"La pluralité des cultures fait-elle obstacle à l’unité du genre humain ?"
C'est un sujet de philo du bac S de cette année.
L'idéologie contemporaine s'attend à ce que le candidat, pour avoir une bonne note, explique que le genre humain comporte des différences culturelles familiales, climatiques, linguistiques, religieuses, alimentaires, vestimentaires, artistiques ou sociales.
Il décrira ensuite les cultures sans les classer ou les juger définitivement et en mettant en avant son idéal humaniste.
Enfin il conclura que la diversité culturelle, au delà de générer parfois incompréhension et conflits, est une richesse d'une humanité mondialisée et tolérante...
Mais les Habitués du Bistrot observent cela avec un regard rosicrucien!
Il faut savoir qu'un cheminement rosicrucien digne de ce nom, comporte, pour commencer, un important déconditionnement culturel destiné à privilégier la sincérité la plus absolue. Ainsi, le chercheur pourra envisager de franchir la "première marche", qui est traditionnellement nommée "le Premier Degré des Néophytes"
Une autre question se pose, celle de savoir pourquoi, dans l'absolu, toutes les cultures ne constituent pas forcément un terreau compatible avec le déclenchement du processus universel des "résurgences roscruciennes".
C'est le moment de rappeler cet extrait du dictum d'Amra, exprimé par les Maîtres d'Héliopolis, et qui, entre les lignes, révèle le fameux processus éternel qui est à la fois très simple et presque totalement ignoré...
"Que ceux qui voyagent jusqu'ici à la recherche de la Lumière soient mis à l'épreuve et ceux qui seront trouvés qualifiés se verront désignés pour retourner vers leur peuple et établir une loge au nom de la Fraternité".
un Inconnu 20/06/2019 17:29
lebistrotdelarosecroix.com 20/06/2019 18:38
Ramsar 20/06/2019 15:38
lebistrotdelarosecroix.com 20/06/2019 18:33