23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 00:20

coudee-royale-egyptienne.jpg

Voici à droite une coudée royale égyptienne permettant de mesurer.

 

C'est une règle graduée qui servait de référence.

 

Nous en trouvons de nos jours dans différents musées et les égyptiens conservaient dans leurs temples un modèle qui faisait autorité.

 

La coudée porte le nom de "Mee".
 

mee-coudee-gly-bistrot.jpg

 

La représentation supérieure est un tressage et la représentation inférieure montre avec 2 doigts un écartement.

 

Naturellement comme la coudée est souvent utilisée ,son écriture pouvait se trouver abrégée par l'un seulement des 2 symboles (la tresse ou le bras écartant les doigts).

 

Le tressage supérieur nous explique silencieusement que la belle coudée de droite avec des graduations bien gravées est un modèle de luxe et que l'on pouvait très bien se contenter de mesurer avec une modeste coudée tressée...

 

La coudée royale mesure assez clairement 52 cm "et des poussières" et elle était subdivisée par 28 graduation (28 "doigts").

 

Il est plaisant d'imaginer (c'est loin d'être une certitude!) que la coudée royale égyptienne fasse exactement 52,36cm ce qui la mettrait en relation directe avec notre mètre étalon généralisé pendant la Révolution.

 

C'est ce que montre l'intéressante construction géométrique suivante.

 

Supposons que le cercle fasse un mètre de diamètre et que le triangle fasse 1m sur 2m.

 

Il est amusant de calculer que la circonférence du cercle ferait exactement 6 coudées (π/6 = 52,36) et le périmètre du triangle exactement 10 coudées (1+2+√5) soit en l'occurence 5,236m.

 

Il y aurait alors une étonnante relation prophétique avec notre mètre, mais naturellement elle ne serait valable, répétons le, que si la coudée royale mesurait exactement 52,36 cm ce qui reste évidemment à prouver!

 

 

Mais les amateurs de merveilleux adorent les coïncidences...

coudee-rosace-bistrot.jpg

 

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commentaires

Y
Bonjour, la coudée génère effectivement le mètre, et sana même avoir à mesurer la Terre. On divise la petite coudée (45 cm) en 6 paumes et on ajoute une paume pour la coudée royale. On a finalement : petite coudée + grande coudée + 2 x grande coudée = mètre naturel = 54 doigts (99 / 98). Il suffit d'enlever un demi-doigt pour avoir le mètre moderne (diamètre d'un cercle de périmètre 3,14)
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Y
Correction : petite coudée + grande coudée + 2 x grande coudée / 2
L
La coudée royale ne fait pas 0.5236 m. D'abord ce n'est pas une longueur d'arpentage mais une longueur d'onde, sa valeur est 0.528997468 mètre car si on élève à la puissance 32 on trouvera une expression de racine carré de 2. et on sait que racine carré de 2 élevé à la puissance 2 ( soit puissance 64) donnera 2. il suffit ensuite de diviser par 2 et on trouve l'unité, soit une expression du mètre en longueur d'onde bien sûr. Enfin en divisant cette coudée par 42 et en la multipliant par 22 on trouvera 0.27709 m qui est la valeur précise définit pour le pieds de Pline découvert en 1799 par les scientifiques napoléoniens. Horus a été divisé en 42 morceaux , 24 étant l'image de 42. Ainsi la coudée/42 = 0.012595m sera la base d'une table ou multiplié par 1.5 on aura le doigt; multiplié par 2 on aura le pouce etc... La fréquence de la coudée Royale est de 648 hz, d'ailleurs georges lakhovsky gênerait avec sa machine a ondes multiples une fréquence comprise entre 650hz et 680 hz pour son circuit primaire. il a soigné le cancer en 1927 alors que d'Arsonval avec ses rayons chaud ne soignait rien.
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L
Merci Le Coq de votre intervention.<br /> La pensée égyptienne est particulièrement concrète. Il ne leur viendrait pas à l'esprit d'utiliser une longueur d'onde au départ d'une coudée. Tous les hiéroglyphes égyptiens ont un sens concret avant d'avoir une deuxième signification plus abstraite (et enfin une 3e signification ésotérique). Il y a donc une première erreur à corriger. (En clair ça fonctionne dans l'autre sens!).<br /> La deuxième erreur consiste à utiliser les nombre décimaux dont les égyptiens ne voyaient pas l'utilité. La pensée égyptienne ramenait tous les calculs à des sommes de fractions avec une marge d'erreur adaptée à la précision qui leur était nécessaire. (Voyez par exemple au Bistrot la relation entre le carré et le cercle d'après le papyrus Rhind.)<br /> Il faut attendre les arabes (vers le 9e siècle) pour l'utilisation généralisée des nombres décimaux. Les égyptiens, les grecs et les romains ne les utilisaient pas. <br /> L'idée que Horus est divisé en 42 n'est rien de plus qu'un témoignage d'ignorance à ne pas perpétuer! Mais 42 peut se retrouver dans le nombre de nomes égyptiens et 14 (le tiers de 42) se retrouve dans la partition d'Osiris, mais, si je puis dire, abstenons nous d'utiliser les nombres pour calculer l''âge du capitaine! <br /> Concernant les fréquences vibratoires il faut savoir que les égyptiens perpétuaient une précision importante. On a pu constater que fabriquées à 10 siècles d'écart, des flûtes avaient la même précision afin naturellement de produire les mêmes vibrations.<br /> Ces vibrations ont naturellement des fonctions et des propriétés particulières que les Rosicruciens (la majuscule sur le R pour signaler que tous ceux qui se disent rosicrucien ne la méritent pas!), de tous temps, ressentent et sont donc capables d'utiliser.<br /> C'est un réel pouvoir mais ce n'est pas pour soigner le cancer avec une machine: les maladies (du latin "mal habitus") ne surgissent pas par hasard et c'est le malade qui guérit dans certaines conditions qu'il doit précisément découvrir, mais une machine ne peut être que d'un secours limité pour cela.<br /> Mais ne nous méprenons pas:<br /> - la connaissance de certains Égyptiens était respectable, mais elle ne doit surtout pas alimenter une égyptolâtrie qui fait précisément du tort à l'approche de leur connaissance. <br /> - les investigations, les expérimentations et les découvertes de Lakhovsky ou de d'Arsonval sont naturellement utiles et respectables mais il est abusif d'affirmer la validité définitive de leurs conceptions! Et le fait qu'ils furent dérangeants pour d'autres personnes ne cautionne rien de plus.<br /> Bref, la Vérité mérite toujours le maximum de respect! <br /> Avec toute l'amitié des habitués du Bistrot.<br /> <br />
D
coudée = Pi - Phi²<br /> Pi et Phi sont des valeurs introduites dans les dimensions de la grande pyramide.
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L
J'aurais pu ajouter que les travaux de Fourier au 19e siècle portant sur ce qu'on appelle désormais "les séries de Fourier", qui ont fait faire un bon à l'analyse mathématique, découlent de l'Egypte. Fourier était un ami de Jacques Joseph Champollion (le grand frère) et avait pu travailler précisément sur ce que François Champollion ne communiquait pas aux littéraires. Ceux-ci avaient déjà suffisamment de difficultés à gérer leur incompréhension des finesses de la pensée hiéroglyphique._/\_
L
Bonjour Phil et bienvenue au Bistrot.<br /> Non non! Fausse piste: la pensée mathématique égyptienne fonctionne définitivement avec des fractions sans éprouver la nécessité de développer les calculs et en utilisant toute une game d'astuce comma la surface d'un cercle de diametre 9 c'est 8x8. Mais sans être égyptologue, chacun peut apprécier le papyrus Rhind.<br /> Par ailleurs il convient de comprendre que l'écriture telle qu'on la comprend de nos jours déforme la pensée. Par exemple l'enseignement rosicrucien passe dans notre civilisation par des "monographies" car nous ne savons généralement plus fonctionner avec des symboles multidimensionnels.<br /> Pour les vibrations musicales, à 1000 ans d'écart les sons des flutes étaient identiques au Hz près car certaines utilisations importantes pour eux nécessitaient de la précision alors qu'on a tendance de nous jours à se contenter d'approximations.<br /> Bonne continuation.<br />
P
A mon sens c'est plutôt affirmer que les egyptiens n'utilisaient JAMAIS pi, phi et autres qui est une grave erreur de raisonnement. Ce n'est certainement pas parce que les archeologues n'ont jamais retrouvés d'écrits à ce sujet que la connaissance n'existait pas. Ou alors il faut tenir comme acquis que le druidisme n'a jamais existé puisqu'on a jamais retrouvé de "manuel de druide"...<br /> Il n'y aurait rien d'étonnant à ce qu'une "caste" d'architectes dévolue au sacré connaisse certaines choses transmises secrétement de bouche d'architecte à oreille d'architecte.<br /> En attendant, pour des gens qui ne se servaient pas de decimaux, ils étaient rudements forts pour obtenir des dimensions de rapport phi, racine de phi racine de 5, voire même la gamme diatonique de Ptolemée (des joyeusetés comme 15/8, 5/3, 9/8 etc...) avec une précision allant de 0.1 ‰ à 0.08 ‰. Belle "approximation satisfaisante" .... Non ?
L
Bonjour David, Merci de cette précision, mais il est important de veiller à exprimer les choses autrement pour ne pas contribuer à entretenir dans le grand public une erreur de raisonnement. En fait la manière de penser et de calculer des égyptiens n'utilise jamais le nombre pi. En fait les égyptiens n'en éprouvaient pas l'utilité. Avec notre regard, ils contournaient son utilisation par une approximation satisfaisante. Voir par exemple le message du bistrot sur la quadrature égyptienne (à partir du Papyrus Rhind).<br /> Bien cordialement<br /> http://www.lebistrotdelarosecroix.com/article-la-quadrature-egyptienne-119488779.html
A
<br /> En effet, ce "rapporchement" éventuel avec la valeur du mètre ne peut qu'attirer l'attention et réchauffer notre coeur devant la grandeur de la pensée de l'Égypte antique. A leur époque, cette<br /> civilisation avait réussi le tour de force de calculer la superficie de leur pays, soit 86 atours pour la haute Égypte et 20 atours pour la Basse Égypte ! Il y a fort à parier qu'à la même<br /> époque, peu d'autres nations pouvaient déjà faire de même... En ce qui concerne la valeur de l'atour, je n'ai jusqu'ici encore aucune information précise à ce sujet, si ce n'est qu'un atour est<br /> égal à 1 atour longueur de côté... <br />
Répondre
L
lol David, ce n'est pas une pensée égyptienne! Les égyptiens ne voient aucun intérêt à fixer des nombres comme Pi ou Phi!<br /> Tous leurs calculs non décimaux permettent précisément de s'en passer! C'est ça l'astuce que les modernes ont beaucoup de peine à comprendre! Voyez plutôt comment le Bistrot formule déjà la chose! Bien cordialement
D
phi² = phi + 1<br /> coudée = pi + phi + 1<br /> La coudée royal étant en mètre, le 1 = un mètre.<br /> Voilà d’où vient notre mètre officialisé des siècles plus tard.

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Le Carrousel des Livres

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Mando exprime traditionnellement la première approche vers la Rose+Croix, centrée sur le concept de Mando (« je demande » en latin), symbolisé par la mandorle (l’amande) de la couverture. Cet ouvrage familiarise le chercheur avec les connaissances antiques et traditionnelles des rosicruciens. Relevons le hiéroglyphe égyptien de la croix nedj (salut et protection) ou le poisson généré par la vesica piscis reliant l’Égypte ancienne au christianisme. Mando propose enfin les expérimentations précises qui guident irrésistiblement vers le processus d’éveil demandé.
Image 2
Un éclairage rosicrucien permet de comprendre facilement que le Reiki est, ni plus ni moins, la forme japonaise de la Rose+Croix. Il existe des formes profanes et une forme ésotérique du rosicrucianisme, il en est de même au Reiki, c'est ce qu'une femme, le Maître Hawayo Takata désignait en privé par le "Jeune Couple"... Ainsi, lorsqu'une forme du rosicrucianisme est en perdition dans un pays, ce que Harvey Spencer Lewis décrivait par les "cycles de 108 ans", il est d'usage qu'une lignée en activité dans un autre pays vienne booster les étudiants méritants. C'est ce que ce livre raconte. Restera, par exemple, aux rosicruciens français de bénéficier où non, des initiations authentiques qui changeront leur incarnation.
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Lorsque la situation était difficile, Harvey Spencer Lewis, avec humour, déclarait qu'il allait récupérer son "Brown Casket" et se retirer. Brown Casket a été traduit ici par coffret brun mais certains auraient traduit par cercueil marron ou par d'autre choses... Toujours est-il qu'ici, pour la première fois, Lewis en parle, sous la forme d'un vieux coffre qu'il voit ouvert pour la première fois lorsqu'il rend visite à un ami...
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Richelieu déclarait: -"Pour la Rose+Croix, je m'en remets au père Gautier"… C'était difficile de trouver des traces de cet homme dont le nom pouvait s'écrire Gauthier ou Galtier. Intellectuellement, c'était une grosse pointure qui pouvait enseigner la théologie, le latin, le grec ou l'hébreu. Par ses écrits, il mit sur la piste de la "Croix de Roses" des milliers d'étudiants de la Contre Réforme. Il avait l'envergure pour rédiger le pendant catholique du Rituel germanique des Chevaliers de l'Aigle noir Rose-Croix: le rituel de commémoration rosicrucienne qui devint celui des Francs Maçons des Hauts-Grades.
Image 5
Le titre de ce livre, à la fois provocateur et engageant, fait écho au Bistrot de la Rose+Croix, le site riche de milliers d’articles dédiés aux chercheurs de vérité, et abordant une multitude de sujets mystiques. Un jour, un Habitué du site a entrepris de rassembler les textes consacrés à Louis-Claude de Saint-Martin, le célèbre Philosophe Inconnu. Cette initiative remarquable a été enrichie par une présentation détaillée, mêlant sympathie et esprit critique, de la manière dont ce personnage fascinant a marqué la vie du bistrotier. L’ouvrage dévoile également des aspects inédits et méconnus de la vie et de l’œuvre de Saint-Martin, offrant ainsi une perspective nouvelle et captivante.
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Cette monographie révèle pour la première fois l'influence de la déesse Sechat, la parèdre de Toth. C'est "celle qui écrit"! Elle rédige les archives Akashiques qui retiennent de notre vie les efforts au service de la Lumière. Dans ce deuxième degré, celui des theorici, tout gravite autour d'elle depuis sa manière claire de raisonner, sa structuration du temple, sa manière de s'élever au-dessus du monde matériel comme l'exprime son arc. La couverture conserve le symbole que lui avait accordé Harvey Spencer Lewis, faisant disparaître le tôle tentateur des feuilles de cannabis. Entre autres processus, l'ouvrage détaille la clé de la "Voûte de Séchat" dont certains ont fait l'Arche Royale...
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Inspiré par les brochures Cromaat publiées en 1918 par Harvey Spencer Lewis, abordant des sujets écartés de ses enseignements rosicruciens, l'objectif était de traduire en français la Géomancie Cosmique, dont la Cromaat E servait de guide. Or, une erreur majeure, la permutation de certaines planches non numérotées, rendait l'ouvrage inutilisable. Sans le moindre correctif de Lewis, cette erreur a créé une passerelle pour les chercheurs sincères et zélés, qui contactaient l'auteur directement. Un siècle plus tard, le traducteur, confronté à cette erreur, a repris et approfondi le sujet, révélant que l'approche initiale de Lewis, volontairement profane, méritait un autre développement. Ce livre en est le fruit.
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Le lecteur découvrira sans doute ici des choses qu'il ne pensait jamais trouver dans un livre. Il accompagne une personnalité invisible où il se sent curieusement accompagné dans une lecture qui se lit de bout en bout comme un roman dans lequel tout semble magique même si tout se produit dans la vraie vie. Naturellement il reviendra sur sa lecture pour approfondir des pistes esquissées. Il fera même de cet ouvrage son livre de chevet d'ailleurs le chevet n'est-il pas le fameux ours, le symbole du livre? C'est la carte routière d'une aventure mystérieuse que chacun conduit à son rythme et qui commence par le passage du seuil et se poursuit jusqu'à la Chambre Secrète d'Akhenaton.
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Le livre explore le monde de la résurgence rosicrucienne allemande du XVIIe siècle, centrée sur le Cénacle de Tübingen, en marginalisant le rôle de Valentin Andreae qui n'était à 16 ans qu'un prête nom de Francis Bacon. D'autre figures clés sont mises en lumière comme Daniel Mögling, Christophe Besold, Tobias Hess, Johann Arndt, Tobias Adami ou Samuel Hafenreffer
Les traditions rosicruciennes et maçonniques attribuent à Arnaud une réputation légendaire. Il est parfois nommé Arnaud de France parce qu'il lui est attribué l'introduction du rosicrucianisme en France au 9e siècle. Il faut préciser que les informations historiques officielles, disponibles sur ce personnage, sont des plus limitées. Cela n'empêche pas le lecteur d'accompagner, dans un périple akashique, Arnaud d'abord au Moyen-Orient puis dans la transmission d'un courant spirituel dans la Maison de Charlemagne et plus généralement en région toulousaine.
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C'est l'Histoire d'un architecte niçois, par ailleurs thérapeute et parfaitement bilingue, et dont Lewis reconnut la grande maîtrise au point de le nommer précisément Grand Maître des USA. Quand ce livre est paru, on ne trouvait que 2 lignes à son sujet dans les ouvrages spécialisés. Le livre est le produit d'une enquête passionnante qui s'appuie sur des informations enfouies dans diverses archives rosicruciennes et révèle le fameux "secret des laitues" pour reconnaitre les rares monographies qui sont l'œuvre de Clément Lebrun.
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Il est généralement connu que quelques siècles avant notre ère, les chercheurs grecs allaient en Égypte pour accéder à la Connaissance. L'ouvrage révèle l'épreuve discrète à laquelle ils étaient soumis à Saou (Saïs). Certains retournaient ensuite dans leur pays, tandis que d'autres poursuivaient leur quête autour du fameux bassin comme un certain Champollion. Ce petit ouvrage unique, fruit de dizaines d'années de travail, fournit les éléments pour que de nos jours encore les chercheurs sincères de la Rose+Croix remontent de Saou à Iounou (Héliopolis).
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Le titre "Une monographie du Premier Degré Néophyte" déploie une triple intention. D’abord, il ancre la monographie dans l’étude traditionnelle d’un unique symbole hiéroglyphique, écartant toute partition. Puis, il invite à une exploration respectueuse, l’emploi de "Une monographie" laissant le sujet ouvert à d’autres perspectives. Enfin, il encourage chaque étudiant à composer sa propre monographie, offrant un espace libre à sa compréhension et à sa pratique personnelle du Degré. Après Mando, fascicule préparatoire aux études rosicruciennes, cette monographie propose une approche originale qui éclaire d’un jour nouveau les enseignements traditionnels en introduisant Desheret, la couronne rouge, symbole de la Basse-Égypte. Ce symbole, plus aisément appréhendé dans un premier temps à travers le « Point dans le Carré » utilisé par Harvey Spencer Lewis dans la résurgence américaine du début du 20e siècle, représente par le carré le monde matériel et les quatre éléments (terre, eau, air, feu), et par le point l’Être intérieur ou la conscience cosmique. Le texte met l’accent sur un travail introspectif, que l’alchimie médiévale exprimait par le concept de l’Œuvre au Noir, visant à purifier le carré des influences superflues pour révéler l’Être intérieur. Ce processus exige humilité intellectuelle et discernement. La monographie éclaire la dualité des consciences – objective, liée au carré, et subjective, liée au point – et la nécessité de leur harmonisation, guidée par des exercices et des études telles que la Loi du Terrain.
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Une Monographie du 2e Degré Néophyte s’inscrit dans la tradition rosicrucienne, après "Mando" et "Une Monographie du Premier Degré Néophyte" L’ouvrage s’appuie sur le symbole égyptien de la couronne Hedjet et sa forme simplifiée par le point dans le cercle pour faciliter l'étude qui passe de l’effervescence mentale du premier degré à la contemplation sereine du deuxième. L'objectif concret du degré est de parvenir à un état de développement et de détachement des égrégores qui permet l'accès à la "Chambre de Communion Cosmique". Pour cela, des concepts clés sont explorés tels que l’Âme-Personnalité que les égyptiens nommaient "Ba", et l’individualité qu'ils nommaient "Ka", et la dissolution de l’ego à travers un pratique que l'alchimie médiévale désignait comme le "solve". Le processus du 2DN met en avant l’importance de l’écoute intérieure, de la méditation dans un sanctum personnel, et de la recherche d'harmonisation avec la Conscience Cosmique, en proposant des exercices pratiques comme la respiration consciente, la vocalisation de sons sacrés et le renforcement de l’aura, en vue d'une plus grande maîtrise de la Force Vitale. Des références à la déesse Maât, symbole de vérité de pureté et d’harmonie, aboutissent à revisiter l'approche profane de la Confession de Maât, pour une compréhension plus profonde. Le livre aborde également des notions comme le Nirvana, vu comme un état de Paix Profonde, et des cycles de vie en lien avec la réincarnation.
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Qui n'apprécierait pas de participer à un dîner dynamisé par Harvey Spencer Lewis et inspiré par un invisible maître cosmique, le Maître Ramater ? Après le dessert, à la 11e heure, la conversation s'orienterait irrésistiblement sur les rosicruciens. Et Lewis exprime les idées sensibilisant au rosicrucianisme son auditoire étonnamment varié. Et avec le recul, chacun s'aperçoit que les mots employés peut devenir le début d'une piste conduisant à un éveil mystique.
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C'est Lewis qui racontait, dans le document Cromaat D (le mot Khrou-Maat signifiant en égyptien une "pagaie de vérité") un étrange périple cevenol en marge de son "initiation toulousaine". Il précisait que cette histoire qui débute à Montpellier est un mélange de faits, de fictions et de traditions. Lorsqu'il est évoqué Albane et Berthe, les lecteurs rosicruciens sont tentés de penser aux deux polarités du Noüs que Lewis désignait parfois par les lettres A et B.
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Une jeune amie rosicrucienne insistait pour que le bistrotier se livre d'une manière instructive sans se cacher derrière le voile de l'impersonnalité... Le résultat n'est pas une autobiographie, mais un simple partage d'expériences, tant dans le monde physique que dans le monde invisible. Mais l'impersonnalité demeure... Le tout est présenté de manière à écarter ceux à qui l'on ne souhaite pas s'adresser. Les autres apprécieront peut-être le partage discret en 4 parties: SAVOIR, VOULOIR, OSER, SE TAIRE.
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Ecrit au départ pour accompagner le challenge d'un stage d'un week-end de familiarisation au rosicrucianisme, ce fascicule développe une méthode simple. 1/ proposer des règles de comportement pour faire monter le niveau vibratoire, 2/ familiariser avec la tradition héliopolitaine qui a inspiré la Rose+Croix. 3/ décrire le cheminement précis des degrés rosicruciens traditionnels. 4/ fournir une piste inédite pour progresser.
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Ce livre explore l'intégration du rosicrucianisme du XVIIe siècle dans la Franc-Maçonnerie, en particulier à travers le grade de Rose+Croix du Rite Écossais Ancien et Accepté. Basé sur des manuscrits du XIXe siècle issus du fonds Gaborria de la Médiathèque d'Alençon, l'ouvrage dévoile des rituels initiatiques inédits, dépourvus d'influences néo-chrétiennes, et met en lumière leur symbolisme alchimique, comme le Dragon Roux, lié à l'eau régale et à la quête de la Pierre Philosophale. Il retrace également l'histoire peu connue d'Armand Gaborria, figure maçonnique clé, et son rôle dans la diffusion des rites de Misraïm et Écossais.

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