La tradition égyptienne fait de Menes le premier pharaon à régner sur l'Égypte.
Le nom se prononçait en réalité Ménè, tandis que Ménes est une adaptation grecque.
Sur son cartouche ci-dessus, nous lisons "MEN" (le rempart) "N" l'ondulation, de l'eau et "E" (le roseau qui se prononce "è", "H" ou "I" selon les écoles).
Ménes apparaît comme un titre, "celui qui rend stable" que portaient les pharaons de la première dynastie comme Narmer et Aha.
L'idée générale est l'unification de l'Égypte et naturellement la Haute et la Basse Égypte (Une invitation à revoir le Message sur Memphis, la Balance des Deux Terres) et (l'union des deux terres Sma Taouy).
Le précédent message attirait discrètement l'attention des chercheurs sur la proximité entre le nom de l'Égypte "kemit" et le nombre 3 "kemit" ou "kemitou".
Ce n'est naturellement pas un hasard...
Dans la bouche du militaire, kemitou, le 3 apparaît comme la conclusion, mais les Rosicruciens peuvent franchir le pas et identifier kemitou à la fameuse Loi du Triangle.
C'est le principe fondamental qui veut que quand deux conditions complémentaires sont réunies, un phénomène de jonction se produit...
Ainsi, dans le cas de l'Égypte, le Nil exprime naturellement cette jonction, mais c'est aussi, Pharaon qui incarne la divinité intérieure de chacun et il porte le pschent, sa double couronne dont nous apprécions qu'elle est aux couleurs du Bistrot.
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