"Un boiteux sur la bonne route arrive plus vite qu'un habile coureur sur la mauvaise."
Francis Bacon, l'auteur caché du théâtre de Shakespeare et que la tradition rosicrucienne considère comme le "Rosenkreutz" du 17e siècle, attire par cette formule notre attention sur un processus à la base du cheminement rosicrucien.
En effet, le boiteux ne représente t-il pas notre forme limitée qui peine à avancer mais que nous devons, d'autant plus, nous efforcer de placer sur la bonne route faite de simplicité, de modération, d'humilité, de sincérité et en nous fiant à notre ressenti le plus profond.
De cette manière nous laissons de côté toutes les fausses pistes, leurs illusions, leurs croyances, leurs prétentions ou encore leurs tentations qui ne peuvent que nous éloigner des fondamentaux de notre démarche de recherche de l'authenticité rosicrucienne...
L'histoire raconte précisément que Francis Bacon, alors qu'il était étudiant au Trinity Collège de Cambridge, ressentit le vide de ce qu'on lui enseignait et que le rerssenti de ce vide fut précisément le déclancheur de sa Quête...