En Egypte antique, une variété intermédiaire d'ail et d'oignon aux nombreuses vertus, en particulier contre la toux, se nommait "les dents de lait" d'Horus.
Nous supposerons que la consommation de cet "alium cepa aegypti" ne laissait pas une haleine de cow-boy tueuse de mouches mais une imprégnation plus supportable...
Dans la tradition égyptienne, les dents d'une divinité représentent une expression de sa force, voire de son germe.
Cela nous permet déjà un rapprochement entre cette plante qui germait à partir des dents de lait d'Horus et la possibilité, si pratiquée en Europe au Moyen Âge, de tenir à distance les démons avec un chapelet d'ail...
D'ailleurs, si le petit Horus utilisait cet ail égyptien pour écarter les démons, il est permis de penser que, plus grand, il disposera naturellement d'outils redoutablement plus performants...
En attendant que le Cosmique révèle certains développements, il serait peut-être utile que les bien-aimés Buveurs zélés prolongent leur étude par quelques recherches comme:
- Horus et le cheminement rosicrucien
- L'herminette et l'ouverture de la bouche
- Dans les pas bienveillants d'Anubis
- Hou, dent et germe