20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 08:32

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La surpopulation terrestre et la sensibilité aux souffrances des animaux conduit une certaine jeunesse et parfois des moins jeunes à adopter une culture et une alimentation "vegan" (on prononce "végane").

  

C'est un mouvement né outre Atlantique qui rejette avec d'excellentes raisons tout ce qui peut faire souffrir les animaux.

 

Ce dessin de Dan Piraro s'inscrit dans cette dynamique louable.

 

Mais faut-il pour autant alimenter un égrégore fanatisant autour du rejet de toute exploitation animale?

 

Ainsi le "vegan" refuse l'usage du cuir, des fourrures, de la laine, de la soie, de la cire d'abeille, et des cosmétiques soupçonnés d'être issus de tests animaliers constituant une forme de vivisection.

 

Toute cette dynamique alimente l'idée qu'il ne s'agit évidemment pas d'une sensibilité de citadins conditionnés mais de réelle "compassion" à laquelle seule "une élite" est sensible...

 

Celle-ci se "réveille" dans une "élévation spirituelle" contre les errements du passé, voire les comploteurs du "nouvel ordre mondial".

 

Dans le monde immature d'internet qui alimente comme une seul homme la pseudo sagesse du New-Âge, toujours plus proche du "Da Vinci Code" que de la Tradition authentique, et les sites convaincus de la "théorie du complot", ce type de courant est naturellement appelé à un important développement...

 

... et ceci d'autant plus facilement qu'une alimentation déséquilibrée conduit à un affaiblissement de l'organisme qui empêche toute remise en question de nos tendances maniaco-dépressives comme peuvent l'être les troubles du comportement alimentaire...

 

Il est généralement connu depuis des siècles que le végétarisme est l'arme des vieux gourous qui leur permet de conditionner et d'inféoder plus facilement leurs ouailles, mais il s'agit là d'un cran au dessous: d'un végétalisme refusant outre les viandes, la consommation plus discutable de poissons, de crustacés, de lait (exception faite de "laits de céréales" a priori dépourvus de calcium, de protéines et de fer...), de fromages, d'œufs, de miel...

 

La rhétorique "vegan" nie généralement que l'homme ait survécu grâce à ses capacités omnivores (comme l'atteste pourtant nos canines carnivores) et postule que les composés animaux ne sont pas indispensables à notre alimentation...

 

Il est parfois prétendu que, par exemple, la fameuse vitamine B12 peut se retrouver dans une algue, la "spiruline", et que l'organisme peut suppléer naturellement à certaines carences, et enfin que certains vivent "vegan" depuis des années et ne se sont jamais si bien portés...

 

Voyons un peu...

 

Il est clair que l'on peut trouver dans des végétaux comme les lentilles certains acides aminés mais ils convient d'associer différents aliments entre eux pour obtenir l'équivalent de ce qui est contenu dans la viande.

 

Mais, ne pas se laisser carencer, exige une connaissance des aliments et de leurs apports qui ne s'improvise pas.

 

Accordons au bénéfice du doute que la dynamique "vegan" contribue à vulgariser cette connaissance et examinons précisément l'apport de la "spiruline" en matière de cobalamine (vitamine B12).

 

Tout d'abord, un point de détail: la vraie "spiruline", spirulina, n'est pas comestible et il s'agit en fait de l'arthrospira qui est commercialisée par les laboratoires sous l'étiquette "spiruline".

 

Celle-ci constitue déjà un fabuleux marché sur le net et promet dans l'avenir un énorme développement...

 

Il existe d'ailleurs un lobby très actif, l'IIMSAM (Intergovernemental Institution for the use of Micro-algae Spirulina Against Malnutrition) qui est introduit à l'ONU à New-York et qui œuvre pour un ajout automatique de spiruline dans les céréales fournies aux pays souffrant de malnutrition.

 

Ce lobby s'attache et subventionne, ci et là, des porte flambeaux charismatiques comme par exemple le célèbre footballeur Maradona.

 

Mais, honni soit qui mal y pense, si la "spiruline" apporte effectivement la fameuse cobalamine!

 

Or ce n'est pas si évident: il est conseillé généralement l'utilisation de 5 comprimés de 500mg de spiruline pour qu'un "vegan" trouve sa ration quotidienne de vitamine B12, mais un rapide calcul met en évidence qu'il en faudrait plutôt 20...

 

A titre de comparaison un steak de foie de bœuf de 100g contient 110µg de cobalamine et il conviendrait, pour trouver l'équivalent, d'ingérer à la place 300g de spiruline pure...

 

Naturellement un "vegan" ne consommera jamais cela, d'autant plus qu'il existe une controverse entre la "bonne vitamine" B12 (a priori, la methylcobalamine) présente seulement à 17% dans la spiruline et les autres cobalamines...

 

Généralement, ignorant de tout cela, le "néo-vegan" ne suit pas forcément les conseils prudents de l'officielle "Vegan society" britannique qui recommande pourtant à chacun de veiller à sa vitamine B12.

 

Le "vegan" estime plutôt arbitrairement que son organisme sera capable de synthétiser la cobolamine dont il ne constate pas sur lui le moindre effet de carence...

 

Mais le "vegan" a encore une astuce à découvrir à ses dépens...

 

En effet ses symptomes de carence en vitamine B12 ne sont pas les symptomes habituels d'affaiblissement de l'organisme et l'excés de vitamine B9, l'acide folique qu'il trouve, comme son nom l'indique, dans les feuilles, suscite des affaiblissements différents...

 

En voici un exemple parmi d'autres: si la carence en B12 ne permet toujours pas le renouvellement des globules rouges, en revanche la présence de la vitamine B9 permet à certains globules malades restants de grossir...      

 

Adaptation ou dégénérescence, comme dirait Laspalès: -"c'est vous qui voyez"!     

 

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commentaires

S
<br /> Tu as bien raison, Patron,de citer Laspalles pour conclure. Ses oeuvres sont, pour l'esprit une "nourriture" d'une qualité rare....méthycobaliminée,oserais je dire!<br />
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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
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Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
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Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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