11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 07:21

quadrature-egyptienne-copie-1.png

Voici posé un problème égyptien.

 

Si nous observons bien ce cercle et ce carré, nous nous apercevons que le cercle dépasse le carré pratiquement autant que le carré dépasse le cercle.

 

Il est intéressant de chercher à deviner les proportions correspondantes du cercle et du carré comme les petits égyptiens étaient incités à le faire (il ne connaissaient pas le nombre π).

 

Le fameux Papyrus Rhind fournit une solution d'une simplicité enfantine: 

 

"Exemple de calcul d'un champ rond de 9 khet. (Un khet correspond à 100 fois la distance du coude au bout des doigts, soit environ 50m).

 

Quelle est la surface du champ?" 

  

Solution:

 

"Tu soustrairas son neuvième qui est 1, il reste 8.

Multiplie 8 fois 8, il advient 64.

Ceci est la surface du champ à savoir 64 aroures."

 

Explication moderne:

 

Les égyptiens ne voyaient pas l'intérêt d'un nombre π mais utilisaient ce que nous appellerions leur "théorème de la quadrature" qui fonctionnait avec une précision inférieure à 1%.

 

Une calculette nous donne ((9/2)^2)*π soit 

63,61725123519331307886852851141

Et 63,61725123519331307886852851141/64 =

0,99401955054989551685732075799078 

et 1- 0,99401955054989551685732075799078 

nous montre que les égyptiens disposaient ainsi d'une précision de 

0,00598044945010448314267924200922...

Partager cet article
Repost0

commentaires

F
<br /> Hello Ami!<br /> <br /> <br /> Oui c'est un bon cru, le sujet est effectivement riche et ça donne envie de relire car les débouchés vont dans une multitude de directions!<br /> <br /> <br /> Si j'ose dire, c'est dommage que des "profanes" parfois légèrement sadiques se soient emparés des mathématiques et parviennent à écoeurer 80% des étudiants avec une abstraction<br /> matérialisante! <br /> <br /> <br /> Cette belle "science qui permet de comprendre les choses cachées" et que Pythagore à son retour d'Egypte voulaient utiliser pour éveiller les grecs. <br /> <br /> <br /> Merci de participer et de témoigner.<br /> <br /> <br /> Ça donne envie de retourner fouiller dans les papyrus...<br /> <br /> <br /> Bien cordialement, encore merci.<br /> <br /> <br />  <br />
Répondre
A
<br /> Que c'est passionant, à la fois l'article et les réponses aux commentaires. Ce qui m'a amené à faire le mien, est la réponse apportée à 'tantrique', où vous dites que vous avez peu à dire, lol.<br /> Pour quelqu'un qui n'a rien à dire, quelle érudition !  Je voulais surtout vous remercier pour m'avoir donné (trop) de pistes à creuser sur le sujet, je passe des moments mervielleux en<br /> soirée grâce à cela, je voulais aussirevenir  sur le blog vous le dire.<br />
Répondre
F
<br /> Bonjour Ami,<br /> Je ne peux pas dire grand chose du papyrus de Moscou que je n'ai pas étudié. Il est de la même époque (1850 av JC) que celui sur lequel copiait Ahmes (le scribe du papyrus Rhind) 200 ans plus<br /> tard.<br /> <br /> <br /> Il y a beaucoup d'éléments pour appréhender la calcul égyptien "la science qui permet de comprendre les choses cachées": <br /> <br /> Papyrus de Rhind, Moscou, Akhmin, Anasthasie, divers ostracas et ce que Champollion a fait passer à Fourrier...<br /> <br /> <br /> En recoupant tout ça il y a une grosse centaine de problèmes variés et résolus.<br /> <br /> <br /> Mais il faut un certain profil pour étudier cela: connaissance des hiéroglyphes bien sur et de la pensée égytienne et ouverture d'esprit à la pensée mathématique d'une part et aux mathématiques<br />  egyptiennes d'autre part qui pensaient par approximations de fractions là où nous mettons des nombres décimaux. <br /> <br /> <br /> Ce  serait donc une spécialisation hyper poussée style bac+10 pour intégrer et partager simplement ce qui sautait aux yeux des jeunes scribes...<br /> <br /> <br /> Il va donc de soi qu'il faudrait donc aborder le sujet autrement...<br /> <br /> <br /> Ce sertait plaisant de s'y consacrer mais ça obligerait à mettre en veilleuse beaucoup d'autres sujets aussi passionants... <br /> <br /> <br /> Un jour peut-être...<br /> <br /> <br /> Bien cordialement <br />
Répondre
T
<br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Je profite de ce blog intéressant (car vous répondez vraiment aux internautes de foçon profonde) pour poser une petite question sur un sujet que je n'ai pas compris. Il ne serait pas que question<br /> que du manuscrit égyptien de Rhind, mais aussi de Moscou. Mais sur ce dernier point, je suis un peu resté sur ma faim... Vosu auriez quelques indications à me donner<br /> ?<br />
Répondre
F
<br /> Bonjour Chauffagiste,<br /> <br /> <br /> Les égyptiens ne voyaient pas l'intérêt du nombre pi sous la forme que nous connaissons puisqu'ils n'utilisaient même pas les nombre décimaux...<br /> <br /> <br /> Il y avait juste 2 symboles en égyptien pour la moitié et pour 2/3.<br /> <br /> <br /> C'est la culture grecque (Archimede) qui a eu besoin la première des nombres décimaux et le nom de "pi" est plus tardif, c'est une abréviation de "péripheria" au 16e siècle.<br /> <br /> <br /> Pour les égyptiens le fait de calculer comme les grecs le nombre pi ferait passer les grecs pour des handicapés!<br /> <br /> <br /> C'est vraiement un autre monde!<br /> <br /> <br /> Les égyptiens se demandraient pourquoi ils n'utilisent pas la relation qu'ils connaissent entre le carré de 8 et le cercle de 9...<br /> <br /> <br /> Les mathématiques égyptiennes étaient constituées d'astuces symboliques remarquables comme celle-ci qui échappaient au monde des peuples commerçants comme les babyloniens et les phéniciens.<br /> <br /> <br /> Ce sont vraiment des façons de penser très différentes.  <br /> <br /> <br /> Bien cordialement <br />
Répondre
C
<br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Vous dites que les Egyptiens n'avaient pas conscience du PI... Heu, je ne pense pas qu'il fut découvert sans raison, serait pas 'hasard', et une fois acquis, s'il était tant utilisé, c'est qu'ils<br /> le maîtrisaient quand même, non ? Peut-être l'utilisaient-ils simplement pour ce qui leur était utile et qu'ils avaient d'autres méthodes pour d'autres calculs ?<br />
Répondre
L
amuse toi a faire ceci:<br /> 15*8*9*10*11*12 = 1 4250 600<br /> 96 ( cycle de retour des planètes a leur point d'origine 96 ans )<br /> 96*1*1*2*3*5*8*13 = 299 520 ( soit pas tres loin de la vitesse de la lumière)<br /> on calcul 1/ racine carré de 2 = 0.7077106781<br /> on divise 1 425 600 / ( 299520 - 0.707106781)= 4.7596266211<br /> que vaut cette valeur de 4.75962 est ce pi+phi?<br /> soit phi = 1.618033989 alors X = 3.1415926 32 soit pi a 7 chiffres.<br /> <br /> volai comment a des nombres entier et racine carré de 2 on trouve pi ou phi
F
<br /> Exactement = c'est seulement dans la lumière qu'il y a une chance de trouver!<br /> <br /> Pour développer l'exégese: les guides polarisent le monde dans lequel nous vivons afin que celui qui cesse de se chercher des prétextes pour justifier son attachement à l'oscurité et décide enfin<br /> d'écouter son cœur, puisse trouver ce qu'il cherche dans la lumière! <br />
Répondre
S
<br /> Exactement quoi? Se satisfaire de ce que l'on veut bien nous montrer ou aller plus loin, même à tâtons pour chercher les autres pièces du puzzle.<br />
Répondre
F
<br /> Exactement...<br />
Répondre
S
<br /> Lâcher la proie pour l'ombre? çà m'fait penser à un dessin assez connu où l'on voit dans la nuit, quelqu'un à quatre pattes sous un réverbère...<br /> <br /> <br /> -"Ce que vous cherchez se trouve peut-être ailleurs" lui dit enfin un passant.<br /> <br /> <br /> -Peut être mais ici il y a de la lumière.<br />
Répondre
F
<br /> Hello Salam,<br /> <br /> <br /> Je te vois venir avec tes atlantes!<br /> <br /> <br /> Oui c'est assez logique vu la rapidité du passage en moins d'un siècle à une écriture très avancée tout de suite porteuse de solutions technologiques.<br /> <br /> <br /> Mais comme je vois les choses, l'Egypte reste pour nous la grande pourvoyeuse des "Enseignements". En conséquence, si c'est véritablement la "Connaissance" que nous recherchons, le but de la<br /> recherche documentaire est atteint lorsque l'on découvre la disponibilité de la transmission égyptienne. Il nous reste donc simplement à l'étudier si nous ne voulons pas encourir le risque de<br /> "lâcher la proie pour l'ombre"!<br /> <br />  <br />
Répondre
S
<br /> hello fm!<br /> <br /> <br /> Monumental n'est-ce-pas? Toutefois ton message souléve plusieurs questions: par qui ou/et  comment cette connaissance leur a été transmise et surtout pourquoi? N' y avait il pas plus urgent<br /> à s'occuper à cettepériode  encore paléolithyque durant laquelle la plupart des gens étaient vêtus de peaux de bêtes et se servaient d'outils rudimentaires, nous dit la science "dure"?<br /> <br /> <br /> Combien de temps est il nécessaire pour parvenir à un tel résultat alors que même les plus érudits de ce vingt- et-unième siècle naissant se cassent  les dents tant il nous dépasse?<br /> <br /> <br /> Car il ne suffit pas d'avoir de jolies théories mais faut il encore pouvoir les démontrer afin de ne pas rester dans la croyance.<br />
Répondre
F
<br /> @ Salam,<br /> <br /> La maîtrise arithmétique et géométrique des égyptiens est<br /> vertigineuse. Il y aurait une bonne centaine d'articles comme celui là à réaliser.<br /> Ne perdons pas de vue que les frères Champollion qui évaluaient à<br /> leur juste valeur l'ouverture d'esprit de leurs contemporains n'ont confié qu'au mathématicien Fourier les éléments basiques des<br /> calculs égyptiens et c'est Fourier qui a développé en 1822 les<br /> "séries de Fourier" lesquelles ont ouverte une nouvelle branche des mathématiques (l'analyse harmonique). Et il a fallu encore un bon siècle<br /> pour adapter les travaux de Fourier à notre pensée mathématique et<br /> générer ce que l'on nomme de nos jours "l'analyse fonctionnelle" alors que la pensée égyptienne contournait ces problèmes par<br /> des approches concrètes...<br /> <br /> Concernant les ajustements de certaines pierres des pyramides, le<br /> bistrot a développé le sujet des "rou-bagou"...<br /> <br />  http://www.lebistrotdelarosecroix.com/categorie-12526051.html<br /> Concernant le nombre d'or, et les batisseurs égyptiens, il y a<br /> encore beaucoup de choses à comprendre. Voir cet article qui met en évidence que beaucoup partent sur des pistes foireuses... <br /> <br /> <br /> http://www.marc-labouret.fr/nombre-d-or.html<br /> <br /> <br /> Bonne soirée!  <br />
Répondre
S
<br /> En effet, cette précision est étonnante surtout qu'on la retrouve en permanence dans leurs constructions; il suffit de voir l'ajustement des pierres dont l'intervalle ne permet pas le passage<br /> d'une feuille à cigarette. On peut penser à juste titre qu'ils connaissaient le nombre d'or (phi) mais cela suffit il? Mais il est encore plus étonnant d'entendre que toutes ces pierres ont été<br /> taillées à l'aide d'outils lithiques. J'hallucine lunaire!<br />
Répondre
C
<br /> Je n'ai pas vraiment compris le commentaire de herbalife....pouvez-vous clarifier svp?<br />
Répondre
F
<br /> Bonjour Herbalife.<br /> Merci d'intervenir.<br /> Ahmes n'était qu'un scribe du 15e siècle avant jc qui ne fait que rassembler des solutions courantes à des problèmes mathématiques basiques.<br /> Et le symbole de l'article est un hiéroglyphe égyptien assez rare et même un peu refoulé... (à se demander pourquoi...)<br /> Concernant les mandalas, voici un ancien message du bistrot.<br /> <br /> <br /> http://www.lebistrotdelarosecroix.com/article-faut-il-virer-les-mandalas-94162337.html<br /> <br /> <br /> Bien cordialement<br />
Répondre
H
<br /> C'est aussi un égyptien, je crois que c'est Ahmès mais je n'en suis plus très sûr, qui l'a rentré dans le carré. Archimède lui n'a cherché qu'à calculer. Sinon, pour en revenir à cette quadrature<br /> égyptienne, il est possible depuis celle-ci de créer un mandala basé sur l'hexagone...<br />
Répondre

Nos Enseignements Rosicruciens

Le Bistrot de la Rose+Croix propose un continuum de 6 ouvrages couvrant correctement le début de l'Enseignement Rosicrucien. <cliquer ici>

Les Trésors De La Cave...

Le Carrousel des Livres

Image 1
Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens.
Image 2
Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme.
Image 3
Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun.
Image 4
Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
Image 5
Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
Image 6
Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
Image 7
Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
Image 8
Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
Image 9
Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer.
Image 10
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
Image 11
C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
Image 12
Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
Image 13
Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale sentait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
Image 14
Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
Image 15
Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
Image 16
C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
Image 17
Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
Image 18
Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
Image 19
Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.
Image 20
Conformément à la volonté de Profundis (Harvey Spencer Lewis), le Bistrot a mis, en circulation gratuite, le pdf de la traduction française du texte de 1918 de Symbolisme Mystique dans les Confraternités Ancestrales. L'édition papier comporte en parallèle la version américaine initiale et la version française. Le lecteur peut ainsi vérifier certains points de celle-ci. Mais il s'ajoute le descriptif de toute la quête autour du document qui permettra au lecteur de se familiariser avec l'approche ésotérique du sujet qui fait songer à la fameuse recherche du livre de Toth... - Pourquoi le document a t-il disparu pour réapparaitre sous une forme encyclopédique commercialisée 26 ans plus tard?
Image 21
L'ouvrage révèle des secrets généralement oubliés de ce degré si incompris. Partant de la Double Couronne égyptienne qui est davantage que la somme des deux autres, il suivra cet enseignement chez les gnostiques, puis chez les templiers et même en Inde. Des clés lui seront fournies, comme celles du fameux « maord-maorc », qui a heurté tant de rosicruciens. Il expérimentera l'enseignement par de passionnantes expériences paranormales ou alchimiques. Et ce n’est que le début : la rencontre du Gardien du Seuil est au programme, et l’étudiant comprendra pourquoi la majorité refoule ce sujet. Parmi les révélations, un mystérieux document déposé par Harvey Spencer Lewis dans une librairie new-yorkaise livrera un mystérieux secret inattendu. Une Monographie du 3e Degré des Néophytes Rosicruciens restera le livre de chevet qui incite à reprendre les Études...

Une Sentence de Sextus

 

Les Buveurs en Ligne

(Si les bloqueurs de publicité le tolèrent)promotion et affiliation

Hymne Rosicrucien de 1916

Let There Be Light

 

Localisation des Buveurs

Le Bistrot sur X et sur Facebook

Le Bistrot sur X
Le Bistrot sur Facebook 
Le Bistrotier sur Facebook

Le Bistrot de la Rose+Croix est un site indépendant unique. 
Créé en 2010, il propose régulièrement ses "boissons" aux Chercheurs de Lumière. 
Ce sont des milliers de messages exclusifs en accès libre, inspirés par la mystérieuse pensée rosicrucienne. 
Les Habitués du Bistrot apprécient généralement d'en retrouver des traces dans l'Antique Egypte héliopolitaine, mais pas seulement...