Ce tableau de Fleury Richard réalisé en 1807 met en valeur un perroquet nommé Vert-vert dont l'histoire se perpétua dans les familles durant tout le 19e siècle. Il en fut tiré poèmes, pièces de théatre, et même un opera-comique d'Offenbach et le nom de Vert-vert fut repris par un quotidien parisien consacré aux spectacles et à la vie littéraire.
En deux mots, le perroquet vivait dans le couvent des Visitandines de Nevers et sa mémoire se chargeait d'un riche langage chrétien dont la réputation dépassa rapidement les limites du couvent et les Visitandines de Nantes demandèrent une visite de Vert-vert de quelques jours. Mais durant le voyage le perroquet se familiarisa avec les grossièretés des bateliers de la Loire... Rendu rapidement au couvent de Nevers, les bonnes sœurs, pour le ramener dans son état primitif, le gavèrent de sucrerie et Vert-vert mourut rapidement d'indigestion.
Naturellement, il se trouvait régulièrement dans les familles, une mauvaise langue pour dispenser une version plus "ésotérique" comme quoi les sœurs étaient ravies de découvrir la culture de bateliers au point que la mère supérieure empoisonna discrètement Vert-vert.
Anglais : Do you know this story about a parrot?
Allemand : Kennen Sie diese Geschichte über einen Papagei?
Espagnol : ¿Conoce esta historia sobre un loro?
Italien : Conoscete questa storia di un pappagallo?
Portugais : Você conhece essa história sobre um papagaio?
Grec : Γνωρίζετε αυτή την ιστορία με έναν παπαγάλο;