Nous sommes habitués à vivre dans un monde où une certaine malhonnêteté est devenue si courante qu'elle peut paraître naturelle!
Combien de personnes s'attribuent des titres ou des qualités qu'elles ne possèdent pas en réalité, tandis que leur moralité est si basse que tout ce qui n'est pas strictement réprimé par la justice leur semble autorisé...
Comment imagineraient-ils l'existence des être avancés de la Grande Fraternité Blanche qui jaugent en permanence leur niveau vibratoire d'activité avec l'espoir attentif de voir enfin un homme ou une femme se distinguer par sa lumière?
Ce témoignage de Spencer Lewis, qui date d'une centaine d'année, est instructif:
Pendant de nombreuses années, j 'avais regroupé un grand nombre d'hommes et de femmes se consacrant à la recherche ésotérique et métaphysique dans un sens rosicrucien.
Comme directeur de plusieurs revues ésotériques, j 'étais entré en contact avec divers manuscrits rosicruciens et j 'avais découvert que j 'étais apparenté à l'un des descendants du premier groupe de rosicruciens en Amérique qui était venu s'installer à Philadelphie en 1694.
Ceci me permit d'accéder à leurs nombreux documents anciens, manuscrits secrets et enseignements.
Ils furent étudiés, analysés et testés en pratique.
Notre groupe, composé de plusieurs centaines de personnes ayant par ailleurs une vie professionnelle était appelé entre nous: "The Rosicrucian Research Society" (La Société de Recherche Rosicrucienne).
Les réunions eurent lieu chaque mois à New York, entre 1904 et 1909.
Ayant conscience que nous n'avions pas encore reçu de charte ou d'autorisation pour utiliser le nom de rosicrucien, notre Société opérait en public sous le nom de "The New York Institute for Psychical Research"(L'Institut de Recherche Psychique de New York).