Une douzaine de jours se sont écoulés depuis le dernier message du Bistrot invitant à ressentir ou à rechercher des aspects rosicruciens dans une chanson de Georges Brassens construite sur un texte de Victor Hugo.
Sans saupoudrer trop vite le message par d'autres textes, cela nous laissait le temps d'écouter la chanson et de se laisser aller à capter certains détails que les "passeurs" que furent Brassens et Hugo nous ont offerts.
Le monde superficiel dans lequel nous vivons a naturellement droit au rosicrucianisme qu'il mérite!
De nos jours, parmi les nombreuses personnes qui pourraient se prétendre "rosicruciennes", combien pourraient bénéficier du titre glorieux de "Zelator" (que nous pourrions traduire par "chercheur zélé") que la Tradition attribue aux authentiques chercheurs, lesquels se distinguent de la masse de ceux qui resteront dans cette vie les "Juniors" passant à côté de ce l'on nomme "l'Enseignement Rosicrucien" ou que nos indulgents Habitués se plaisent à nommer les bonnes bouteilles du Bistrot?
C'est involontairement que le précédent message s'est transformé en test, suggérant quelques questions aux Zelatores...
Première question:
- Qui a pris la peine d'écouter la chanson?
Deuxième question:
- Qui s'est interrogé sur le refrain "le vent qui vient à travers la montagne me rendra fou" en envisageant un message ésotérique à décoder?
Troisième question:
- Qui a envisagé qu'un chapelet pouvait être au départ un outil rosicrucien et non le lamentable instrument de conditionnement pour leur égrégore que des religions détournèrent à leurs manières?
Quatrième question:
- Enfin, qui, parmi les plus anciens, a ressenti que "du temps de Charlemagne un chapelet ornait son coup" véhiculait une allusion à un fameux mystique de retour dans son pays après sa recherche de la source de la Tradition Rosicrucienne?
N'était-il pas dommage d'étouffer trop vite ces questions en apportant des réponses trop rapides...
(à suivre...)