journaux firent tout leur possible pour promouvoir l’événement, rien ne nous arrêta, et ce fut un succès.
 

Cela rapporta plusieurs milliers de dollars à l’œuvre de charité, qui était alors le Frances Willard Settlement, un foyer pour jeunes femmes nécessitant un logement à prix modique. Je servis cette œuvre pendant plusieurs années, tout en m’impliquant dans la crèche et autres activités.
 

En 1910, une femme venue à Boston pour recevoir des traitements du Dr Worcester de l’église Emmanuel, connu comme un guérisseur par la foi, fut la marraine d’un club de déjeuner pour neuf cents dames de la ville et de l’État.
 

Cette personne possédait plus d’argent qu’elle n’en pourrait jamais dépenser. Pendant son séjour en ville, elle fréquentait un salon de thé sur Boylston Street dont la directrice était très compétente en restauration. Riche de quatorze millions de dollars, cette dame lui demanda, un jour, si elle accepterait de gérer un salon au rez-de-chaussée d’un immeuble vacant depuis peu. Naturellement, la directrice accepta.
 

Madame L. confia le projet à son avocat et partit pour Paris.
 

Le rez-de-chaussée fut loué pour 10 000 dollars les deux premières années et 8 000 dollars les trois années suivantes. Madame P. devait recevoir la moitié des bénéfices. La décoration ainsi que l’ameublement du salon de thé furent laissés à sa charge.
 

Madame L. estimait que cinq mille dollars suffiraient, mais elle était partie sans indiquer à son avocat la somme à remettre à Madame P. Celle-ci engagea donc un décorateur pour aménager le salon.
 

Les équipements étaient à la hauteur de ce que l’argent pouvait offrir de mieux. Les couleurs choisies pour la décoration étaient le rose, le gris pâle et l’or.
 

Les commodités et les vestiaires étaient au sous-sol, avec une entrée depuis la rue, et le salon de thé était accessible par une marche. Un petit bureau était aménagé à l’arrière.
 

Mais les fonds ne furent pas suffisants pour couvrir le loyer du salon de thé, ainsi que le salaire de l’assistante cuisinière et des serveuses. Dans le but d’augmenter les revenus de la petite affaire, les avocats de Madame P. et de Madame L. se réunirent et proposèrent la création d’un club associé au salon de thé pour les femmes de la haute société.
 

Des invitations furent envoyées, et neuf cents dames, de la ville et des alentours, s’inscrivirent moyennant une cotisation annuelle s’élevant à douze dollars pour les membres de la ville et cinq dollars pour ceux de l’extérieur.
 

Cet argent fut géré par Madame P., mais lorsqu’il s’épuisa, celle-ci décida d’ouvrir les portes à tout public, au grand dam des membres qui pensaient avoir rejoint un club exclusif pour dames.
 

Une amie investit 5 000 dollars, une autre 2 000 dollars, mais ce n’était qu’une goutte d’eau.
 

À cet instant, on fit appel à moi, connue pour mener à bien chaque projet, dans l’espoir que je trouve une solution à leurs problèmes.
 
- début des Confidences de Marie-Louise
(à suivre..)

MLC (27) - Stanley n’était pas fait pour être entrepreneur

Anglais :
My first major endeavor was to promote an opera.

Allemand :
Mein erstes großes Vorhaben war es, eine Oper zu fördern.

Espagnol :
Mi primera gran empresa fue promover una ópera.

Italien :
La mia prima grande impresa fu promuovere un'opera.

Portugais :
Minha primeira grande iniciativa foi promover uma ópera.

Grec :
Η πρώτη μου μεγάλη προσπάθεια ήταν να προωθήσω μια όπερα.

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Hymne Rosicrucien 1916

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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