27 mars 2025 4 27 /03 /mars /2025 15:47
MLC ( 8 ) Ma première Robe à 11 Ans

La ferme où vivait ma famille se trouvait dans une zone rurale entre les villes de Fairfield et St. Albans, dans le Vermont.

 

Les conditions de l’après guerre civile étaient très difficiles, avec deux hypothèques sur la petite ferme. Les prix des aliments étaient bien plus élevés qu'ils ne le sont aujourd'hui en 1951. Les gens se plaignent maintenant du prix d’un steak. Nous n'avons jamais vu, pendant cette période, de steaks comme on peut en trouver aujourd’hui.

 
La viande était généralement salée ou congelée, et nous nous nourrissions beaucoup de porc salé à la sauce au lait et de pommes de terre au four avec du Johnny-cake au petit-déjeuner.

 

Le dimanche matin, nous mangions des pancakes avec du sirop d'érable. Parfois, maman les cuisinait aussi gros que la poêle en pouvait contenir, les beurrait et étalait dessus du sucre d'érable, les empilait ensuite les uns sur les autres jusqu'à à peu près 13 cm, puis elle les découpait pour former des tartes. 
 

Le dimanche, nous mangions du rôti ou de la fricassée de poulet avec ces biscuits sucrés à la crème de tartre que maman confectionnait autrefois.

 

La sauce contenait beaucoup de crème. J'aime toujours le porc salé et la
sauce au lait avec des pommes de terre au four. Les haricots cuits au four étaient préparés dans un plat en fer, que j’avais conservé jusqu’à il y a deux ans, lorsque ma nièce vivant à Portland, dans l’Oregon, m’a demandé de le lui envoyer. J’en avais deux, un petit, dans lequel maman faisait toujours cuire un petit pain pour Louise.
 

J’aimais le pain frais à croûte dure, donc c’était à moi de le fabriquer tel que je le voulais. En me rappelant ces jeunes jours, je suis sûre que j’étais tout aussi heureuse à cette époque que je l’étais lorsque j’ai été entourée du luxe de la vie, prouvant que le bonheur vient de l’intérieur, et non pas en s’entourant de nombreux objets comme nous le faisons aujourd’hui, et qui demandent tellement de temps pour les garder en ordre.
 

Cette humble naissance m’a donné un complexe d’infériorité que j’ai mis longtemps à surmonter. En moi, j’avais des idées si exaltées tout en me demandant pourquoi j’avais ces pensées et ces sentiments que je n’étais pas en mesure de manifester. J'ai eu de nombreuses visions surnaturelles, j'ai entendu des voix, etc., mais je n'en parlais à personne de peur d’être perçue comme étrange. J'avais besoin d'un peu d’encouragement alors que je progressais vers la notoriété, et je l'ai reçu au bon moment par le biais de rêves et des visions, qui, je le sais maintenant, étaient des expériences sur le plan de l'âme.

 

À l'âge de trois ans, j'allais à l'école, qui se trouvait à environ un kilomètre et demi de notre maison. Chacun leur tour, mes frères me portaient sur leur dos.

 

J'étais considérée comme une enfant précoce, j'avais un développement supérieur à mon âge, et j'étais toujours appelée à montrer mes talents à l'école et à la maison.

 

À l'âge de onze ans, j'enseignais à des garçons de vingt ans des problèmes d'arithmétique pratique. Mais avec toute l'attention que je recevais, je me mettais en retrait. Je n'aimais pas être admirée, et cela a perduré tout le long de ma vie. J'ai toujours eu conscience d’avoir quelque chose en moi que je voulais voir reconnu plutôt qu’une apparence extérieure.

 

La première fois que j’ai eu une nouvelle robe, c’était quand j’avais onze ans. Je me souviens de l’émotion que j’ai ressentie lorsque mon frère m’a apporté le tissu pour sa confection, ainsi qu’une nouvelle paire de chaussures. Ma sœur aînée a cousu la robe, et maman et moi sommes allées au village où nous nous sommes fait prendre en photo. J’ai toujours cette photo, aujourd’hui. Maman était très jolie et portait une perruque. Ses cheveux, comme les miens par la suite, étaient devenus gris alors qu’elle était très jeune et papa n’aimait pas les cheveux gris, il lui faisait donc porter une perruque noire. Quand j’ai grandi, je lui ai demandé de la retirer.
Maman avait de beaux cheveux blancs, et sans sa perruque, elle avait l’air d’une nouvelle personne. Son médecin lui a dit quand il a vu ses cheveux blancs que si jamais elle portait à nouveau la perruque, il ne viendrait pas la voir.

 

J’ai commencé à travailler beaucoup plus jeune que les enfants de nos jours : nourrir les poules, ramasser les œufs, laver la vaisselle, mettre la table, aider de toutes les manières possibles à alléger les nombreux charges que ma mère devait porter. Tout en surveillant les vaches, l'un de mes passe-temps consistait à les observer brouter l'herbe au bord du chemin, à m'asseoir sur les rochers et à faire des pâtés de boue.

 

Me voilà vers mes huit ans ; j'adorais ratisser le foin avec le gros râteau auquel était attelé la vieille Dolly, la jument. Je me souviens d’un jour où, alors que j'avais environ cinq ans, à la suite d’un gros orage, mon père fut frappé par la foudre. Il tenait une fourche dans sa main. Les hommes l'ont ramené du champ à la maison. Il est devenu sourd des suites de cet accident.

 
A onze heures du matin et à quatre heures de l'après-midi, pendant toute la période des foins, ma mère préparait des sandwichs et une boisson à base de vinaigre de cidre, d'un peu de gingembre et de sucre, et je l'apportais aux hommes dans le champ.

 
En hiver, nous avions des Indiens venant du Canada pour acheter du bois et fabriquer des paniers. Ils me faisaient peur.

 

Ma mère avait l’habitude de confectionner des couvertures faites de morceaux assemblés (du patchwork). Je dors sous la dernière qu’elle a faite maintenant.

 

Elle en avait toujours une en cours, et les dames du quartier venaient l’après-midi pour l’aider à les coudre. Maman leur offrait toujours du thé et des biscuits avant qu’elles ne rentrent chez elles – elle avait toujours des bocaux remplis de cookies et de petits pains d’épice.

 

Samedi était le grand jour de la pâtisserie : pain, beignets, tartes et biscuits étaient fabriqués pour la semaine. En automne, des corvées de décorticage étaient de rigueur dans toutes les grandes fermes, avec danse et dîner après onze heures.

 

Ils avaient pour habitude de déguster du ragoût d'huîtres et des "Montpelier Crackers", fabriqués par Cross (Il s'agit de biscuits rustiques qui peuvent se séparer en deux pour être tartinés ou trempés dans la soupe. Ils étaient fabriqués à Montpelier dans le Vermont par la famille Cross. Note du Bistrot). 

 

J'entends aujourd’hui encore les vieux violonistes annoncer les danses carrées: ”balancez vos partenaires, main droite, main gauche, au centre”, et ainsi de suite. En me rappelant ces jours-là, je pense à tous ces gens...

 

- à suivre
- début des Confidences de Marie Louise

MLC ( 8 ) Ma première Robe à 11 Ans

Anglais : A drink made with apple cider vinegar, ginger, and sugar.

Allemand : Ein Getränk auf Basis von Apfelessig, Ingwer und Zucker.

Espagnol : Una bebida a base de vinagre de sidra, jengibre y azúcar.

Italien : Una bevanda a base di aceto di mele, zenzero e zucchero.

Portugais : Uma bebida à base de vinagre de maçã, gengibre e açúcar.

Grec : Ένα ποτό με βάση το ξίδι μηλίτη, το τζίντζερ και τη ζάχαρη.

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Hymne Rosicrucien 1916

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. 
Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...