<br /> <br /> @Percy,<br /> <br /> <br /> Je te propose un exercice de création, non une argumentation sur ce qui a existé et donc aux oubliettes les expériences des puissances communistes !<br /> <br /> <br /> En outre, je ne parle pas de propriété par ailleurs, je ne me sens pas propriétaire d'autre chose que de mes idées et encore, je n'en suis pas certain car les emprunts sont évidents!<br /> <br /> <br /> On est tous conscients des lacunes de notre systèmes économique et de sa profonde injustice. Je tiens juste à souligner à quel point nous sommes là aussi greffé sur un système de croyances qui<br /> nous empêche d'avancer.  Ou trouve-on encore la trace d'une littérature d'économistes engagés qui osaient bousculer toutes les idées reçues?<br /> <br /> <br /> Oui, refaisons le monde car il est en partie le produit de l'imagination des uns et des autres.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> @ S2C<br /> <br /> déjà, "avoir des échanges" et "gérer la richesse" c'est admettre la propriété privée. et j'échange un truc qui m'appartient et que tu n'as pas contre un truc que toi tu as et que moi je n'ai<br /> pas.<br /> Si on collectivise, le problème ne doit plus de poser... Je sais, d'autres ont déjà essayé... Et ça n'a pas vraiment marché.<br /> Et puis le système dans lequel nous vivons, basé sur la croissance à tout prix, consiste a produire des "trucs" dont nous n'avons pas besoin pour nous les faire acheter... Avec de l'argent<br /> qu'on a pas. C'est comme cela que le système survit encore pour l'instant!<br /> Je veux bien te suivre dans ta proposition, mais là on va vraiment refaire le monde...<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Le post de Perceval me donne l'occasion de rebondir. L'argent, c'est le troc. Beaucoup sont incapables de visualiser une société qui ne serait pas basé sur le troc.  Lewis n'échappe pas à la<br /> règle avec son système pourri d'unités qui revient exactement au même. La notion d'échange est universellement reconnue comme un élément irremplaçable de la gestion des biens, je la<br /> considère comme la base du problème.<br /> <br /> <br /> Je vous propose d'essayer d'imaginer d'autres façons de gèrer les "richesses" .., juste  imaginer  quelque chose de cohérent et d'applicable. Juste pour le<br /> fun, des modèles se présentent à vous <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> @Perceval<br /> <br /> <br />  "Coulons nous dans la masse, ne dépassons pas d’une tête et ainsi, nous n’éveillerons pas<br /> la méfiance."<br /> <br /> <br /> Il y a un proverbe chinois pour cela: "c'est la tête du clou qui dépasse qui prend le premier<br /> coup de marteau"<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Je vois dans ce<br /> « précepte » une illustration du rapport qu’ont eu de tous temps (et continuent à avoir) les chrétiens à l’argent. Regardons autour de nous. L’argent, à l’intérieur même des familles<br /> est un sujet délicat voire explosif. Les héritages sont souvent un de des moments où se manifeste le danger "diabolique" de l’argent. Diabolique (au sens chrétien) car il désunit. Si cela<br /> est vrai au sein d’une famille, que dire à l’extérieur entre « inconnus »? <br /> <br /> <br /> Le point de repère du<br /> chrétien avec l’argent réside dans cette phrase à double sens de l’Evangile : " Faites-vous des amis avec le malhonnête argent" (Luc 16,11).<br /> Cette affirmation représente une sorte de paroxysme dans la mauvaise conscience des chrétiens vis à vis de l’Argent. D’une part, l’argent est reconnu "sale" ou "malhonnête ", mais dans le même<br /> temps Luc affirme qu’avec ce vil argent on peut se faire des amis! Par expérience, je crois pouvoir dire que les amis que l’on se fait grâce à l’argent ne durent jamais bien longtemps. Demandez à<br /> Lilianne Bettencourt ce qu’elle en pense… En tout cas cette parabole est fondatrice de la place qu’accorde la religion chrétienne à l’argent. Et accessoirement pose le fondement du lien social au<br /> sein de nos sociétés d’inspiration chrétiennes...<br /> <br /> Renatus ne dit pas autre chose à travers ce précepte: "Coulons nous dans la masse, ne dépassons pas d’une tête et ainsi, nous n’éveillerons pas la méfiance."<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Michel Charasse, proche de Mitterrand et ancien ministre du budget, aujourd'hui membre du conseil constitutionnel recommandait, comme il le faisait lui même de tout payer en liquide pour ne<br /> laisser aucune trace. Un principe de base: ne jamais se servir de sa carte bancaire... Si Jacques Mellick avait écouté Michel Charasse, il aurait évité bien des déboires! Sans doute Michel<br /> Charasse est un rosicrucien qui a écouté Rénatus et qui continue à véhiculer ses principes!<br /> La Rose Croix a de beaux jours devant elle...<br /> <br /> <br /> <br />