Les égyptiens avaient un symbole pour exprimer la fulgurite qu'ils nommaient MN comme le rempart présent dans le cartouche de Thotmes (le Men Kheper Râ) que les rosicruciens lewissiens relient à la Rose+Croix.
Les familiers de la culture bouddhique ne manqueront pas de remarquer l'interessante ressemblance du symbole avec les dordje tibétains évoquant la maîtrise de la foudre.
Parfois le symbole égyptien se dessine d'une manière plus épurée.
Mais la surprise vient lorsque l'on découvre qu'une divinité égyptienne s'approprie ce symbole.
Et ce n'est pas n'importe laquelle, c'est le fameux dieu ithyphallique (image d'en haut) que l'on nomme Min par habitude alors qu'on lit Men.
C'est un aspect osirien qui évoque la fécondation de la nature, ainsi que des phénomènes bien particuliers comme l'apparition de pierres précieuses ou des éclairs et des tremblements de terre.
Son bras levé porte un flagellum d'une manière bien particulière qui évoque un instrument pour semer, -faire l'amour avec la terre-, la houe MR qui est également le symbole de l'amour.
Naturellement les Habitués auront compris que Min évoque l'électrisation de l'orgasme...